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 L'évasion du siècle

Eylohr Lothar
Eylohr Lothar
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L'évasion du siècle EmptyMer 22 Aoû - 20:47
Irys : 401379
Profession : Terroriste en fuite - Hermite
Pérégrins -2
  • Voilà maintenant près de 3 mois qu’Eylohr avait été fait prisonnier lors de l’audacieux braquage d’un laboratoire d’expérimentation magithèque de l’UNE. Au terme d’un combat épique – sans aucun doute le plus beau combat qu’il n’avait jamais livré de sa vie entière – contre les forces expérimentales de l’UNE, il avait été forcé d’abdiquer face aux assauts de la capitaine de cette force d’intervention. Le combat fut long, âpre et ô combien difficile. Les muscles et une vie de labeur face à l’acier des armures assistées et des prothèses mécaniques. Un combat inégal lorsqu’on en parle, et pourtant, il fut d’une beauté époustouflante. Si époustouflante que le colosse venu du Nord eût été grièvement blessé. Percé de plusieurs coups d’épées, transpercé de plusieurs balles, blessé par les coups et les explosions, il avait réussi à détruire l’armure assistée de la courageuse capitaine et à assener plusieurs coups, transformant se combat en un combat presque égal. Et pourtant, il avait été fait prisonnier, et c’était là la raison de sa présence dans cette prison de haute sécurité.

    Durant ces trois derniers mois, Eylohr avait beaucoup changé. Trop changé peut-être… Ses compagnons d’infortunes le reconnaitraient-ils ? Rien n’est moins sûr.

  • Sa barbe avait poussée, épaississant son visage, durcissant ses traits pourtant déjà très rudes pour le commun des mortels. Ses cheveux poussèrent également, étant donné l’impossibilité de se raser sur les côtés du crâne. Sa longue tresse centrale qui descendait jusqu’au-dessus de ses reins avait été coupée jusqu’au niveau des omoplates et rejointe par les cheveux qui avaient poussés depuis les côtés de son crâne. Souvent, il laissait ses cheveux libres, assombrissant d’autant plus son visage déjà lugubre. Parfois, il rassemblait ses cheveux en un large et épais chignon ou en une épaisse queue de cheval. Mais les cheveux ne furent pas les seuls changements physiques, et pas le plus impressionnant des changements.

  • Durant sa convalescence, qui prit près de la moitié de son emprisonnement, Eylohr fut victime de sa réputation. La violence du braquage, la violence de ses assauts, le désastre qu’il avait provoqué, la mort qu’il avait semée, tout cela avait alimenté une réputation déjà bien présente sans qu’il ne le sache. Tous les jours durant plusieurs semaines, Eylohr fut torturé. A grands coups de couteaux, à grands renforts de lames crantées et aiguisées, d’instruments cloutés et rouillés, il avait été battu, tourmenté et torturé. Et à cela s’ajoutèrent les électrodes. Les médecins laissèrent leurs places aux scientifiques qui tentèrent de déterminer d’où pouvait venir sa force, son endurance et l’âpreté de son physique démesuré. Chaque jour, ils utilisèrent la puissance de l’électricité pour sonder l’esprit du colosse qui n’en finissait pas de souffrir et de se perdre. L’abominable transformation venait de prendre fin. D’un physique monstrueux, il était devenu un monstre à part entière. Son unique ambition n’était plus de parcourir le monde, de découvrir les technologies des prothèses magithèques ni de devenir riche. Son unique ambition était de semer la mort et la destruction parmi les Hommes sans aucune distinction, sans aucun état d’âme. Ceux qui s’étaient arrogé le droit de le torturer et de lui faire subir milles et uns tourments ne se doutaient pas qu’ils venaient de créer le cauchemar de leur peuple et encore moins d’avoir créer la pire abomination de leur existence. « Le géant du Froid » allait encore faire parler de lui et les innocents n’allaient pas finir d’en faire des cauchemars.

