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Chroniques d'Irydaë
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 Sanaë Eshfeld

Sanaë Eshfeld
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Sanaë Eshfeld EmptyJeu 19 Oct - 12:33
Irys : 743374
Profession : Amnésique attachante
Daënar +2 ~ Skingrad (femme)
Sanaë Eshfeld



Passeport


Nom : / Eshfeld
Prénom : / Sanaë
Surnom : / Sana
Sexe : / Féminin
ge : / 31 ans
Métier : / Ancienne horlogère,
aujourd'hui inventrice.
Communauté : Daënastre - Le Tyorum
Lieu de naissance : / Blumar





Aptitudes & possessions

  • Armes et habiletés : - Un revolver model faucon.
  • Familiers/montures : - Shaïa, l'oursonne.
  • Autres possessions : - Une maison au Tyorum, en bord de baie.




Profil psychologiqueSana, ma chère petite sœur. L’on me demande de parler de toi, mais par quoi commencer ?

Tu étais jadis une jeune femme particulièrement énergique, animée par une énergie débordante. Tu étais bien incapable de tenir en place, avec un besoin constant de t’occuper. Les seuls moments où nous te trouvions calme et posée, tu étais en train de travailler ou de lire… Mais comme tout va dans l'extrême avec toi, tu es capable d'en oublier de manger ou de dormir. C’est dire. Mais sitôt terminé, tu reprenais ta course folle, contre le temps et la vie.

Ô combien rêveuse aussi, tu papillonnais l’air de rien, comme si finalement rien n’avait réellement d’importance. Je sais bien que c’est faux, tu tiens à ta famille et à tes amis, mais il n’empêche que l’on se demande souvent ce qu’il se passe dans ta tête. Ton esprit virevolte dans les airs vers une destination inconnue de nous tous... Ce qui entraîne souvent quelques maladresses de ta part. Rares sont les personnes trébuchant sur des obstacles invisibles comme cela t’arrive si souvent.

Ton espièglerie semble t’avoir quitté, tu es aujourd’hui bien plus réservée, plus calme. Tu paraîtrais presque éteinte, en particulier lorsque l’on te connaît depuis longtemps à l’époque où la maison se retrouvait immédiatement animée, voir dévastée par la tornade Sana. Tout est bien plus calme maintenant.

Tu parles, tu parles, de tout, de rien, mais rarement de toi. L’on peut dire que tu ne te livres pour ainsi dire jamais. Nul ne sait réellement ce que tu penses, ce qui est assez perturbant, malgré tes sourires avenants.

Curieuse petite sœur, tu aimerais tout voir, tout savoir, tout comprendre. Depuis l’enfance, tu dévores les ouvrages géographiques, historiques ou encore les simples recueils de légendes. Je me souviens qu’après chaque lecture, tu t'empressais de venir nous raconter tes découvertes. Tu parlais vite et si fort que nous peinions à te comprendre. D’ailleurs, tu le fais toujours, d’une certaine manière, bien que plus posée et timide. Lorsque tu es passionnée, ton débit de paroles est aussi impressionnant qu’épuisant. Ton visage s’anime aussitôt, en particulier, quand tu nous parles de ta passion pour My’trä, son histoire, sa magie, ses légendes. Tu rêves de fouler ses terres depuis la première fois que notre père t’as conté l’histoire des origines. Ta passion pour le sujet n’a fait que croître avec les années.

Sana, tu te montres parfois si naïve, voir même totalement inconsciente. C’est un véritable paradoxe. Tantôt réfléchie, logique, maligne et observatrice, tantôt son exacte opposé. Il t’arrive de foncer tête baissée dans les ennuis sans réellement te préoccuper des conséquences.

Tu es plutôt ouverte d’esprit, tu ne juges jamais autrui. Ce qui pourrait être une qualité, du moins en théorie. Tu vois le bon partout, même dans le mauvais, expliquant que tout acte vient d’un choix forcément nécessaire.Tout du moins, tu le penses pour la grande majorité des humains, bien que tu cherches toujours à comprendre les raisons qui ont poussé cette femme à agir de la sorte ce jour-là.

