| | Invité
| Sam 9 Mar - 12:38 | | | Je vous garantie que je n'ai pas de problème, je m’arrête quand je veux ! Mais pas maintenant. (Pour les curieux Zara est l'abréviation de Zaratous qui est mon pseudo partout.) Bonjour et bienvenue dans mon petit bout du musée, aux risques d'incendie supérieur. J'ai tendance à écrire quand un univers m'inspire mais tout ce que j'écris n'a pas forcément sa place avec mes perso ou bien même dans cette timeline. Donc je réquisitionne ce bout de forum... Just you try to stop me ! Vous pouvez vous attendre à de l'irrégularité, des histoires alternatives, des "documents officiels" pas officiels, des perso qui pourraient, pourraient pas coller avec l'histoire ou le ton et le tout vraiment pas canon. Sans plus attendre : - Elodie 007:
Il ne fallut pas longtemps pour que les parents d'Elodie comprennent que quelque chose clochait. Premièrement, sa mère n'aurait jamais dû tomber enceinte, et certainement pas garder l'enfant, et secondement une fois née, il était clair que le pauvre bébé était aveugle. Sa mère et son père son deux agents du gouvernement de Daënastre et si les relations entre agents sont découragées, mais pas interdite, les grossesses et autre action qui mettent les missions en danger le sont. Par un concours de circonstances et afin de ne pas briser une couverture sa mère à cependant du conserver l'enfant pensant l'abandonné à son retour, sa décision ne fut que renforcé par le handicap flagrant que la nouvelle née subissait. Mais c'est ce même handicape qui toucha l'intérêt du gouvernement. Un agent entraîné depuis la naissance avec des habitudes de véritable aveugle ? Cela serait un puissant outil pour le camp de la technologie ! Qui plus est la cécité n'est rien d'insurmontable pour la technologie. Ainsi, les premiers souvenirs d'Elodie sont l'apprentissage des doctrines d'engagement et des particularité des différente armes et magies des deux camps et de nombreux entraînement physique. Elle ne pouvait passer que peu de temps auprès de ses deux parents qui était souvent absent de par leur travail. Ils restaient, de toute façon distants avec elle, plus impliqués dans leur métier et missions que dans l'entretient émotionnel d'une future collègue. Parmi les leçons qui lui furent apprise, on notera qu'il lui était fortement découragé de poser des questions pour obtenir des réponse et qu'elle devait trouver des moyen détourné de faire parler les autres afin d'assouvir son intense curiosité. Si un adulte trouvait la vraie raison pour laquelle elle leur adressait la parole, une punition lui était donnée. Les punitions représentaient surtout des leçons à apprendre et à réciter et des corvée supplémentaires, mais plus rarement des réduction de sa portion de nourriture et exceptionnellement des punitions physique développée avec une conservation du corps comme objectif principal et la douleur comme objectif secondaire. Elodie passa ainsi toute son enfance au milieu d'un environnement paranoïaque qui lui instillait les bases de la politique et du travail d'intrigue. C'est pour ces six ans que les premières opérations ayant pour but de lui rendre la vue commencèrent. Aucune d'entre elles ne fonctionna. C'était comme si le corps d'Elodie se rebellait contre ceux qui lui avait volé son enfance. Aucune inspection ne parvint à trouver la cause de sa cécité et tout ce qui n'était pas un implant fut testé. Ce n'est que quelques jours avant l'opération qui la priverait de ses yeux biologique, et la condamnerait à ne pouvoir travailler en présence de mage que d'étrange lueur apparurent de l'autre coté de ses paupières. Sa vue était revenue d'elle-même. Malheureusement les expériences qu'elle avait subies les ont rendu hyper sensibles à la lumière rendant tout instant ouvert extrêmement douloureux pour la pauvre enfant et sa nouvelle nyctalopie n'était qu'un piètre bon point pour elle. L'évènement fut par contre une excellente nouvelle pour ses supérieurs qui firent passer son entraînement au niveau supérieur. À partir de ce moment-là Elodie reçus un entraînement militaire et de survie en plus de son apprentissage en tant qu'agent. Rare était les moments passé à faire autre chose qu'apprendre à faire du monde autour d'elle une arme dédiée à son pays. Pendant l'année de ses quinze ans elle fut envoyée dans sa première mission. Sa cible était un My'thran connu pour prêcher la parole des architectes à de jeunes enfants et critiquer les mines de magilithe. Il ne fut pas dur pour la jeune femme de s'infiltrer et d'offrir un second sourire au vieux mage. Le gouvernement accusa une annomalie tout en réaffirmant l'incapacité des dirigeants de My'thrä de protéger leur propre peuple. Et c'est ainsi qu'Elodie devint une femme et une assassine gouvernemental. Note de l'auteur : - Spoiler:
Une histoire simple sur une des premières idée de background pour Elodie. J'ai eu envie d'un truc plus légers donc (j'ai tué toute sa famille dans un accident, je sais que ma vision de legers est discutable merci.) j'ai repris ça pour l'Elodie que je joue et je ne le regrette pas (encore).
