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Chroniques d'Irydaë
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Nom : Godmerek Prénom : Adramus Surnom : Le Cri du Dragon Sexe : Masculin Âge : Au-dessus de la trentaine Métier : Aventurier, et maître d'armes à l'occasion Communauté : Nomade solitaire Lieu de naissance : Kharaal Gazar
Aptitudes & possessions
Croyance : Amisgal
Capacités affiliés : Magie de l'air niveau ADEPTE :
Il faut savoir qu'Adramus a développé tout un véritable art martial à partir de sa magie liée à Amisgal. Invoquant en un instant une excellente lame magique dégageant d'étonnantes bourrasques, le guerrier a compilé des tas de techniques au sabre impliquant l'utilisation de ses pouvoirs en guise d’auxiliaire. Chacune a un nom, qu'il se plait à prononcer avant exécution comme une invocation. Un bond en avant, appuyé par la magie, suivi d'un coup d'estoc puissant; la projection d'une onde d'air capable d'entailler, dans une moindre mesure, l'adversaire... Cette manière de combattre représente beaucoup pour le voyageur: l’œuvre de sa vie, la manifestation de sa foi, et une recherche désespérée de la perfection martiale. C'est à cela qu'Adramus consacre la majeure partie de son entrainement quotidien.
Au niveau des capacités plus utilitaires, il aime employer ses pouvoirs pour faire de grands bons en avant, afin de se déplacer plus vite. (limite à 15m de longueur pour 2m de hauteur et se fatigue rapidement). Son déplacement magique peut être aussi plus rapide et mesuré, c'est ainsi qu'Adramus parvient à augmenter la vitesse de ses mouvements, qui deviennent alors 1,5 fois plus rapide que la normale, pendant environ dix secondes avant de devoir stopper le combat. Si jamais il poursuit ses attaques après ce laps de temps, les conséquences sur son corps pourraient être dramatiques. Enfin, il utilise fréquemment la paume de ses mains pour envoyer des impulsions très brèves, mais puissantes, capables de renverser un homme s'il gère bien sa concentration.
Armes : Un bâton de bois, mais il s'en sert plus souvent pour marcher
Familiers/montures : Lepios, un griffon acquis en février 934 qui ressemble à ça:
Spoiler:
Autres possessions : Une magilithe exquise majeure contenant un sort de soin (de niveau adepte donc) capable, si l'on vide toute la pierre, de soigner plusieurs fractures ou blessures mortelles sur lui-même ou sur un tiers s'il le touche. Le tout est enchâssé dans un bracelet de cuir son son bras.
Profil psychologique Adramus a, depuis maintenant une petite vingtainee d'année, développé sa propre philosophie guerrière basée sur un développement constant de sa capacité de concentration et un code de l'honneur stricte qu'il ne doit en aucun cas enfreindre sous peine d'un déshonneur éternel auprès de celle qu'il vénère tant. Du nom de « Erel Kheg », ce petit livre inculque à qui en suit les enseignements tous les comportements appropriés à une vie saine, pieuse, et vouée à développer sa force et sa technique au travers de nombreux exercices difficiles. Ce rigorisme est le résultat d'une profonde vénération de l'Architecte des cieux Amisgal, et d'un souhait profondément ancré dans sa chair de la servir, elle et sa descendance reptilienne. Il répugne toutes les castes éparpillées dans le monde qui n'ont pour seul but que d'asservir les dragons et toutes les autres créatures volantes afin de dominer les cieux. Rien au monde ne le rend plus amer que de voir un dragonnier ou un chasseur quelconque essayer de dompter un griffon. Pour Adramus, le ciel appartient à Amisgal et à ses enfants. Les hommes sont destinés à rester sur la terre ferme, lorsqu'ils s'élèvent c'est pour retomber aussitôt, c'est bien la preuve que leur place n'est pas auprès de ces majestueuses créatures.
Mais au-delà de cette rancœur vindicative,le guerrier est quelqu'un de profondément bon Il aime aider les autres, alléger leur fardeau, et prendre tout sur ses larges épaules comme si c'était le seul moyen d'avoir grâce aux yeux de sa déesse. Son code d'honneur serait presque tourné vers l'automutilation, si un chapitre entier n'était pas consacré au bien-être du corps, à son allègement spirituel, afin d'avoir les pieds moins lourds et de pouvoir lever la tête vers les nuages. Adramus sait ce qui est bon pour le corps humain, ayant mis un temps considérable à élaborer les règles qui régissent sa vie. Ce n'est pas un grand bavard, cependant, ni un intellectuel. Comprendre le monde, en décrypter le code mystique, ce n'est pas dans ses projets. Il considère que les choses de la réalité sont bien plus importantes à traiter, et c'est pourquoi il parcours le monde à la recherche de gens à qui louer sa vigueur et sa bienveillance pour quelques Irys.