Bien naïve disais-je… Il y a encore tant de choses que tu ne sais pas sur les humains, petite sœur. Tu as bon cœur, mais celui-ci a encore besoin de s’endurcir, crois-moi.

Je t’ai longtemps vu comme une grande enfant… Trop idéaliste, trop rêveuse. Tu ne parlais que de voyages et de découvertes, mais as-tu simplement pensé aux conséquences ? Aux dangers ? Je ne crois pas. Sana, tu te laissais emporter par ta passion. Pourquoi ne pas simplement rêver, comme la plupart des jeunes filles, de trouver l’amour et de fonder un foyer ? Lorsque je t’ai posé cette question, il y a déjà quelque temps, tu m’as ri au nez. M’expliquant que ce n’était pas pour toi, tu n’y croyais tout simplement pas.Étrange que cela te soit arrivé tout de même n’est-ce pas?

Je te sais déterminée et courageuse, Sana. Tu as toujours su ce que tu voulais, mais tu n’osais pas, faisant systématiquement passer les besoins et désirs des autres avant les tiens. Tu t’enfermais toi-même dans ce quotidien dont tu ne voulais plus. Dans un sens, tu as besoin d’être rassurée, encouragée. C’est peut-être ta plus grande faiblesse. Avoir besoin des autres pour agir. Ne me contredis pas, tu serais partie depuis longtemps si ce n’était pas le cas. Peut-être as-tu simplement besoin d’appartenir à quelque chose, je ne sais pas.



PhysiologieDésespérante petite sœur. Je ne saurais pas dire si tu as seulement conscience de ta beauté, ou alors peut-être t’en fiches-tu tout simplement. Tu n’as jamais prêté attention aux nombres de regards qui s'attardent sur toi, ou aux garçons qui passaient chaque jour devant l’atelier simplement pour t’apercevoir.

Tu pourrais probablement faire des ravages en te comportant de façon féminine, ne serait-ce qu’en portant une robe. Mais non, au lieu de cela, tu te contentes d’enfiler la première tenue qui te tombe sous la main, souvent tachée et usée jusqu’à la trame, pour peu que tu la juges confortable.

Tu n’es pas bien grande, avec ton mètre soixante, ni même très épaisse. Encore faudrait-il que tu prennes le temps de t’asseoir pour manger. De ce fait, tes formes sont certes féminines, mais restent relativement discrètes.

Tes traits fins, et ton sempiternel sourire en coin donnent à ton visage des airs gracieux. Tout comme tes yeux bleus joliment encadrés de longs cils sombres qui rendent ton regard saisissant, voir même perturbant lorsque tu es en colère.

Tu ne prends guère le temps de coiffer tes longs cheveux blonds, te contentant de les arracher grossièrement lorsque tu travailles. As-tu déjà utilisé le maquillage offert par notre mère ? J’en doute, les seules traces de couleurs que j’ai vu sur tes joues venaient de la graisse que l’on utilise dans l’atelier.

Sana, tu ne sais pas marcher, tu trottines à longueur de journée. C’est à se demander si tu es attendue quelque part ou simplement pressée de nature. À te regarder faire l’on se retrouve pris de tournis...

Que dire de plus ? Peut-être parler de ta voix. Lorsque tu discutes normalement, celle-ci est douce, presque mélodieuse. En revanche, lorsque tu t’emportes, elle devient grinçante et particulièrement agaçante.