- Le personnage qui a ispiré Elodie:
Fiche de présentation"Nous sommes si insignifiants au final..." Nom : Le nom qui m'a été confié à mon apparition est Walace. Un nom venu des rêves insensé d'un homme à la vie sans sens Prénom : Catchi et la façon dont on m'appelle communément. Après tout, il est si dur de se séparer de moi. Mais non, pas vous, moi. Hé hé ! Surnom : On me surnomme le "Prophète aveugle" ! Quand on surnomme avec affection bien sûr sinon c'est l'autre taré, le fou furieux ou bien encore "Non ! Par pitié !" Je n'ai pas vraiment compris pourquoi ? Pourquoi je devrais avoir pitié je veux dire. Âge : 34 Années sur cette étrange... "Terre". Sexe : Qu'importe ? Homme, femme, singe, chien, fourmis, qu'importe ? Mais puisqu'il faut une réponse à toute question c'est de la gente barbue que je me rapproche. OS : Voila une bien indiscrète question ne pensez-vous pas ? Je répondrais simplement qu'une seule personne ne peut me faire réagir de... cette façons et elle à été tuée. Allons ne faites pas cette tête, c'est moi qui l'ai tuée. Royaume : Je suppose que c'est à Rome que j'ai été déposé il y a de cela... Il se frotte l’œil droit. Soit 34 ans soit un chiffre mouvant juste au-dessus... Mais si, là, sur la droite. Utilisez vos yeux vous qui en avez qui fonctionne ! (Le site avait une horloge en haut à droite qui donnait la date de parution du post.) Rôle dans la cité : Dansant, chantant, jouant, je suis le fou ! Le bouffon ! Prenez garde car mes paroles sont toujours vraies. Mon être et mon âme ne peuvent mentir. Mais, hé hé ha ! Vous savez ce que l'on dit des bon, des meilleurs, menteur ! Glissant, soupesant, délestant, la vérité aussi obscure soit-elle ne nourrit pas et n'intéresse que peu ! Alors il faut bien trouver de quoi jouer et faire jouer. Il nous faut tous payer un juste prix. Caractère : Il est des choses que les hommes ne sont pas prêt à voir. J'ai ma vision continuellement plongé dans cet abysse folle alors comment m'en vouloir quand mes mots manque un peu de... pas de sens mais de... contexte disons. Mais ne vous en faites pas, je suis un joyeux luron. Hé hé. Les gens aiment les personnages joyeux n'es ce pas ? Apprécie : Les distractions, la philosophie et le Schadenfreude. Déteste : La fixation, la stagnation, le refus et le mensonge simple. Points forts : Absence de réaction à la douleur et une agilité presque serpentine, lié à une grande connaissance des tours de passe-passe et d’illusion font de lui un personnage... intéressant à voir et affronter. Points faibles : Il lui arrive de ne pas penser qu'une épée entre les côtes peut être un problème. Les aléas d'une psyché en morceau. Il a aussi des problèmes de vision en profondeur. Pouvoirs : Sont œil droit ne voit pas sur son plan d'existence, se baladant plutôt au gré de vent invisible à toute autre personne. Des information, flash et indice de chose qui furent, sont et deviendrons lui parvienne ainsi à tout moment du jour et de la nuit. Cet œil rend aussi toute illusion... fragile disons, sous son inspection. Opinion de la guerre : La guerre ? Mais je n'existerais pas sans elle ! Comment être contre si elle est la majeure raison de ma présence parmi no... vous ! Parmi vous bien sûr. Mais qui sait peut-être dépassera-t-elle sont temps accordé sans pour autant tous nous faire disparaître, mais ne crois pas que je survive jusque-là aux diverses demandes et idées. Famille : Comment expliquer cette situation particulière... Je sais ! Il se saisit d'une pièce simple dont il montre les deux coté. Pile ou Face ? Ne répondez pas cela n'a pas d'importance. Il fait mine de prier avec la pièce entre ses mains. De quel coté est la pièce ? Pile ou Face ? Nil l'un, ni l'autre et tout de même les deux. Jusqu'à ce que la pièce soit posée, on ne peut répondre à la question. Et, hé hé hé, je ne suis pas celui qui joue avec la pièce qu'est ma "famille" vous comprenez. Équipement/Armes : C'est fou ce que l'on peut cacher sous une si légère tenue. Clous, couteau, poignard, pieu fin de métal, aiguille. Es ce que tu es content de me voir ou juste de me voir mourir ? Il est aussi possible... probable... Soit, soit ! Il est certain que l'on trouve plus que des mots empoisonné en ma colère et mon dédain. Histoire : Certain se cache de leur vécu. Certain tiennent près de leur cœur les expériences éprouvantes qu'ils ont vécues. Mais moi, je suis un conteur. Si je ne raconte pas mon histoire... que puis-je donc raconter au final ? Il était une fois un jeune homme qui aimait jouer et danser et chanter. Il vivait du sourire et du rire des bonnes gens. Alors quand on lui parla de comédien et d'artiste qui peignait la vie avec les pinceaux d'émotion, il ne put se tenir et parti en quête. Le théâtre grec faillit le tuer de déception. Qu'était-ce donc que ce mensonge, que cette travestie de la vie comme il la voyait ! Rien du tout, voilà ce que c’était ! Il partit en ville noyer sont espoir insidieux et trompeur dans la liqueur et dans la ville basse, il rencontra ces femmes qui ont si peu à offrir qu'elle se mette à vendre leur temps et plus. Il fut fasciné par la vigueur et la viscéralité vraie et franche d'un peuple pris pour acquis. Il fouilla les bas-fonds à la recherche de dame d'expérience, de liseuse de bonne aventure et de magicien douteux. Et au cours de quelques années obsédées, il engloutit savoirs et observations sur les jeux de lumière et d'attention qu'est la scène de la rue. Les subtils mouvements de main qui font disparaître l'objet attirant l’intérêt au moment parfait pour que les rats de rues ramasse leur mal acquis butin. Il se lança sur sa propre scène. Voyageant et découvrant pour rendre à un public émerveillé les