Néanmoins, malgré sa bonne foi, son éducation l'oblige à éprouver un fort ressentiment inné contre les Daënars. Au fil des années, il s'est mis à leur trouver, de façon automatique, les pires défaut de l'humanité. Ils exploitent le sol avec une avarice dangereuse pour en extraire les richesses vitales de l'univers, ils détruisent le monde à petit feu dans le seul but de prendre leur revanche sur des dieux qu'ils ont trahis. La technologie le rend malade, littéralement comme figurativement, et c'est la raison pour laquelle il côtoie peu les cités où se réunissent de grandes populations.
Pour terminer sur la personnalité de cet énigmatique personnage, sachez que depuis quelques temps il est à la recherche d'un disciple à qui transmettre son savoir avant sa mort. Non pas qu'il souhaite voir son nom gravé sur la roche, mais il est simplement convaincu d'avoir trouver la manière de vivre parfaite d'un guerrier. C'est l'oeuvre de sa vie, et il compte bien en faire profiter l'humanité entière.
Physiologie Le corps d'Adramus, bien qu'il vénère tout entier la déesse des cieux étoilés, semble comme un morceau de roche qu'on aurait sculpté méticuleusement pour en faire un avatar de granit qui conviendrait tout à fait à Delkhii le Grand Bâtisseur. D'une taille honorable, environ 1m85, et d'une épaisse physionomie, on aurait du mal à penser que par la seule force de sa piété et de sa volonté cette masse de muscles parvienne à s'élever au-dessus du sol comme une feuille de papier. C'est un entraînement aussi bien physique que spirituel qui a amené le guerrier là où il en est aujourd'hui. Mais ne vous y trompez pas, on ne devient pas aussi fort simplement en le souhaitant. Il faut avoir un passif derrière, une enfance vouée à se développer à force de travail et de privations. Ne souhaitez pas tout de suite devenir comme cet homme, vous pourriez le regretter.
Malgré tout, il y a quelques avantages à avoir passé sa vie dans le labeur et l'entrainement. Les capacités mentales d'Adramus sont loin d'être les plus exponentielles, mais il est facile de comprendre ô combien il a compensé tout cela par le développement de ses capacités physiques. Le guerrier frappera sûrement plus fort que vous, courra certainement plus vite et plus longtemps, pourra escalader des parois rocheuses dont vous n'essayerez même pas de voir le sommet... Adramus est une force de la nature, et couplé à sa magie et sa volonté de fer, il est une machine de guerre très difficile à stopper.
Evidemment, une stature aussi imposante exerce forcément une lourde présence sur ce qui l'entoure. Que ce soit sa voix grave comme l'écho au fin fond d'une crevasse, sa démarche de golem aux pieds d'acier, ou encore sa respiration toujours lente et mesurée, on ne peut passer à côté d'Adramus sans ressentir un certain sentiment de sécurité, ou bien de l'intimidation si l'on est facilement impressionnable. C'est quelque chose qu'il apprécie de sa personne, puisque son but sera toujours de protéger les gens qui l'entourent, alors si les intéressés lui font naturellement confiance cela ne peut être que bénéfique.
Niveau vestimentaire, là aussi, le guerrier s'est imposé une garde-robe limitée et à forte symbolique. Lorsque la température le permet, il se promène torse-nue, exhibant ses nombreux tatouages tribaux aux yeux de tous. Néanmoins, il garde toujours une tunique, ou une toge de tissu, attachée autour de sa taille et il l'enfile dès que la température se refroidit. Si vraiment le froid l'handicap, il trouvera toujours moyen de se vêtir un peu plus.
Dans la vraie vie ?
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Dernière édition par Adramus le Mer 17 Avr - 17:44, édité 15 fois
Bolgokh
Mar 8 Nov - 23:10
Irys : 929949 Profession : Créateur de monde à temps partiel
Liste des réputations d'Adramus Godmerek
Réputation principale : Nomades d'Amisgal (positive)
Gharyn du petit village de Cerka, dans les forêts enneigées de Khurmag. Homme d'honneur, homme de principes, homme à qui Adramus doit le plus grand respect. Un respect réciproque, car l'un et l'autre se sont affrontés amicalement dans ces bois et Adramus gagna. Vaincu, mais point du tout amer, Donovan proposa au voyageur de former ceux qu'il se devait de protéger à devenir des guerriers compétents, à-même de se défendre par eux-mêmes. Mais Adramus refusa, il refusa car son oeuvre, l'Erel Kheg, n'était pas tout à fait accomplie. Il promit de revenir dans un an, quand il aurait achevé ce manuel du parfait guerrier. Il honorera sa promesse.