  • Enfin, les mauvais traitements avaient provoqué une diminution de sa masse musculaire et graisseuse. Mais il reprit rapidement ses bonnes habitudes, car lorsqu’il fut de nouveau sur pied, il se prépara pour sa guerre, la pire, la plus abominable et la plus violente de toutes. Chaque jour dés lors qu’il put quitter son lit d’hôpital et rejoindre sa cellule, il passait le plus clair de son temps à améliorer son corps et ses capacités physiques. Seule occupation donnée aux détenus : la culture physique. Alors Eylohr s’occupa de reprendre une forme physique suffisante. Tous les jours, des heures durant, il souleva des tonnes d’acier et de fonte dans des exercices de force toujours plus impressionnant. Seul problème, la nourriture. Il ne mangeait pas assez pour atteindre de nouveau le double quintal d’entant, mais très vite, il atteignit de nouveau un poids acceptable pour lui, bien qu’excessif pour le commun des mortels. 2m15 de haut pour 170 kilos de muscles presque purs. Qui dit manque de nourriture dit manque de graisse, aussi, ce qu’il avait perdu en tour de taille il l’avait repris en tour de bras.

  • Mais voilà qu’à la fin du mois d’Octobre, alors qu’il se préparait à purger une longue peine impossible à commuer, l’établissement pénitentiaire avait décidé de le transférer pour la prison de Cerka où il devait répondre de méfaits ô combien atroces. De plus, il avait déjà provoqué plusieurs émeutes, des bagarres générales et la mort de plusieurs détenus et de deux gardiens qui avaient eu la mauvaise idée d’intervenir durant une de ses séances quotidiennes. Sa dangerosité, sa réputation, son irascibilité et sa quête insatiable de violence avaient instigué la peur dans le cœur de ses codétenus et des gardiens. Il fallait s’en débarrasser et la prison de Cerka, à Rathram, trépignait de s’emparer du colosse qui avait ensanglanté ses rues.

  • Eylohr entra donc dans une voiture renforcée de plaques d’acier et de chaines, tirée par 4 chevaux et accompagnée par deux autres voitures bourrées de miliciens. Pieds et poings liés, il s’engouffra dans l’étroite demeure d’acier montée sur roues qui devait le conduire vers la prochaine prison qui l’accueillerait. Il faisait peur, si peur que personne n’osa monter avec lui pour le surveiller, et personne ne s’en offusqua. L’escorte était bien fournie alors un de plus ou un de moins… D’autant que ses compagnons ne sont que des pirates plus à l’aise en mer que sur terre. N’est-ce pas ?

Pedro de Sousa
Pedro de Sousa
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L'évasion du siècle EmptyVen 24 Aoû - 14:01
Irys : 1714077
Profession : Pirate
Pérégrins -2


Voilà trois mois maintenant que le destin avait séparé le Capitaine de Sousa de son Second le "Gant du Froid" comme on l'appelait. Trois mois déjà depuis qu'ils avaient investi un laboratoire de l'UNE dans la province d'Alexandria. Trois mois que son ami était enfermé dans les geôles de la capitale Daenastre. Car oui, Pedro avait bien entendu joué de ses relations pour savoir qu'Eylohr n'était pas tombé contre les forces spéciales, mais avait été capturé. Si le commun des mortels avait pu pensé que le pirate allait laissé le natif du Nord croupir en taule, c'était mal connaître son attachement à tout membre de son équipage. Mais voilà, les aléas l'avaient contraint à voguer vers d'autres horizons, de Sousa reprenant la Mer pour ses intérêts et bientôt ceux de la guilde qu'il allait rallier. Le géant du Froid allait devoir être patient et Pedro avait bien conscience que sa captivité n'allait pas être une promenade de santé. Dans quel état allait-il le retrouver ? Cette réflexion lui effleura à peine l'esprit, car de retour près des cotes Daenastre, il devait avant tout trouver un plan pour sortir le bougre de son sinistre tourment.

Prenant soin d’amarrer le Red Pearl à Laurgal dans une discrète crique, le capitaine reçu la visite d'une chaloupe. A son bord, l'un de ses informateur qui venait à lui pour lui annoncer de très bonnes nouvelles. Il semblait que le colosse soit en partance, les autorités avaient décider de le transférer dans une prison de Cerka par voie terrestre, une aubaine ! Déroulant la carte d'Unellia sur son bureau, le Vieux Loup étudia le trajet qu'allait prendre le convoi sans doute hautement sécurisé. D'Alexandria, il allait remonter plein Nord pour faire étape à Tellora, ainsi le convoi contournerait la difficulté que représentait le fleuve du Nohly. Ensuite, il n'aurait plus qu'à reprendre la route au Nord Ouestpour gagner Ranviel puis sa destination finale, Cerka et sa prison hautement sécurisé.

Regroupant ses matelots un soir, le Capitaine du Shooner annonça la couleur pour les jours à venir. Evidemment pour l'occasion, la bière coulait à flot. Se juchant sur la table du réfectoire, il prit la parole, choppe en main.