histoires de gens bon et mauvais mais toujours intéressant. C'était la belle vie. Il faisait ce qui lui plaisait à longueur de journée et apprenait toujours plus comme un assoiffé accroupie dans une source. Mais avec le temps, les histoires commencèrent à... se ressembler. Quand on a vu cent nobles ne les a-t-on pas tous vu ? Oui... et non. S'il ne portait un masque qu'uniquement sur scène, il découvrit que le monde aimait se voiler la face à toute heure du jour et de la nuit. Comment raconter de nouvelle histoire si on les lui cachait ! Il partit donc en quête d'un nouveau savoir, celui de voir par-delà le masque. La quête fut longue et surtout infructueuse. Car si tous porte un masque, qui serait assez fou pour partager le sort qui les fait tomber ? C'est dans un pays du nord qu'il entendit parler d'une entité qui détenait tout le savoir. Une entité qui allait lui permettre d'obtenir son souhait ! Il se mit donc à retourner terre et ciel pour cette créature mais ce n'était bien entendu que folie de croire en les légendes et rumeurs. Quand le désespoir le rejoignit une fois de trop auprès du feu, il se mit à prier. Il commença par l'entité elle-même puis par manque de réponse se mit à prier à tout les dieux donc il avait entendu parler. Bien sûr nos divinités on bien plus important et intéressant que de fournir pouvoir et savoir à un jeune imbécile niais à moitié mort dans un lointain pays du nord. Quand personne ne répondit à ses appels autre que le froid de la mort neige, ses prières devinrent... confuse et finalement quelque chose entendit. Il ne saurait pas dire qui où quoi, cette chose fut mais il sut qu'il pouvait enfin SAVOIR contre son œil. Un simple œil contre la vraie vision ! Ne voilà donc pas une affaire en or ? Comment refuser ? Avec sa bouche et son cerveau, je suppose, mais les deux s’avéraient être profondément givré en ce temps glacé. La douleur fut... indescriptible vraiment, mais elle n'était rien par rapport à ce qui se cachait derrière le rideau. Pendant... un âge... il vagabonda fou à lié et hurlant à la mort. Il tenta de s'arracher les yeux, mais cela aurait été trop simple n'es ce pas ? Il voulut mettre fin à sa vie, mais... cela aurait été trop simple n'es ce pas ? Il ne finit pas y avoir un changement, un déclic. On ne peut briser de la poterie que tant de fois avant que les morceaux ne soient trop petits pour être brisés d'avantage. Le monde est une scène et avec mes yeux désormais vairon, je fais avancer ma pièce acte après acte, car après tout, qu'y a-t-il sous un masque si ce n'est un autre masque ? Apparence : Une tenu bariolé me recouvre du col aux pieds. Un demi Masque me cache les traits du visage laissant seulement ma bouche, mes yeux et mes dents, visibles pour les passant. Un de mes yeux et bleu l'autre est vert. Lequel est lequel ? Et bien, il y a une pupille dans le bleu et le vert et troué. Un iris immaculé malgré toutes les tentatives. Je ne suis pas monstrueusement grand, mais il faut admettre que les humains me dépasse rarement. Sous mon chapeau à plumes, vous ne trouverez point de poil. Mon caillou brillant et le résultat d'un va-et-vient poignant de mes membres agiles. Que de douleurs, que d'insignifiance ! Note de l'auteur : - Spoiler:
Oui Elodie à un peu évolué, mais il n'est pas dur de retrouvé les point commun. Puis je trouvait ça poétique de la faire descendre du nord du coup
Le manuel de théorie militaire et de contre-tactique est une bêtise que j'ai écrite après avoir lu Les armées de My'trä. De fait je vous conseille d'avoir ça en tête. En gros il s'agit d'un petit carnet que l'UNE aurait fournis à ses officiers. Attendez vous donc à une absence complète d'objéctivité, à de la propagande, à des avis tactique et à un narrateur pas fiable du tout. Enjoy ! - Le manuel de théorie militaire et de contre-tactique. Partie 1:
À l'attention du lecteur de ce document. Ce manuel est réservée aux membres de l'armée du grade de Capitaine et au-delà. En cas de crise et promotion sur le terrain ou d'urgence, ce document pourra être lu par des officiers du rang de Major et au-delà. Si vous n'êtes pas un major ou d'un rang supérieur suivez vos derniers ordres puis appliquez-vous à rétablir les communications et la chaîne de commande. En cas d'impossibilité, repliez-vous en ordre vers la dernière position du corps d'armée, la position fortifiée ou stratégique la plus proche.
Tout individu d'un rang inférieur a major en situation de crise et inférieur à capitaine en situation habituelle, se trouvant en possession de ce document sera passible de poursuite devant une court martial pour un membre de l'armée, un tribunal civil contenant des experts militaire pour un membre non affilié.
Si vous n'êtes pas un citoyen de Daënar, ne lisez pas plus loin et trouver le post de milice ou le centre militaire le plus proche où il vous sera demander d'informer les officiers sur les moyen d'aquisition du dit document, après quoi vous recevrez une prime pour service rendu. Tout manquement à la consigne ci-dessus autorise tout citoyen de l'UNE à procéder à une arrestation civile ou non avec force létal autorisé.
À l'attention du receveur de ce document. Le manuel de théorie militaire et de contre-tactique est la propriété du gouvernement de l'UNE. Il devra être rendu dans l'état dans lequel il vous a été confié lors de votre promotion et il vous sera demandé lors de votre potentielle démission. Tout manquement à la consigne ci-dessus encourt d'une amende proportionnel aux dégâts subit. En cas de dégâts, remettez un rapport dans les plus bref délais afin d'obtenir un remplacement. Pour plus de détail, renseignez-vous auprès de votre responsable logistique régional.