Un enfant, un simple enfant que le guerrier d'Amisgal croisa aux hasards de ses routes. Il était bien naïf, enfantin, fragile. Adramus n'a pas beaucoup de considérations pour ce genre d'inconscients, mais il lui adressa tout de même ses plus sincères prières afin que sa route ne se termine pas trop abruptement. Entrant ensuite dans la ville d'où était originaire le jeune garçon, et qu'il venait de quitter, le voyageur prononça un discours poignant dont les habitants se souviendront encore longtemps.
La femme de sa vie. Tout bonnement. Il n'y a rien à dire de plus ! Si vous insistez, je peux vous dire qu'il l'a sauvée du danger, qu'elle l'a sauvé de la solitude, qu'ils se sont unis, qu'ils se sont séparés en se jurant de se retrouver par la suite, ce qui fut fait. Une histoire mouvementée, certes, mais l'un comme l'autre connait le destin qui les unit. Ils sont fait l'un pour l'autre, s'aiment à en faire trembler les quartiers de Darga, et même lorsque le combat rappellera l'éternel guerrier d'Amisgal, il sait qu'elle le suivra.
C'est toute sa vie, son présent, son futur. Ni plus, ni moins.
Un vagabond, comme Adramus. Un épéiste, comme Adramus. Un philosophe, comme Adramus. Alors, pourquoi Kazushi déteste tant Adramus ? Eh bien parce que l'on peut vagabonder, se battre à l'épée et philosopher tout en ne partageant aucune idée en commun avec ses camarades voyageurs, bretteurs et penseurs. Ils auraient pu être amis, pourtant, mais le fait est que ce n'était pas le bon moment pour que ces deux âmes se trouvent des points communs. Kazushi a vu Adramus saigner, tuer, être emprisonné et exilé. Qui sait ce qu'il pense du guerrier d'Amisgal en ce moment.
RPs en commun
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Prénom Nom du personnage
Description du personnage rencontré.
RPs en commun
Mois année du RP - [url=#]lien du RP[/url] - [url=#]lien du RP[/url] Mois année du RP - [url=#]lien du RP[/url]
De prime abord, on pourrait penser que la guerre n’a pas eu beaucoup d’incidence sur la vie d’Adramus. En effet, vivant à Dyen il avait peu de risques d’être impacté par les combats se déroulant plusieurs centaines de kilomètres au nord. Mais ce serait bien mal connaître le guerrier qui, malgré le fait qu’il ait une famille aimante et une situation stable à Nislegiin, voulait à tout prix défendre My’trä et surtout le Kharaal Gazar, sa terre natale.
Très tôt il quitta donc Mary et sa fille Aliénor et embarqua pour My’trä où l’attendrait de dures épreuves. Il resta à Busad tout au long de la guerre. Avant le début des hostilités il aida la ville à stocker de la nourriture, de l’eau, des produits de première nécessité, mais opéra aussi des missions d’éclaireur sur le dos de son griffon pour aider les dirigeants de Busad à évaluer le terrain, comprendre où seraient leurs forces et leurs faiblesses et quels lieux seraient les plus avantageux pour une possible bataille.
Puis vint finalement le débarquement des Daënars. Ils contrôlèrent rapidement les airs, donc les missions de reconnaissance ne pouvaient plus se faire avec son Lepios, mais par petits groupes sur la terre ferme. Le danger s’approchait de plus en plus, déjà des réfugiés de la côte et d’autres Kharaaliens vinrent s’abriter derrière les hautes murailles. Puis vint le siège. La puissance de feu des Daënars avait de quoi tétaniser même le brave Adramus. Il n’avait jamais été confronté à une puissance pareille. Il douta même que l’intervention de Süns à Zochlom avait eu une telle ampleur. C’était inouïe et il se sentait terriblement impuissant. Mais il fit de son mieux pour aider durant ce siège.