Biographie

Tu es née un soir d’automne particulièrement frisquet. Petite dernière d’une déjà bien grande fratrie, puisque sept garçons te précédaient. Une si petite chose que l’on déposa sur le ventre de notre mère. Tu fis immédiatement son bonheur, à elle qui rêvait, depuis fort longtemps, d’avoir enfin une fille. Seulement, cette euphorie disparut rapidement, tu es née trop tôt, trop faible. Le médecin expliqua à nos parents que tu ne vivrais que quelques heures. Je revois encore maman, te tenant près de son cœur, pleurant la future perte de son bébé et papa totalement désemparé juste à côté. Seulement, tu survécus. Les jours, les semaines qui suivirent furent pour nous particulièrement effrayants. Nous étions dans l’attente de ta mort brutale et surprenante. Mais pourtant, tu t’accrochais à la vie, toi tout petit bébé si frêle et si fragile.

Te voir reprendre des forces, grandir,fut un immense bonheur pour nos parents, mais aussi grande responsabilité pour nous. Habitués aux garçons en bonne santé nous ne savions pas comment nous comporter avec toi qui étais si petite. Pourtant, ce fut assez facile. Éveillée, curieuse et enjouée, tu nous suivais partout sans jamais te plaindre de nos farces. Au contraire, tu riais avant de te venger quelque temps plus tard. Quand j’y repense, quelle belle enfance nous avons eut, tout de même, dans cette grande famille.

L’horlogerie de notre père fonctionnait à merveille, de ce fait, nous n’avons jamais manqué de rien. Et même si ce fut Jaread, notre aîné qui fut tout naturellement désigné comme successeur et formé afin de le devenir. Tu montrais beaucoup plus d’entrain que lui. Chaque jour, après l’école, tu courais pour rejoindre l’atelier afin de d’observer papa travailler. Comme il était fier de te montrer son ouvrage, de répondre à tes questions toujours plus nombreuses.

D’ailleurs des questions, tu en posais sur tout sujet et tout le temps. Cela s’est calmé, un peu, lorsque tu as appris à lire. Dès lors, tu dévorais les ouvrages, les uns après les autres. Tu voulais devenir exploratrice, discuter avec les architectes, fouler toutes les terres d’Irydaë et rencontrer tous les peuples existant. Je te vois encore essayer de te fabriquer une boussole avec les rouages défectueux qui traînaient dans l’atelier. Tu y mis tout ton cœur, mais évidemment elle n’a jamais fonctionné. Tu la garde tout de même en souvenir, comme une sorte de totem personnel.

Puis le temps passa. Notre père, déjà âgé, décéda. Comme convenu, Jarread reprit l’atelier, avec toi, Sana. Vous n’aviez certes pas le talent du patriarche, mais grâce à sa minutie et à son œil d’artiste, vos horloges et vos montres se sont vu dotées de gravures exceptionnelles qui les rendit d’autant plus célèbre. Durant cette période, je ne te connus aucun loisir, ni même aucun ami, mais je te voyais te perdre dans tes pensées et dans ton travail. Ce fut assez douloureux pour nous, mais cet état ne fit qu’empirer lorsque ce fut au tour de notre mère de tomber malade.

À l’annonce de sa maladie, tu ne pris aucun moment pour réfléchir. Tu abandonnas ton travail afin de t’occuper d’elle. Son état se dégrada lentement, mais sûrement. Puis quand elle perdit la vue, tu te mis à lui faire la lecture. Elle aimait t’écouter, elle me l’avait avoué. Ta voix s’animait lorsque tu lui contais ces histoires que tu aimais tant. Puis un matin, après neuf longs mois d’agonie, elle ne se réveilla pas. Je te vois encore, les bras ballants, le visage entièrement fermé et recouvert de larmes, devant son corps alité. Que ressentais-tu à ce moment ? À quoi pensais-tu ? Tu restas dans cette maison vide plusieurs semaines, assise à la fenêtre à regarder le ciel et les aéronefs passer.

Quelque temps plus tard, tu repris le chemin de l’atelier, mais nous avons bien vu que le cœur n’y était plus. Tes sourires semblaient éteints, tes regards perdus, ailleurs, loin de nous. Tu observais tes frères se marier, devenir père avec ce même sourire. Tu aimes tes neveux et nièces, cela se voit, tu prends énormément de plaisir à jouer avec eux, leur raconter des histoires. Et ils te le rendent. Mais toi, durant tout ce temps, tu tenais à l’écart tout homme assez fou pour t’approcher. Nous te vîmes te renfermer, jour après jour, semblable à oiseau en cage.


