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Chroniques d'Irydaë
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Irys : 929949
Profession : Créateur de monde à temps partiel
Administrateur
Annuaire des groupes secondaires

Vous êtes nouveaux sur le forum et/ou à la recherche de liens sociaux particuliers ? Les groupes secondaires sont peut-être faits pour vous !

Qu'est-ce qu'un groupe secondaire ?
Il ne s'agit ni d'une affiliation (My'trän, Daënar ou Pérégrin), ni d'une guilde (corps de métier réunis sous la forme d'une puissante association installée à l'échelle mondiale). Vous pourrez en revanche y retrouver par exemple des tribus populaires de My'trä avec leurs mœurs et coutumes, des équipages, des groupes de mercenariats, pêcheurs, cirque et j'en passe à échelle régionale - en somme, des petits groupes d'affiliation de type "famille" qui peuvent vous donner un background de fond dans lequel insérer votre personnage. Ces groupes sont essentiellement proposés et créés par les autres joueurs, n'hésitez donc pas à les contacter directement pour signaler votre envie d'en faire partie !
  • Pour tous les personnages dont les descriptions de tribus ou de groupes sont déjà validées : votre description a été oubliée et n’apparaît pas ci-dessous ? Merci de renvoyer par mp lesdites descriptions à Bolgokh pour qu'elles soient ajoutées à l'annuaire incessamment sous peu.

  • Pour les autres : Votre tribu/groupe a quelque chose de foncièrement différent, inédit de ce qui se fait traditionnellement chez les Daënars, My'träns ou Pérégrins ? Plusieurs joueurs font partis du projet ? Assurez-vous que la création de votre groupe apportera quelque chose à l'univers et à la communauté : si c'est bien le cas, nous ferons une exception pour l'ajout à l'annuaire d'une nouvelle description fraîchement rédigée.



Sommaire


Clans my'träns
Like a Star @ heaven Po M'Bak [ZOLIOS]


Tribus pérégrines
Like a Star @ heaven Nunaqortoqut [MARNAKA]


Dernière édition par Bolgokh le Lun 19 Mar - 22:29, édité 1 fois

Bolgokh
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Annuaire des groupes secondaires EmptyLun 19 Mar - 22:17
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Les Nunaqortoqut
Tribu pérégrine - Marnaka


Localisation

Péninsule nord-est d'Als'Kholyn, dans Marnaka.
Par ses habitants, cette péninsule est appelée : Nunaqortoq (gentilé : Nunaqortoqut).
Marnaka est appelé : Nurnakaq (gentilé : Nurnakatut).
Le Khashin voisin est appelé : Semmekaperlak, littéralement le glacier sombre. (Gentilé : Semmekaperlakut).
Le sud d'Als'Kholyn est appelé : Akkqunataq (gentilé : Akkqunataqut)
Aildor est appelée Illoqarfik (gentilé : Illoqarfikut), soit littéralement la ville, car les Nunaqortoqut n'en connaissent pas d'autre.


Peuplement

On trouve des petits villages dans des sites d'abri, c'est à dire des escarpements du relief qui permettent de limiter l'impact du vent et des intempéries. Ces villages sont en bois, pierre, os, peau, avec au minimum un couple qui tient tout en ordre pendant que les clans sont en vadrouille.
Un peu partout dans cette péninsule on peut trouver des cairns de pierre hauts de deux mètres, qui signalent les points de passage des pistes de migration, et ainsi balisent le paysage.
Les Nunaqortoqut pratiquent l'exposition des nouveaux-nés. La population totale oscille entre 12 000 pour les périodes difficiles et 17 000 pour les périodes fastes.


Société et structure familiale

L'unité de base est le clan. Un clan est en fait une très large famille, entre 10 et 30 personnes, qui reste tout le temps ensemble lors des migrations. Les clans sont réunis en tribus. Il y a dix tribus, qui se reconnaissent entres elles par une sorte d'ancêtre commun déifié et mythologique, ayant accompli de grands exploits.
Les Nunaqortoqut sont des semi-nomades, c'est à dire qu'ils passent une partie de l'année seulement en déplacement, à suivre les troupeaux d'animaux sauvages. Du milieu du printemps au milieu de l'automne, ils ont une vie de nomade et en hiver ils se replient dans des villages-étapes.
Ces villages sont tenus par en général un ou deux couples, souvent âgés, qui sont des sédentaires permanents. Ils sont aussi chargés de l'accueil des femmes enceintes, et des blessés en convalescence.
Les rencontre hivernales entre différents clans et donc tribus permet aux Nunaqortoqut de connaître les autres gens de leur peuple, d'échanger des savoirs, des biens, des récits, mais aussi des vengeances si nécessaire. Pour ce qui est de la justice, on s’en remet toujours au jugement des anciens.