Si vous êtes en train de lire ceci l'UNE tient a vous féliciter de votre nouveau rang, vous donner ses condoléances pour votre supérieur disparut et vous souhaiter bon courage face aux épreuves qui vous attendent ou bien vous annoncer que les forces militaires de L'UNE vous aurons bientôt rattrapé et qu'une reddition n'est jamais trop tard et aidera toujours votre cas lors de votre inévitable jugement. Ce document comme son titre l'indique est un manuel rassemblant les doctrines tactiques et les informations nécessaires à la lutte contre les forces armée technophobes. Pour des raisons de moral et de sécurité opérationnel, nous vous rappelons encore une fois que vous ne pouvez pas partager les informations contenu dans ce document. Toute personne vous demandant lesdites informations est soit en train d'outrepasser ses prérogatives, soit un officier a la légitimité douteuse dont la dénonciation sera potentiellement récompensée d'une prime pour service rendu. Au cours de la dernière campagne une expérience inestimable à été ressemblé que nos théoriciens militaires ont longuement étudié. Ce manuel en est le résultat. Si les My'trän sont connus pour leur habitude stagnante, ils ont démontré une étonnante capacité d'adaptation une fois sous le feu. Ne sous-estimez pas votre adversaire et attendez vous à l'inattendu en toute circonstance. Ce manuel reste cependant une excellente base de reflection et d'anticipation stratégique. Nous commencerons ce texte par une explication rapide des troupes qu'il vous sera attendu d'affronter en cas de conflit : De part leur système barbare et décentralisé, les forces de My'trän se rassemblerons par "Ost", ou clan lorsqu'une situation demande leur mobilisation. De là, leurs Gharyn ou Khorog (chef de clan) recevra ses instructions depuis leur proto état-major, et "l'Ost" partira soit en mission afin de remplir ses ordres, soit vers un lieu de rendez-vous où ils rejoindront un regroupement plus important. Rappelez-vous que de part leur nature décentralisée, un Chef de clan pourra sans répercussion majeure "désobéir" à ses ordres. Une interception des ordres d'un My'trän n'est pas une information à la véracité garantie.Sur le champs de bataille vous vous retrouverez donc face, soit à un groupe hétéroclite de My'trän servant tous le même clan qui tenterons de remplir un objectif relativement simple pour leur nation ou des volontés de leur propre chef soit face à une "coalition" de clans qui suivront les directives d'un "état-major" tout en gardant leur propre décision. Si en tant normal, des action clandestine déstabilisante serait efficace contre une organisation aussi désorganisée, les différences éthiques et culturelles des technophobes les poussent à s'unir par-delà la raison contre nos avancées bénéfique. Les My'trän se classent non pas par corps d'armée, mais par fonction pendant la campagne. Voici celles qui ont été repérées : (Le système de dénomination ci-dessous est propre aux forces de l'UNE est ne doit pas être partagé à un hypothétique informant My'trän.) Le front : Fonction où les my'trän sont le plus hétéroclite. Des adeptes de tout les architectes peuvent être trouvé dans la première ligne offensive et défensive des forces ennemi. Cependant on peut tout de même remarquer une prédominance écrasante des adeptes de Dalai (Eau) et plus secondaire ceux de Delkhii (Terre) et de Möchlög (Soin). Les soutients : Cible prioritaire par excelence, c'est là que vous retrouverez les adeptes de Süns (Feu) qui se chargent du bombardement et des duel d'artillerie, et les adeptes de Möchlög (Soin). La mobilité : Les adeptes de Khugatsaa (Illusion) et de Amisgal (Vent) seront partout sur le champs de bataille à essayer de semer le chaos dont ils sont si friand, parmi nos rangs. La logistique : La grande majorité des adeptes d'Orshin (Animaux) seront ici en dehors du combat, occupé simulé nos systèmes de transport via des options plus archaïque. Cible prioritaire pendant toute préparation à la bataille elle n'en devient que très secondaire pendant.
- Le manuel de théorie militaire et de contre-tactique. Partie 2:
Pour la seconde partie, nous allons nous concentrer sur les tactiques et contre tactiques de chaque groupe d'adeptes individuellement. Rappelez-vous que plusieurs adeptes peuvent unir leurs capacités pour obtenir des résultats qui sont aujourd'hui encore durs à prévoir avec certitude. Afin d'éviter de fausser vos attentes les résultats plus ésotériques connus de l'UNE ne sont pas répertorié dans ce manuel.
Delkhii (Terre) : Ces adeptes sont la clé de voûte de toute action armée My'trän. La capacité de ces technophobes à créer des couverture sur-le-champs et à transformer nos propres fortifications battis avec expertise et travail en piège mortel pour nos troupes et la raison majeure pour laquelle la dernière campagne n'a pas été aussi réussie qu'espérer. Ce sont les cibles prioritaires par-delà toutes les autres en préparation d'un combat. Ils sont vulnérables à des attaques par surprise, des explosions à la puissance sous-estimé et aux assauts au corps-à-corps. (Pour cette dernière catégorie le terme vulnérabilité est utilisé en comparaison à un assaut par troupe de fusiliers.) Si une armée My'trän est, pour une raison ou une autre, dénué d'adeptes de Delkhii (Terre), Il s'agit du meilleur moment pour forcer l'engagement. Vérifiez qu'il ne s'agit pas d'un piège.Khugatsaa (Illusion) : Ces adeptes sont une épine dans le pied de quiconque cherche à battre les My'trän avant même que la bataille n'est commencée. Leurs capacités de détection et leur tendance à fausser les rapports rendent toute évaluation de la force ennemie douteuse et limitent les possibilités d'affaiblissement pré-bataille. Garder votre sang froids cependant, et faites preuve de logique et d'initiative, et l'avantage perdu sera réduit. Il est à noter qu'ils sont les plus vulnérables au sabotage dû à leur piètre réputation auprès de leurs pairs. Une utilisation d'informant My'trän sera très efficace contre ces sujets. Orshin (Animaux) : Ces adeptes sont parmi les plus vulnérables et sont de fait souvent tenue en retrait des plus grand affrontement. Ils sont cependant une part indispensable du système logistique My'trän et leur diminution reste un coup qui sera sentie pendant longtemps parmi les technophobes. Attention : Un adeptes d'Orshin hostile ou neutre ne doit en aucun