Tu te renfermais dans ton atelier, ton antre, te concentrant uniquement sur ton travail ou sur ces petites créatures mécaniques que tu semblais affectionner tout particulièrement. Tu es douée Sana, et je suis persuadé, tout comme les autres membres de notre fratrie, que tu aurais pu tout fabriquer si tu avais le matériel qu’il te fallait. Blumar, de par sa nature, ne t’offrais guère de possibilités, tu as tout appris en autodidacte sans avoir pu faire d’études que tu aurais largement mérité. Au lieu de cela, tu te contentais d’améliorer ton art. Tes montres, tes objets se voyaient de plus en plus perfectionnés...

Tu aurais pu devenir une très grande horlogère… Après l’exposition universelle de 932, vos carnets de commandes débordaient littéralement. Le nom Eshfeld se fit connaître comme un gage de qualité… Jusqu’au jour où cette femme entra dans ta vie pour tout détruire… Ce qu’elle te poussa à faire, Sana, te hantera probablement toute ta vie, entachant à jamais tes mains du sang de notre aîné que tu as préféré libérer plutôt que de le laisser souffrir sous l’immonde torture que cette femme lui infligeait. Heureusement, cet homme t’a sauvé des flammes qui ont emporté l’horlogerie, comme cette vie que tu avais connus jusque-là.

Tu choisis de partir, avec lui, dans un petit village en bord de baie, non loin de Skingrad. Tu ne nous donnes que peu de nouvelles… Nous savons tous que tu penses avoir perdu le droit de faire partie de notre famille… C’est pourtant faux… Privée de l’usage de tes mains, par ton esprit meurtri, t’empêchant de tenir un outil, tu te mis à compenser par ton ingéniosité. Imaginant à présent tout une multitude de création bien loin du monde de l’horlogerie. Nous espérons tous que tu puisses bientôt fabriquer tout cela de tes propres mains… Nous sommes tous impatients de savoir de quoi tu es réellement capable Sanaë...





Dans la vraie vie ?


Quel âge avez-vous ? / 31 ans :’(
Comment avez-vous découvert le forum ? / Top site ^^
La création de votre fiche a-t-elle été fastidieuse ? / Hum, à voir si elle a besoin d’être reprise ^^
Avez-vous des suggestions pour rendre la validation plus facile ? / Nop
Code du règlement : [Ok par Amisgal]


Dernière édition par Sanaë Eshfeld le Ven 9 Mar - 6:30, édité 6 fois

Bolgokh
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Sanaë Eshfeld EmptyVen 20 Oct - 13:15
Irys : 929949
Profession : Créateur de monde à temps partiel
Administrateur
Liste des réputations de Sanaë Eshfeld
Réputation principale : Le Tyorum (positive)


Réputation auprès de Daënastre

RÉGIONS
RÉPUTATIONS
POINTS
Ünellia--------
200/30.000
Le Tyorum--------
7.900/30.000
Rathram--------
0/30.000
Vereist--------
0/30.000
Hinaus--------
0/30.000
Dissidents--------
0/30.000
Loyalistes--------
0/30.000

Réputation auprès de My'trä

RÉGIONS
RÉPUTATIONS
POINTS
Suhury--------
-2.501/30.000
Zagash--------
-2.501/30.000
Zolios--------
-2.501/30.000
Khurmag--------
-2.501/30.000
Kharaal Gazar--------
-2.501/30.000
Nomades d'Amisgal--------
-2.501/30.000
Nomades d'Orshin--------
-2.501/30.000
Mathiliens--------
0/30.000
Défenseurs--------
0/30.000