- Bande de bigorneaux ! Le Géant du Froid est bien en vie, j'vous l'annonce officiellement ! Cet enfant d'putain croisé à Monstre séjourne en prison à Alexandria! Il nous a depuis trop longtemps manqué, hein les gars?

Tous levèrent leur choppe et approuvèrent d'une seule voix.

- Ouai cap'tain !

Le Vieux Loup se pencha vers l'assemblée, oreille tendue.

- J'AI PAS ENTENDU !!!!!!!

Les forbans répliquèrent en coeur.

- OUIIIIIIIII CAPIIITAINE!!!

Satisfait, le barbu leva sa choppe avant d'en vider une bonne lampée dans sa gorge, de la mousse perlant sur sa barbe.

- J'aime mieux ça ! Bon ! Il est temps qu'il rentre de ces congés payés forcés et pour ça, on a l'cul bordé d'nouilles mes aïeux! C'con est si exemplaire (c'était une ironie évidemment) qu'on lui offre le luxe d'aller séjournée à Cerka! Ohhhhhhhh y en a qui connaisse ici hein ? Ah ah! Bref toujours est-il qu'ça nous laisse une belle occasion d'aller l'récupérer ! Dès d'main matin, direction l'embouchure du Nohly! D'là, on va filer vers Tellora. L'convoi va emprunter un putain d'pont à la périphérie d'la ville et c'est là qu'on va agir !

Les gars semblaient excités à l'idée de refaire parler d'eux et pour une bonne cause, récupérer l'un des leur.

- Hé bande de puceaux, on s'calme! On va la jouer tendu hein ! On a pas droit à l'erreur, ça passe ou ça casse ! L'idée est simple : On va faire exploser c'putain d'pont! Vous allez m'dire que j'suis malade, seulement l'gars sur place m'a dit qu'il s'rait chaudement en train d'roupiller dans une voiture renforcé d'plaque en acier! La chance quoi, elle pètera pas avec le reste d'ces connards et il aura assez d'oxygène avant qu'son cube soit inondé! D'la, on va tirer des capable d'remorquage et r'monter sa piaule à la surface pendant qu'on prendra l'large!

Les gars approuvèrent avant qu'il ne réclame le silence d'un index pointé dans leurs directions.

- Evidemment, y aura un plan B, tout dépend comment va s'organiser l'convoi, pardon, l'covoiturage d'nombre brute! Ah ah! Allez, demain matin, j'veux tous vous voir sur l'pont à la rosée!


Ainsi, en ce mois d'Octobre, débuta ce suicidaire projet qui ferait sans doute grand bruit. Le vaisseau pirate remontant le fleuve, Pedro se faisait discret et attendait le retour de son informateur qui pourrait lui en dire plus à l'approche du convoi à Tellora.

Eylohr Lothar
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L'évasion du siècle EmptyMer 5 Sep - 21:30
Irys : 401379
Profession : Terroriste en fuite - Hermite
Pérégrins -2

  • Le colosse venu du Nord était assis dans sa voiture d’acier tractée par plusieurs chevaux et un garde s’assura une dernière fois que ses chaines aux mains et aux pieds soient bien fermées et que ses entravent soient prêtes à jouer leurs rôles. Il inspecta chaque maillon, chaque entrave, chaque cadenas et, dans une dernière vérification, il saisit le cadenas principal de plusieurs centimètres d’épaisseur et tira avec force sur les chaines pour en tester la résistance. A chaque instant, il scrutait avec une crainte non dissimulée le colosse un peu trop proche à son goût. Eylohr, lui, ne le lâchait pas des yeux. Il irradiait du regard le chef de ses geôliers qui, en retour, baissa les yeux par crainte. Eylohr ne manqua pas de saisir cet instant de faiblesse et s’employa à le mettre à profit. D’un seul coup, il envoya son genou dans le museau du garde qui recula immédiatement dans un grand cri. Le nez était brisé, une partie de l’os était en miette et enfoncé jusque dans son massif facial, occluant son conduit nasal en quasi-totalité. Sa faible respiration était sifflante et lugubre, et il chuta lourdement en arrière, à peine retenu par ses hommes. La confusion fut soudainement totale. Une partie des gardes se précipita au chevet de leur capitaine tandis qu’une autre prit en joug le colosse qui riait aux éclats. Il riait, de sa voix grave qui portait loin son écho, il riait encore et encore, tant et si bien qu’il avait l’air dément. Mais il dément il était, et tous le savait. Il termina sa funeste mascarade en reportant son visage vers les gardes qui le tenait en joug. Son large sourire laissa place à une grimace ignoble de fureur. Ses yeux étaient exorbités, le bleu de ses iris tranchant avec le blanc de ses globes oculaires alors que ses rires s’étaient transformés en hurlements féroces. Ses traits étaient tirés, sa mâchoire semblait prête à se décrocher tant il hurlait de colère, les muscles de son cou étaient si crispés que très vite, d’immenses veines se firent visibles tout du long de ses muscles et de sa nuque. Il était enragé et il hurlait à en détruire ses cordes vocales, crachant sa salive au visage des gardes apeurés qui reculèrent sous la puissance de cet assaut de vocalise. Et le capitaine des gardes criait lui aussi mais pour des raisons bien… Différentes.