cas être laissé au contact d'un des animaux titans de Daënastre ! Force létal autorisé, vos supérieurs se chargerons de la diplomatie et de la relation public une fois votre rapport rendu. Möchlög (Soin) : Ces adeptes sont un problème pour des raisons évidente d'attrition et de soutien moral. Ils ne sont cependant que rarement le facteur qui fait pencher la balance. Notez que leur présence en nombre suffisant réduit le principe de sur-extension et d'essoufflement des offensives qui ont été théorisé lors de la dernière campagne. * Süns (Feu) : Ces adeptes sont le plus souvent les batteries d'artilleries des my'trän. Un terme expérimental que l'on retrouve sur le terrain pour en parler est le "canon de cristal". Une arme indubitablement précieuse mais tout aussi fragile. Outre soutient de la part d'autre adeptes les Süns (Feu) ne peuvent subir qu'autant qu'un civil lambda avant de succomber. Qui plus est de simple défenses et fortifications sont souvent assez pour mitiger leur efficacité en bataille rangée. Attention : Une attaque d'adeptes de Süns (Feu) en terrain découvert est connus pour pouvoir annihiler des bataillons entiers ! Utilisation de tout moyen de reconnaissance en gardant les adeptes de Khugatsaa (Illusion) à l'esprit impératif. Amisgal (Vent) : Ces adeptes sont la force mobile des My'trän. La doctrine de combats change en fonction du support aérien à disposition. Coordonnez-vous avec l'amiral des forces célèste pour toute stratégie en cas de couverture aérienne convoité. Dans le cas le plus probable d'infériorité aérienne, gardez toujours à l'esprit leur capacité à attaquer une unité isolée ou hors de placement et de fuir avant tout renfort. Ils sont cependant très vulnérables à tout piège tendu et se briseront les dents sur toute unité prévenus. Des lignes de feu sont un très bon moyen de repousser les assaillants venant du ciel. Dalai (Eau) : Formant l'adversaire habituel de nos propres soldats la meilleure stratégie contre eux et de les abattre de loin ou de les forcer au centre de formation concave. Votre expérience à combattre des soldats non-magicien sera probablement suffisent pour vous sortir de toute situation ou les adeptes de Dalai (Eau) sont vos principaux ennemis. Ils sont une cible d'opportunité dans toute préparation de bataille et de la chair à canon pendant. Attention : Peut-être à cause de leur infériorité les adeptes de dalai (Eau) sont ceux qui maîtrise le mieux leur synergie avec les autres adeptes. Ne les sous-estimez pas !* de nouvelle information sur les adeptes de Möchlög (Soin) porte à croire que certaines capacités bien plus offensives sont à leur disponibilité. Renseignez-vous sur les maîtres de cette faction et acquérez le nouveau manuel de sécurité opérationnel. acquérez le nouveau manuel de sécurité opérationnel.
Et ça c'est la version : Des sergents sont tombé sur une cargaison est se sont amusé comme des gamins. Subjectivité, anti-My'tränisme, humour douteux et narrateur encore moins fiable garantie ! - Le manuel de théorie militaire et de contre-tactique. Clampin Edition:
À l'attention du lecteur de ce document. Ce manuel est réservée aux membres de l'armée du grade de Capitaine et au-delà. En cas de crise et promotion sur le terrain ou d'urgence, ce document pourra être lu par des officiers du rang de Major et au-delà.
Si vous n'êtes pas un major ou d'un rang supérieur suivez vos derniers ordres puis appliquez-vous à rétablir les communications et la chaîne de commande. En cas d'impossibilité, repliez-vous en ordre vers la dernière position du corps d'armée, la position fortifiée ou stratégique la plus proche.
Tout individu d'un rang inférieur a major en situation de crise et inférieur à capitaine en situation habituelle, se trouvant en possession de ce document sera passible de poursuite devant une court martial pour un membre de l'armée, un tribunal civil contenant des experts militaire pour un membre non affilié. Ça les gars ça veut dire qu'on signe pas notre bêtise compris ? Si vous n'êtes pas un citoyen de Daënar, ne lisez pas plus loin et trouver le post de milice ou le centre militaire le plus proche où il vous sera demander d'informer les officiers sur les moyen d'aquisition du dit document, après quoi vous recevrez une prime pour service rendu. Tout manquement à la consigne ci-dessus autorise tout citoyen de l'UNE à procéder à une arrestation civile ou non avec force létal autorisé. Gentil espion rend nous notre bouquin s'il te plaît. À l'attention du receveur de ce document. Le manuel de théorie militaire et de contre-tactique est la propriété du gouvernement de l'UNE. Il devra être rendu dans l'état dans lequel il vous a été confié lors de votre promotion et il vous sera demandé lors de votre potentielle démission. Tout manquement à la consigne ci-dessus encourt d'une amende proportionnel aux dégâts subit. En cas de dégâts, remettez un rapport dans les plus bref délais afin d'obtenir un remplacement. Pour plus de détail, renseignez-vous auprès de votre responsable logistique régional. Bla, bla, bla, le gouvernement est un pingre, le ciel est bleu, les ingénieures sont tarés, on sait.Si vous êtes en train de lire ceci l'UNE tient a vous féliciter de votre nouveau rang, vous donner ses condoléances pour votre supérieur disparut et vous souhaiter bon courage face aux épreuves qui vous attendent ou bien vous annoncer que les forces militaires de L'UNE vous aurons bientôt rattrapé et qu'une reddition n'est jamais trop tard et aidera toujours votre cas lors de votre inévitable jugement. Toujours ce pauvre écrivain dl'UNE qui se crois impressionnant...Ce document comme son titre l'indique est un manuel rassemblant les doctrines tactiques et les informations nécessaires à la lutte contre les forces armée technophobes. Pour des raisons de moral et de sécurité opérationnel, nous vous rappelons encore une fois que vous ne pouvez pas partager les informations contenu dans ce document. Toute personne vous demandant lesdites informations est soit en train d'outrepasser ses prérogatives, soit un officier a la légitimité douteuse dont la dénonciation sera potentiellement récompensée d'une prime pour service rendu. En bref dénoncer les tocards qui se la jouent pas premier de la classe pour une prime et faites bien attention à ce que les petites fleurs innocentes que sont les troufions de base ne tombe pas sur le bouquin.