Guerre contre les Khashans

Les incursions des voisins du nord-ouest sont assez fréquentes. De petits groupes entrent à Nunaqortoq pour chasser et dévorer ses habitants, villages et troupeaux d'animaux. Ils sont traqués sans la moindre pitié.
Le principal acte militaire est l'incursion en territoire ennemi. À ce moment là, les chasseurs deviennent des guerriers. Les tribus se rassemblent toutes au même point : un immense cairn qu'il faut dépasser à sa gauche quand on entre en guerre, et à sa droite quand on rentre.
Chaque guerrier est équipé d'une lance courte, d'un couteau et d'un arc. Les chefs de guerre sont élus.


Les deux modèles du Piniartoq et de l’Anguigaq

Cette façon de faire la guerre est à l’origine de trois grands types d’habitants : les sédentaires, les guerriers qui participent activement aux conflits occidentaux et les expéditionnaires qui partent vers le sud.

Les sédentaires le sont pour des raisons précises et temporaires : la grossesse, la fin de vie, etc. Ils ne constituent pas un modèle de vie inspirant les jeunes générations.

Les Piniartoqut sont les expéditionnaires, donc. Ils ont une réputation de solitaires, d’explorateurs. Leur vaste connaissance fait d’eux des érudits et des conseillers, qu’on appelle pour résoudre des problèmes techniques. Ils sont assez peu nombreux et leur statut de solitaire les dessert parfois, car ils sont naturellement moins aptes à commander.
Dans un groupe de Piniartoqut, l’égalité est totale entre les membres, ce qui est permis par sa taille plus réduite.

Les Anguigaqut, qu’on traduirait plus justement par lanciers, sont leur exact contraire. Ils vivent et combattent en larges groupes, ne s’éloignent jamais des leurs. Pour tout ce qui est des questions sociales et internes au groupe, mieux vaut s’en remettre à leur jugement, car ils connaissent tout le monde. Ils sont à la fois très bons pour exécuter les ordres et pour se faire obéir.
Dans une troupe militaire, l’égalité est plus limitée, car la nécessité d’avoir des chefs et des soldats qui ne remettent pas en question le moindre mouvement s’impose très vite. Cependant, les chefs devant répondre de leurs actes et leurs places étant interchangeables, c’est une égalité de droit, plus raffinée que celle des Piniartokut.


Croyances

Les Nunaqortoqut ont, comme tout le monde, les My’träns pour ancêtres. Ils en ont gardé leur affinité avec les Architectes, mais ont perdu depuis fort longtemps leurs compétences magiques liées. Cela est tout simplement lié à leur éloignement, ainsi qu’à une lente modification du rapport aux dieux. En effet, les Architectes sont des divinités jugées au mieux métaphoriques. Les Nunaqortoqut ignorent ainsi qu’ils sont toujours actifs sur le monde.
De plus, ils déifient certains de leurs ancêtres, qui sont ainsi à égalité dans le panthéon divin. Chaque clan a un ancêtre commun légendaire, connu pour sa générosité, son ardeur au combat, ses capacités de chef, le fait d’avoir pu parler à l’oreille des Matars, et ainsi de suite. Il en est de même pour chaque tribu.

Les Architectes sont appelés les Savuviniqut ; les anciens artisans du monde. Les neufs ont vu leur nom changer du fait de l'éloignement.
Möchlög : Timinujuq, l'oiseau qui donne la vie. Il y a très, très peu d'oiseaux à Marnaka. Leur absence explique donc pour les Nunaqortoqut pourquoi il y a si peu de vie.
Bolgokh : Silarsuaq, le dieu de tous les dieux. Le caractère autocentré propre à tous les peuples fait que les Nunaqortoqut représentent les Saviviniqut comme un clan nomade qui se promène dans un plan supérieur, et Silarsuaq est le chef de clan, donc l'ancêtre commun.
Dalai : Kamappikaluk, le poisson géant colérique. C'est par peur de lui que les Nunaqortoqut détestent être sur l'eau.
Delkhii : Nusulneq, l'artisan de la terre. C'est aussi le gardien des cairns, donc le guide.
Inconnu : Assiginut, le différent qu'on ne voit pas. Son aura de mystère fait qu'on en parle jamais, et pour le représenter correctement, on ne le représente pas.
Khugatsaa et Süns : Marluliaqortoq et Marluliaqertoq, les jumeaux blancs et noirs. De part leur complémentarité, ils représentent l'équilibre du monde.
Amisgal : Nassasialuk, celle qui apporte la pluie. Marnaka ne connaît que des blizzards. Elle est donc assez mal vue et perçue comme divinité pernicieuse.
Orshin : Nissarsukssaq, l'araignée des futurs. Parce que les Nunaqortoqut qui n’ont jamais vu d'araignée, Nissarsukssaq est vue comme une divinité étrangère, qui a abandonné Nunaqortoq.