Réputation auprès des Pérégrins

GROUPES
RÉPUTATIONS
POINTS
Zochlom--------
0/30.000
Nislegiin--------
0/30.000
Als'Kholyn--------
0/30.000
Monde du Crime--------
0/30.000
Cercles de l'Aube--------
3.000/30.000
Ordre de la pénitence--------
0/30.000
Les Vigilants--------
0/30.000
Les Danseurs du Crépuscule--------
0/30.000
La Flamme Noire--------
0/30.000


Dernière édition par Bolgokh le Mer 21 Mar - 1:45, édité 4 fois

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Daënar +2 ~ Skingrad (femme)
Chronologie rp


932

Février

Tous concernés - Gwen Feien - Hex Hekmatyar - Joël Neara - Ünellia - Tellora - Terminé

Les mécanismes de la guerre - Hex Hekmatyar - Le Tyorum - Blumar - Terminé

Juin

Un grin de sel dans les rouages - Gwen Feien -Le Tyorum - Blumar -Terminé

Décembre

Exposition universelle de Gustave Wilson -Pavillon Daënar - Zochlom - Terminé

933

Janvier

Essai en haute altitude -Dazen Guile - Ünellia - Alexandria - Terminé

Une collaboration sous le signe de la richesse - July Lahry'Dryka - Ünellia - Alexandria - Terminé

Un peu de chair sous beaucoup de fer - Hyperion Radchen - Le Tyorum - Blumar - Terminé

Février

Bal de charité d'Alexandria - Yssaë -Laura L. Greyson - Ginger Holmes - Tashinär Vélacen Malphà - Henry Farstadt - Katharina Strauss - Gwen Feien - Ünellia - Alexandria- Terminé

Embrigadement - Alyvesha - Ünellia - Alexandria Terminé

Mars

Jouer à la marchande - Laura L. Greyson - Le Tyorum - Blumar - ( en cours )

Vous faites les achats de groupe ? - Tashinär Vélacen Malphà - Le Tyorum - Blumar - Terminé

Avril

Le temps ne se mesure pas! Il se savoure... - Zora Viz'Herei - Le Tyorum - Blumar - Terminé

Quand une lumière s'éteint ... - Hyperion Radchen - Le Tyorum - Blumar - Terminé


Mai

Réparer les vivants- Hypérion Radchen - Le Tyorum - Terminé

Montre brisée et âme tourmentée - Aurore Seraphon - Le Tyorum - Terminé

Les mécanismes de l'âme - Hypérion Radchen - Le Tyorum - Terminé

Un pour tous et tous pour la mécanique - Allys Terasu & Hypérion Radchen - Le Tyorum - Terminé

Ce que l'on redécouvre ne nous apporte que des maux. - Flavien Teleri - Le Tyorum - Terminé


Juin

Les chaînes brisées - Hypérion Radchen - Le Tyorum - Terminé

Novembre

L'ours et l'agneau - Eylohr Lothar - Le Tyorum - Terminé

Renouveau

L'agneau et le berger - Norwin Mererson - Quartier Général des Cercles de l'Aube - (en cours)


Dernière édition par Sanaë Eshfeld le Ven 11 Jan - 18:13, édité 18 fois

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Connaissances oubliées



RPs en commun




Février 932
Tous concernés

Juin 932
Un grain de sel dans les rouages

Février 933
Bal de charité d'Alexandria



Gwen Feien


Une "amie" bien particulière. Leur rencontre ne fut pas vécu de la même façon par les deux femmes. Pour Sanaë il s'agissait de l'effet du hasard, tandis que pour Gwen tout était bel et bien prévu.





*****



Hypérion Radchen


Il est des rencontres exceptionnelles, celle-ci en faisait indéniablement partie. Hyperion avait fait une entrée fracassante dans la vie de la jeune femme (surtout pour sa tête). Elle l'avait recueilli et rapidement considéré comme un petit frère, petit ange adorable qui lui avait sauvé la vie au moment où celle-ci s'est vue menacée. Depuis, ils veillent l'un sur l'autre.... Mais les sentiments ont évolé d'une façon bien particulière,  se muant en un amour profond, passionnel et hautement destructeur. Malgré tout, Sanaë ne garde aucun souvenir de ce jeune homme.