Ah ! Raté ! Au cours de la dernière campagne une expérience inestimable à été ressemblé que nos théoriciens militaires ont longuement étudié. Ce manuel en est le résultat. Si les My'trän sont connus pour leur habitude stagnante, ils ont démontré une étonnante capacité d'adaptation une fois sous le feu. Ne sous-estimez pas votre adversaire et attendez vous à l'inattendu en toute circonstance. Ce manuel reste cependant une excellente base de reflection et d'anticipation stratégique. La dernière campagne n'était pas une défaite, propagande, propagande et un my'trän vas faire un truc à la fois débile et réussie au moins une fois dans ta carrière et tu peux rien faire pour l'en empêcher. Nous commencerons ce texte par une explication rapide des troupes qu'il vous sera attendu d'affronter en cas de conflit : De part leur système barbare et décentralisé, les forces de My'trän se rassemblerons par "Ost", ou clan lorsqu'une situation demande leur mobilisation. De là, leurs Gharyn ou Khorog (chef de clan) recevra ses instructions depuis leur proto état-major, et "l'Ost" partira soit en mission afin de remplir ses ordres, soit vers un lieu de rendez-vous où ils rejoindront un regroupement plus important. Rappelez-vous que de part leur nature décentralisée, un Chef de clan pourra sans répercussion majeure "désobéir" à ses ordres. Une interception des ordres d'un My'trän n'est pas une information à la véracité garantie. Les gars ont des chefs, mais ils se foutent des ordres ? Je signe où pour le camp d'en face ?
T'emballes pas copain. Ils peuvent "techniquement" se foutre des ordres. Dans les faits, la plupart sont fanatiques et se poseront même pas la question. Sur le champs de bataille vous vous retrouverez donc face, soit à un groupe hétéroclite de My'trän servant tous le même clan qui tenterons de remplir un objectif relativement simple pour leur nation ou des volontés de leur propre chef soit face à une "coalition" de clans qui suivront les directives d'un "état-major" tout en gardant leur propre décision. Si en tant normal, des action clandestine déstabilisante serait efficace contre une organisation aussi désorganisée, les différences éthiques et culturelles des technophobes les poussent à s'unir par-delà la raison contre nos avancées bénéfique. Si vous lisez le mot "technophobes" c'est que l'UNE fait de la propagande. Je sais pas si c'est vrai partout, mais putain dans ce livre, c'est flagrant. Les My'trän se classent non pas par corps d'armée, mais par fonction pendant la campagne. Voici celles qui ont été repérées : (Le système de dénomination ci-dessous est propre aux forces de l'UNE est ne doit pas être partagé à un hypothétique informant My'trän.) Ça a l'air d'être un bordel l'organisation d'en face... Et sérieux, on a des informant chez l'ennemi ? Pourquoi ils nous aident jamais ?
Nan, mais ils font partie des "services" secrets, qu'es-ce tu veux. Le front : Fonction où les my'trän sont le plus hétéroclite. Des adeptes de tout les architectes peuvent être trouvé dans la première ligne offensive et défensive des forces ennemi. Cependant on peut tout de même remarquer une prédominance écrasante des adeptes de Dalai ( Eau Nouille) et plus secondaire ceux de Delkhii ( Terre Cul-terreux) et de Möchlög (Soin). Vous voyez le tas qui vous court dessus en balançant de la magie ? Ouais c'est ce truc, là. Prescription : nettoyez l'infection par poudre, balles et explosifs. N'entrez pas en contact direct.Les soutients : Cible prioritaire par excellence, c'est là que vous retrouverez les adeptes de Süns (Feu) qui se chargent du bombardement et des duel d'artillerie, et les adeptes de Möchlög (Soin). Attention ! Les médecins d'en face ne sont pas vulnérable comme les nôtres ! J'ai entendu dire qu'il pouvait se donner suffisamment de force pour t'arracher un membre à main nue !
On va éviter de mettre les rumeurs par écrit peut-être ? Je sais qu'on n'est pas hyper professionnel là, mais je ne veux pas finir pas savoir la couleur des culottes du conseil non plus.La mobilité : Les adeptes de Khugatsaa ( Illusion Kuga) et de Amisgal ( Vent Pigeons) seront partout sur le champs de bataille à essayer de semer le chaos dont ils sont si friand, parmi nos rangs. Ils sont d'un chiant, putain. Vous n'imaginez même pas. Imagine-toi le mélange entre une mouche, un moustique et un collecteur de taxe. C'est intouchable, ça te suce le sang et ça te LACHE PAS.
Une mouche, un moustique et un collecteur de taxe ET TON EX ! Parce que putain, ils te ressortiront les vieux dossiers aussi. La logistique : La grande majorité des adeptes d'Orshin (Animaux) seront ici en dehors du combat, occupé simulé nos systèmes de transport via des options plus archaïque. Cible prioritaire pendant toute préparation à la bataille elle n'en devient que très secondaire pendant. C'est les tocards du fond. Ceux qui œuvrent pour la sauvegarde des animaux et autre connerie du genre. Rouler leur dessus si vous pouvez, mais honnêtement, on peut s'en foutre. Pour la seconde partie, nous allons nous concentrer sur les tactiques et contre tactiques de chaque groupe d'adeptes individuellement. Rappelez-vous que plusieurs adeptes peuvent unir leurs capacités pour obtenir des résultats qui sont aujourd'hui encore durs à prévoir avec certitude. Afin d'éviter de fausser vos attentes les résultats plus ésotériques connus de l'UNE ne sont pas répertorié dans ce manuel. Résumé : ce qu'on a écrit ici sert presque à rien, mais on est écrivain compulsif. Mais rassurez-vous, vos supérieurs ont le meilleurs bouquin alors travaillé dur et vous pourrez vous éloignez encore plus loin du front. Delkhii ( Terre Cul-terreux) : Ces adeptes sont la clé de voûte de toute action armée My'trän. La capacité de ces technophobes à créer des couverture sur-le-champs et à transformer nos propres fortifications battis avec expertise et travail en piège mortel pour nos troupes et la raison majeure pour laquelle la dernière campagne n'a pas été aussi réussie qu'espérer. Histoire horrible : Et... je sais pas qui là, non c'est pas une rumeur, malheureusement. C'tait au début d'la dernière campagne. Les haut-gradés avaient ordonné de faire vla le réseau de tranchées. Du coup ça s'est fait et quand la bataille à commencé ça à plutôt bien marché, mais à un moment les tranché on commencé à ce refermé avec les copains toujours dedans. Y'a je sais pas combien de confrère qui sont mort enterré vivant le temps qu'les vitrines change de tactique. Ce sont les cibles prioritaires par-delà toutes les autres en préparation d'un combat. Ils sont vulnérables à des attaques par surprise, des explosions à la puissance sous-estimé et aux assauts au corps-à-corps. (Pour cette dernière catégorie le terme vulnérabilité est utilisé en comparaison à un assaut par troupe de fusiliers.) C'est super lourd quand tu peux rien faire parce qu'un cul-terreux pose barrière après barrière en face de tes tirs. En en plus c'est dangereux ! Ils hésitent pas à contre-attaqué quand tu leur laisses une ouverture !