Les renforts arrivèrent finalement. Adramus ne participa pas aux gigantesques batailles entre les deux camps, il était trop épuisé pour ça. Sa motivation aussi s’était petit à petit tarie. Ces mois passés à subir, encore et encore, un feu constant sans que jamais aucune aide ne vienne, cette mort si proche et constante l’avait amené à réfléchir dans ses rares moments de quiétude à la raison de tout ceci. Oh non sa haine envers les Daënars n’avait jamais faibli et plus les légions destructrices de l’ennemi tentaient de les annihiler, plus il souhaitait que tous soient éliminés dans la souffrance. Non ce qui en lui s’éteignait petit à petit c’était sa propre fureur, son envie que lui, Adramus, participe à tout ceci. Désormais il avait une femme, un enfant, il pouvait peut-être connaître la paix ?
Mais lorsque la colère a été notre moteur toute notre vie, elle trouve toujours quelque chose à prendre pour cible. Et la cible de la rage nouvelle d’Adramus, une fois que l’ennemi fut repoussé, ce fut le Conseil de la Convergence. Pourquoi ? Eh bien parce que quand bien même ils venaient de l’emporter, que les Daënars venaient de repartir défaits, humiliés et affaiblis, le Conseil voulait continuer la lutte. Il voulait envoyer son peuple se faire tuer sur les terres des technologistes, alors que My’trä ne savait rien ou presque de ce qu’ils pourraient affronter sur place. C’était pure folie et peu de gens souhaitaient vraiment poursuivre le combat. Mais le Conseil leur força la main avec des promesses, des menaces parfois, mais Adramus n’irait pas. Il resterait à Busad, reconstruirait la vie de ces gens qui avaient tout perdu pour certains, mais surtout il serait aux premières loges pour écouter les discours de ce Mathilo et de ses collaborateurs. Le maître d’arme n’y avait pas prêté attention jusqu’alors, car il considérait que leur soi-disant « prophète » n’entendait pas réellement la parole de Bolgokh. Mais là où le guerrier était incrédule sur le plan religieux, il buvait les paroles de ces hommes sur le plan politique.
En effet Kimnas et Katakan promettaient la paix à ceux qui suivraient la voie de Mathilo. Pourquoi ? Parce que c’était la volonté de Bolgokh qui ne voulait pas voir sa création être détruite dans un torrent de feu, de sang et d’acier. C’était inutile d’en venir là et il y avait un autre chemin que l’annihilation. Peut-être pas la paix, mais au moins un statut quo, chacun reste chez soi, comme avant. Et puis, surtout, il y eut l’attaque du Conseil envers Mathilo et ses adeptes. Adramus était consterné. Pourquoi faire cela ? Quelle parole avait ce prophète qui méritait sa mort ? Ce n’était pas ce qu’il disait sur Bolgokh, ça non. L’autorité du Conseil n’était pas mise en berne parce qu’un pauvre vieillard disait que Bolgokh lui parlait. Alors ce devait être ses mots sur la guerre. Le Conseil voulait visiblement faire taire celui qui s’exprimait contre la guerre. Adramus réfléchit longuement à cela, à ce qu’il convenait de faire maintenant que le Conseil était officiellement entré en guerre contre les Mathiliens, comme on les appelait maintenant. Que préconisait l’Erel Kheg, son code d’honneur, face à cette situation ?
Alors il envoya une lettre à Mary. Il ne rentrerait pas à Dyen. Pas tout de suite du moins. Il rejoindrait les Mathiliens. Pas parce qu’ils propageaient la parole de Bolgokh, pas parce qu’ils voulaient la paix, mais parce qu’ils étaient la cible d’une puissance bien supérieure à la leur et profondément injuste : le Conseil de la Convergence. Adramus défendait les faibles, c’était ce que commandait l’Erel Kheg et dans cette situation les faibles, les opprimés, les violentés c’était Mathilo et ses adeptes. Alors il entra en contact avec un des prédicateurs de ce mouvement afin de pouvoir avoir une entrevue avec les chefs de ce mouvement. Adramus était une petite célébrité alors on le reçu là-bas, loin dans les montagnes de Zagash et Katakan l’accepta dans ses rangs. Ce dernier avait pour projet de former une milice plus offensive pour défendre les Mathiliens et ne pas se laisser marcher dessus par le Conseil. Vu le passif d’Adramus, il proposa à ce dernier de devenir un des lieutenants de cette nouvelle force, ce qu’il accepta. Le guerrier spécifia toutefois qu’il avait pour but de défendre ses pairs, pas de tuer leurs opposants qui étaient des My’träns au même titre que lui. Katakan accepta et dès lors et jusqu’à la fin de la guerre entre My’trä et Daënastre, en juin 938, Adramus s’évertua à former quelques recrues pour défendre les prédicateurs, les fidèles et les alliés de Mathilo à travers tout le continent. Ce serait leur mission.