Commerce

Durant les assemblées d’hiver, les clans réunis décident des expéditions vers Aildor. Le but premier est d’échanger des produits manufacturés, des métaux, des connaissances et des nouvelles sur le monde contre des fourrures.
Depuis peu, un bande de Piniartoqut d’une quinzaine d’individus remplacés régulièrement reste plusieurs mois sur place. Ils tiennent une petite entreprise visant à régulariser le commerce des fourrures.

Les Nunaqortoqut parlent un patois qui est assez proche de la langue commune d’Irydaë. Les différences dans les noms viennent simplement du fait qu’avec le temps, ces noms furent oubliés et remplacés par d’autres qui avaient plus de sens à leurs yeux. Les Piniartoqut permettent de minimiser cet écart linguistique.


Responsable administratif : Sakari Naasoqineq


Dernière édition par Bolgokh le Lun 19 Mar - 22:28, édité 3 fois

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Le clan Po M'Bak
Clan my'trän - Zolios


Origines historiques

Elles sont très peu connues, surtout en dehors du clan. C'est un savoir tabou qui relève de la compétence des membres les plus anciens du village. Elles sont pourtant aussi précises qu'exactes, car elles définissent les relations du clan avec l'Architecte Süns. Ces traditions orales sont transmises par voie orale, puisque l'écriture alphabétique n'est pas employée dans ce clan. Les générations les plus jeunes connaissent une histoire de leur clan revu sous le prisme de la mythologie. L'accès à ce savoir s'opère par des paliers d'initiations.
De manière générale, on sait qu'il s'est formé il y a 456 ans, donc en 477 de la VIIe ère, à la suite du regroupement de huit jeunes gens adeptes de Süns, qui ont donné leur nom aux familles qui leur succéderont. En fil du temps et des alliances, le clan sera enrichi de sept familles supplémentaires. Po M'Bak était le nom du premier chef, qui n'a pas eu de descendance.


Mode de vie

Les Po M'Bak font partie des rares nomades de Zolios. Ce sont ces clans nomades qui assurent une large partie de l'élevage, malgré la faible proportion qu'ils représentent de la population zolienne. Ils restent sur des parcours fixes, décidés en fonction du climat et ne sortent jamais de Zolios. Ils élèvent des chèvres, des chameaux, des moutons et des Salkhi. Puisqu'ils passent dans les déserts, ils font le commerce des pigments qu'ils trouvent sur leur chemin et dont ils ont les emplacements secrets. Ils vendent également, de façon individuelle, de l'artisanat. Leur mode de vie est assez autarcique: ayant malgré tout des contacts en ville, ils envoient certains de leurs enfants en ville en apprentissage.

La richesse du clan Po M'Bak est essentiellement basée sur l'élevage des Salkhi. Ces félines créatures sont recherchées dans tout My'trä pour leur capacité d'adaptation à leur maître et le clan est le principal pourvoyeur de ces animaux. Deux fois par an, ils descendent à la capitale vendre leurs productions. Une fois en octobre, surtout pour acheter ce qui manque avant l'hiver et une fois en mai, au moment de la mise à bas des Salkhi. Celles-ci sont descendues avant la naissance et l'imprégnation du nouveau-né est vendue aux enchères. Cela exige des acheteurs qu'ils descendent eux-mêmes à Eoril pendant les deux semaines de mise à bas, mais cela ne semble pas les rebuter.
Les Salkhi ont pour habitude de se retrouver une fois par an à l'embouchure de l'Ünench: elles n'entrent dans leur chaleur que si elles y sont passées dans l'année. Cela explique pourquoi cet animal vit en dehors de Zolios et, épisodiquement, Khurmag. La plupart des acheteurs restent des notables fortunés de Zolios.

De la même façon, ces félidés géophages produisent des selles minérales aux couleurs irisées comme l'opale: elles sont récupérées, séchées, pilées et vendues comme pigment d'une qualité et d'une beauté exceptionnelle, recherchée dans le monde entier. Autant vous dire qu'en dehors de Zolios, les marchands ne s'empressent pas d'annoncer aux coquettes qu'elles se fardent les paupières avec de la merde de chat.
Possédant le plus grand troupeau domestiqué de Salkhi, c'est le clan Po M'Bak qui a en main la majorité de ce produit.