Moi j'les aime bien perso. Ils te mettent leur truc de terre et PAF ! Tu les cribles de shrapnel comme des idiots en l'explosant.
J'ai trouvé le Spécialiste les gars ! Ou artilleur peut-être ?
J'vote Spé
Spé
Spé, je sais qu'les cul-terreux peuvent arrêté certains obus et y'a rien qui énervent plus un artilleur qu'un boum boum raté.Si une armée My'trän est, pour une raison ou une autre, dénué d'adeptes de Delkhii ( Terre Cul-terreux), Il s'agit du meilleur moment pour forcer l'engagement. Vérifiez qu'il ne s'agit pas d'un piège.Si une armée est dénuée de lèche-bottes de Delkhii cherchez les Kugas. C'est tout. Khugatsaa ( Illusion Kuga) : Ces adeptes sont une épine dans le pied de quiconque cherche à battre les My'trän avant même que la bataille n'est commencée. Leurs capacités de détection et leur tendance à fausser les rapports rendent toute évaluation de la force ennemie douteuse et limitent les possibilités d'affaiblissement pré-bataille. Garder votre sang froids cependant, et faites preuve de logique et d'initiative, et l'avantage perdu sera réduit. Ce serait un problème, mais les "services" secrets foutent rien de toute façon alors...
Super excuse aussi. La bannière du régiment à disparu ? Kuga ! On m'a volé ma ration d'bouffe ? Kuga ! Le supérieur local qui était un enculé fini est tombé sur son épée pointe en avant ? Kuga ! Il est à noter qu'ils sont les plus vulnérables au sabotage dû à leur piètre réputation auprès de leurs pairs. Une utilisation d'informant My'trän sera très efficace contre ces sujets. Ouais, apparemment, personne les aime eux. Idée à la con aussi de se balader dans la tête des gens. Je sais pas vous, mais je vis bien mieux sans savoir à quoi le pervers local pense, Merci. Orshin (Animaux) : Ces adeptes sont parmi les plus vulnérables et sont de fait souvent tenue en retrait des plus grand affrontement. Ils sont cependant une part indispensable du système logistique My'trän et leur diminution reste un coup qui sera sentie pendant longtemps parmi les technophobes. Bla, bla, bla. Ce morceau il est vraiment pour les officiers, parce qu'en vrai pour nous ça change rien. Mais d'une puissance...Attention : Un adeptes d'Orshin hostile ou neutre ne doit en aucun cas être laissé au contact d'un des animaux titans de Daënastre ! Force létal autorisé, vos supérieurs se chargerons de la diplomatie et de la relation public une fois votre rapport rendu. Brrr. S'imaginez le truc ? Uulyn, mais en méchant ? Moi jm'en fou, l'Orshin, il peut être allié, il se prend une cartouche quand même.
Adeptes d'Orshin : ils servent peut-être à rien mais ils ont rendu un paragraphe de l'état-major de l'UNE légitime. Ça, c'est des vrai magicien.Möchlög (Soin) : Ces adeptes sont un problème pour des raisons évidente d'attrition et de soutien moral. Ils ne sont cependant que rarement le facteur qui fait pencher la balance. Notez que leur présence en nombre suffisant réduit le principe de sur-extension et d'essoufflement des offensives qui ont été théorisé lors de la dernière campagne. * Visez le soigneur. Que dire de plus.
Lui, il a pas lu l'astérisque. Süns (Feu) : Ces adeptes sont le plus souvent les batteries d'artilleries des my'trän. Un terme expérimental que l'on retrouve sur le terrain pour en parler est le "canon de cristal". Une arme indubitablement précieuse mais tout aussi fragile. Outre soutient de la part d'autre adeptes les Süns (Feu) ne peuvent subir qu'autant qu'un civil lambda avant de succomber. Canon de cristal ? Ok, sérieusement, qui a déjà entendu le terme ? Parce que moi, je suis sur le terrain et c'est la première fois.
Nan, laisse tomber. C'est juste les gradés qui essaye de faire passer une métaphore en nous la collant sur le dos. Qui plus est de simple défenses et fortifications sont souvent assez pour mitiger leur efficacité en bataille rangée. Simple défense mon cul oui ! Ces saloperies te font partir en fumé tout ce qui est fait en bois, ils détruisent les sacs de sable et ils font cuire vivant les mecs dans les bâtiments. C'est fortification de pierre et de terre aérée ou rien contre eux. Et ça te rend putain de vulnérable au cul-terreux et aux pigeonsAttention : Une attaque d'adeptes de Süns (Feu) en terrain découvert est connus pour pouvoir annihiler des bataillons entiers ! Utilisation de tout moyen de reconnaissance en gardant les adeptes de Khugatsaa ( Illusion Kuga) à l'esprit impératif. Tout est dit. Reposez en paix.Amisgal ( Vent Pigeons) : Ces adeptes sont la force mobile des My'trän. La doctrine de combats change en fonction du support aérien à disposition. Coordonnez-vous avec l'amiral des forces céleste pour toute stratégie en cas de couverture aérienne convoité. Attendez, je traduis : laissez l'amirauté vous abandonner en bas pendant qu'ils boivent leur thé.Dans le cas le plus probable d'infériorité aérienne, gardez toujours à l'esprit leur capacité à attaquer une unité isolée ou hors de placement et de fuir avant tout renfort. Ils sont cependant "très " vulnérables à tout piège tendu et se briseront les dents sur toute unité prévenus. Des lignes de feu sont un très bon moyen de repousser les assaillants venant du ciel. Les lignes de feu ça marche moyen si t'as d'autre truc à surveiller.Dalai ( Eau Nouille) : Formant l'adversaire habituel de nos propres soldats la meilleure stratégie contre eux et de les abattre de loin ou de les forcer au centre de formation concave. Votre expérience à combattre des soldats non-magicien sera probablement suffisent pour vous sortir de toute situation ou les adeptes de Dalai ( Eau Nouille) sont vos principaux ennemis. Ils sont une cible d'opportunité dans toute préparation de bataille et de la chair à canon pendant. Ok, je sais que les dorures d'en haut se foute pas mal de notre sort, mais... PARDON ?! C'est des foutu... Je ne sais pas quoi qui se contorsionne dans tous les sens ! C'est intouchable et s'ils arrivent au CaC. Mais c'est juste fini ! Bain de sang et de lame et c'est fini !