****



Zora Viz'Herei


Zora fut probablement son pire cauchemar... Et le mot est faible, en réalité. Zoraétait entrée dans sa vie, tornade rousse porteuse de mort, de douleur et de frayeur.





*****


RPs en commun



Mai 933
Montre brisée et âme tourmentée

- [url=#]lien du RP[/url]
Mois année du RP
- [url=#]lien du RP[/url]



Aurore Seraphon


Une autre de ces rencontres étranges, inattendues et surtout providentielle. Aurore,
malgré tout ce qu'elle peut en dire, avait grandement aidé Sanaë au moment où elle se trouvait totalement perdue dans son incapacité à créer. Les deux femmes, que tout oppose pourtant se ressemblaient énormément... Une belle amitié aurait pu naître de cette rencontre. Néanmoins, la vie étant ce qu'elle est, les deux femmes ne se sont plus jamais revues par la suite. 





*****


RPs en commun


Fin mai 933
- Ce que l'on redécouvre ne nous apporte que des maux
- [url=#]lien du RP[/url]
Mois année du RP
- [url=#]lien du RP[/url]



Flavien Teleri


Flavien est un jeune homme rencontré dans des circonstances bien particulières. Le jeune homme avait bien connu Lize, sa cousine adorée disparue depuis bien des années et s'était rendu auprès de l'ancienne horlogère dans le but de lui rendre ses mémoires. Tout ceci aurait pu s'arrêter là, à ce simple dont... Et pourtant... La conversation prit une autre tournure, se transformant naturellement en un humble échange de points de vues. Cette rencontre permit à Sanaë de réaliser bien des choses sur elle-même tout en soulevant une myriade de questions.

Malgré leurs différences, les deux se comprennaient, un détail important qui toucha profondément la jeune femme d'alors.





Connaissances actuelles


*****


RPs en commun


Mois année du RP
- [url=#]lien du RP[/url]
- [url=#]lien du RP[/url]
Mois année du RP
- [url=#]lien du RP[/url]



Prénom Nom du personnage


Description du personnage rencontré.




Sanaë Eshfeld
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Sanaë Eshfeld EmptyMer 10 Mar - 11:14
Irys : 743374
Profession : Amnésique attachante
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Projet d’ellipse de Blanche
Etat du personnage avant l’ellipse :

La mémoire ne lui revenant pas et se retrouvant seule au monde, la dénommée Blanche décide de rester à Zochlom et d'intégrer le quatrième cercle afin de bénéficier de la formation de base .

Projet :
  • De 935 à 939 :

    La situation globale devenant alarmante, la formation des apprentis s'intensifie grandement. À la fin de l'année, la jeune femme intègre directement le troisième cercle pour répondre aux besoins immédiats de l'ordre.
    Au bout de quelques mois, Blanche comme bon nombre de membres de l'Ordre rejoignent le front . La jeune femme est notamment envoyée à Cerka, en tant qu'infirmière de guerre, même si, officiellement, elle est toujours en formation. Elle y rencontre Isha Varlega et devient son infirmière attitrée. Elle suivra ainsi le médecin tout le long de cette sombre période, l'assistant au mieux tout en approfondissant ses connaissances en matière de traumatologie.



Etat du personnage à la fin de l’ellipse :

La guerre mise en pause après la pandémie, Blanche regagne le QG du Cercle. Les souvenirs de la guerre et la pression qui s'est exercée sur elle tout du long l'ont profondément marquée. Aussi, la jeune femme aspire à présent au calme. Malgré tout, aucun souvenir de sa vie passée ne lui sont revenus. Blanche en a fait définitivement son deuil et préfère de focaliser sur l'avenir.

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