Les Po M'Bak sont farouchement attachés à Süns: non pas qu'ils méprisent les autres dieux, mais ils estiment que c'est perdre en efficacité d'en honorer plusieurs à la fois. De plus, c'est Süns qui a offert le plus beau présent à l'humanité, à leurs yeux, en leur permettant de se distinguer des animaux. Avec les Salkhi, ils sont particulièrement réputés pour leur habileté aux arts du feu. Les enfants Po M'Bak suivent, dès leur première flamme, un entraînement très difficile et exigeant qui a pour but de sélectionner les meilleurs d'entre eux. Une fois cette première sélection opérée, ces enfants sont présentés à un nouveau-né Salkhi pour l'Imprégnation à l'âge de huit ans (chiffre sacré). Après quoi ils suivent durant cinq ans un entraînement plus difficile encore, qui visent à les rendre complètement indépendants. Une fois cet entraînement physique et magique réalisé, ils sont envoyés en ville pour leur formation. Etant donné la qualité de la formation précédente, ils n'ont aucun mal à les placer en apprenti. Les enfants qui n'ont pas été sélectionné deviennent les bergers du clan, ceux qui ont reçu la deuxième formation en sont les artisans et les futurs dirigeants.

Les Po M'Bak ont une société assez libre socialement: le divorce, le remariage, l'adoption sont libres. Cependant, une forme de système de castes est prévalent, selon le talent aux arts du feu. Cet échelonnement permet de distinguer les accès à certains métiers plutôt qu'à d'autres, et les accès au pouvoir. Le clan est dirigé par les chefs des primo-familles, qui eux-même sont choisis par leur famille. Souvent, c'est le meilleur maître du Feu qui devient chef car il est considéré comme particulièrement béni de Süns et donc apte. Ce Concile des Huit Chefs a un rôle consultatif plus que coercitif (pensez soft power) et comprend un neuvième membre, appelé Po M'Bak, choisi indépendamment de sa famille (primo-arrivante ou non) sur deux critères: sa maîtrise du feu et sa stérilité, à l'image de l'illustre ancêtre. Ce sont ces chefs qui rendent la justice.
C'est parmi ce concile que sont choisis le Gharyn et le Khorog, dont les décisions sont définitives.


Effectifs

Avec une moyenne d'une trentaine de membres dans chaque famille, ce clan tourne autour de 430 membres, pour une deux cent-cinquantaine de Salkhi. Chaque année sont vendus une dizaine de Salkhi.


Coutumes

Il est difficile de les évoquer dans tous leurs détails, donc nous n'en ferons qu'un panorama rapide:

- Les Po M'Bak n'utilisent pas de prénom. Süns étant l'Architecte attribuant les personnalités, donner un prénom serait parodier cette création divine et surtout la trahir. Se nommer est un grand tabou pour eux. Ainsi, ils emploient leur nom de famille pour se désigner. Au sein d'une famille sont employées des appellations qui placent généalogiquement le nommé dans sa famille, appellations condamnées à se renouveler au gré des décès. A cette fin, ce clan a développé un vocabulaire généalogique exceptionnellement poussé. Ainsi, la quatrième petite-fille de la chef Loën s'appellera Loën Hag'un: Hag' pour "petite-fille par le fils aîné" et un pour "deuxième". Quand le fils  deviendra lui-même chef, sa fille se nommera alors Loën Tol'un : Tol' pour "fille de". Le chef prend le nom de sa famille comme seule nomination.

- Les règles de l'hospitalité sont strictes: tous doivent être accueillis, sans questionnement sur nationalité ou Architecte protecteur. Seules les anomalies ne rentrent pas dans ces critères. Il est attendu des hôtes une réciprocité au moins symbolique. Par exemple, un des exemples classiques est la théière. Votre hôte offre eau, feuilles et sucres: l'invité zolien se chargera de faire bouillir le liquide. Ne pas rendre la réciprocité n'entraîne pas d'être chassé, mais vous ne serez certainement plus accueilli à nouveau.

- Le salut consiste à poser le bout des doigts de la main droite sur les lèvres et de saluer autrui ensuite, comme un baiser que l'on envoie. Bien sûr, sans baiser. Les Po M'Bak ne donnent pas dans la familiarité. Pour autant, ils sont cordiaux, chaleureux et accueillants. La pudeur est profondément ancrée dans leurs manières, comme une dignité sans raideur.

- Quand on entre chez quelqu'un, que l'on rencontre quelqu'un dans des circonstances particulières (négociation marchande, discussion de fiançailles, inconnu dans un contexte non sécurisé, invitation chez quelqu'un), la coutume veut que chacun prenne une pinceau de poudre de Salkhi et la pose sur son front, ses lèvres puis son coeur. Ce geste revient à se placer sous le regard de Süns: celui qui, après avoir accompli ce geste, serait traître, faux ou menteur, serait en danger d'une mort... brûlante.

- La scarification est une pratique commune mais les messages qu'elle véhicule sont gardés secrets. Le maquillage corporel est aussi extrêmement important.

- N'ennuyez pas les Salkhi Shuurga. Vraiment, ne faites pas ça.


Responsable administratif : Loën

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