    Finalement, le second du capitaine ferma violemment la porte de la cage de fer et d’acier du colosse, manquant de lui briser le nez en retour. Mais tout attaché qu’il était, le colosse ne pouvait effectuer que de petits mouvements, aussi, lorsque la porte claqua devant lui, il n’y eut que le vent pour lui fouetter le visage. Mais si les gardes étaient à nouveau en sécurité, loin des mains du colosse, ce dernier n’en avait pas fini d’expulser sa rage. Il hurlait toujours et il se débattait autant que ses fers lui permettaient de se mouvoir faisant trembler toute la cage qui, rapidement, se mit à se mouvoir à son tour dans tous les sens. Le démon était déchainé et le convoi était amputé d’un homme, d’un chef. Le second du capitaine, un Lieutenant tout juste sorti des classes et qui devait effectuer sans doute sa première mission, allait être en charge du convoi désormais. Il récupéra la clé que portait le capitaine qui était évacué vers un centre hospitalier et le convoi reprit sa route, armé de deux voitures et de 10 hommes en armure commandés par un novice en panique.


    ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~


    L’informateur de Pedro était en poste à plusieurs kilomètres du village traversé du fameux pont qui serait traversé par le convoi. Ce dernier avançait lentement, tant le poids du colosse et de sa cage était grand et demandait un travail harassant aux bêtes de somme qui devaient faire avancer le tout. Il eut tout le temps de regarder ce qu’il y avait devant lui, d’estimer les forces en présence et la formation de ce convoi qui devait être le dernier de l’existence d’Eylohr. Il observa, scruta, cherchant la moindre faille et la moindre faiblesse dans un tel dispositif. Lorsque le convoi passa au sein d’une petit village, l’informateur se plaça dans la foule qui était amassée autour. Jour de marché, le public était au rendez-vous et les gardes ne parvenaient pas à maintenir un périmètre de sécurité suffisant pour que personne ne puisse entrer en contact avec la cage d’acier. Là, l’informateur put obtenir toutes les données qu’il voulut, et plus qu’il n’en avait besoin d’ailleurs. Il s’éclipsa et usa de son physique athlétique pour courir sans jamais s’arrêter jusqu’au navire de Pedro qui remontait le fleuve. Il arriva à quelques encablures du village cible, là où, d’après les marées, les vents et les courants, il était sûr d’arriver avant le navire et suffisamment tôt pour que les préparatifs puissent avoir lieu. Le navire fit halte, affala les voiles afin de s’assurer une immobilité suffisante pour qu’une discussion puisse avoir lieu. Il interpella le capitaine De Sousa depuis la rive. Il pouvait parler sans crainte car il n’y avait rien d’autre que l’eau, la terre et quelques moutons dans les parages.


    - Aye Capitaine ! Dit-il, essoufflé par sa cavalcade. Le convoi approche. Y’a… 10 bonhommes en armures… Et armés d’lames et d’fusils. Y a un jeune lieutenant qui commande, et j’ai entendu les gardes parler du fait qu’le convois était allégé car aucun pirate ne se risquerait à faire évader le colosse à terre. C’pour ça qu’ils n’ont pas énormément de soldats. Ils pensent que tout va rouler. Le… Le géant est tout seul dans sa cabine d’acier, et il parait qu’il a presque tuer le capitaine de la garde avant de partir ! ils avancent lentement ! Ils seront au pont que dans 1 heure au moins !


    C’était au capitaine d’entrer en scène dorénavant et de faire preuve de ruse autant que d’ingéniosité. Mais le capitaine De Sousa était connu pour ses capacités en combat et sa ruse à toute épreuve.

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