Putain d'gradés.Attention : Peut-être à cause de leur "infériorité " les adeptes de dalai ( Eau Nouille) sont ceux qui maîtrise le mieux leur synergie avec les autres adeptes. Ne les sous-estimez pas !Au moins un peu de bon sens...* de nouvelle information sur les adeptes de Möchlög (Soin) porte à croire que certaines capacités bien plus offensives sont à leur disponibilité. Renseignez-vous sur les maîtres de cette faction et acquérez le nouveau manuel de sécurité opérationnel. aquérez le nouveau manuel de sécurité opérationnel. Pour ceux qui sont curieux le manuel de sécurité opérationnel à rajouté un chapitre avec plusieurs moyens de flinguer votre cerveau en cas de capture ET de mort certaine... Voilà, voilà, voilà...
On peut se dire qu'il y a au moins une bonne raison de ne pas monter en grade je suppose...
Et voila pour le moment. Les critiques et discutions sont les bienvenues et sur ce, Cheers ! |
| | | Invité
| Dim 10 Mar - 15:12 | | | Oui je sais c'est pas bien de double post mais j'ai atteint la limite de texte au-dessus alors... Enfin bref, voici ma vision d'un des accrochage de la dernière guerre. Gardez à l'esprit que le point de vue est celui du personnage et qu'il n'a pas accès à toute les informations. Aussi c'est la guerre il y a de la violence. Je ne me suis pas étalé sur les détails mais tout de même. - Escarmouche:
Maudite jungle et maudit pays ! Vivement le saccage de la capitale parce que j'en ai assez de pataugé dans ses terres sans route digne de ce nom ! J'me souviens encore de ce faux-cul :
"Félicitation ! Vos prouesses lors de la bataille ne sont pas passé inaperçus ! Le colonel Maverick est très reconnaissant que vous lui ayez sauvé la vie et a mis le prix dans une prothèse afin de remplacer le bras que cela vous à coûté. Qui plus est, vous avez reçu une promotion ! Un groupe d'hommes et une mission vous attendent dès que la prothèse est installée."
Ce qu'il avait omis de me dire, c'est que la prothèse pèse un âne mort et que même avec les appuis ajouté elle me défonce le dos, que "mes" hommes son ceux d'un autre officier qui est mort et que je dois remplacer, et que cette foutue mission c'est de la reconnaissance en terrain inconnu ! J'ai presque l'impression que l'autre Maverick veut pas qu'on sache qu'il a failli mourir.
Du coup je suis obligé d'envoyer la procédure se faire foutre et de me poster à la tête du groupe comme une carotte pour un âne afin que le groupe ne ralentisse pas jusqu'à l'arrêt presque complet. 'tain les soldats peuvent cracher tout ce qu'ils veulent sur les officiers sup, mais si j'en entends un râler d'un sous-off, je lui refais le portrait !
Putain ! Mais ça leur coûte quoi aux autres sauvages de tailler un chemin au milieu des lianes et des arbres hein ? Il faut être con comment pour pas comprendre qu'aller de ville en ville plus vite, c'est un putain d'avantage ? J'arrive pas à comprendre comment on n'a pas des cargaison complète de My'trän déçus qui arrive sur nos côtes en quête d'asile. Foutu endoctrinement... Au moins les générations futures en seront libres et pourront profiter de la civilisation.
J'ai vingts-sept hommes sous mes ordres et ils sont presque tous au bord de la mutinerie. Manifestement, leur officier d'avant était un mec en or. Ou un incompétent/corrompue qui les laissait faire ce qu'ils voulaient aussi. Bref, j'ai de sacré bottes à remplir et des "embuscades" malencontreuse ça arrive trop souvent pour qu'elle soit toute d'origine My'trän. Enfin, j'espère...
Broussaille, liane, animaux inconnus et probablement soldats ennemis devant, et soldats au bout du rouleau, gradés incompétent, et mal de dos derrière... Cette campagne sera jamais finie assez tôt pour moi.
Et cette foutue cambrousse qui me joue des tours ! J'ai vu un truc briller sur la droite, mais c'est probablement juste un putain de caillou ou un insecte qu'a choper un des rares rayons de soleil qui arrive à traverser la canopée. S'arrêter pour vérifier et risquer la mutinerie ou continuer et laisser un potentiel ennemi derrière ?
Et puis merde, si les soldats veulent se plaindre, je peux mourir en leur pétant la gueule, mais si je laisse un mage derrière je n'aurais même pas le temps de me battre avant d'être tué alors... :
"Compagnie HALTE ! Je commence à me retourner tout en continuant, Bougez-pas je..."
Et là, j'ai à peine le temps de voir un éclair roux sauté des fourré droit vers le centre de la formation.
___
Maudit dirigeant ! Je ne sais pas ce qui lui a mis la puce à l'oreille, mais il me force la main. Quel dommage qu'il ne soit pas resté à l'arrière comme tout les autres avant lui, ça aurait été réglé vachement plus vite.
Peu importe cela ne change rien au résultat. Avant même que l'eau que j'ai utilisé pour me propulser ne retombe, je suis au milieu de leur colonne. Un mouvement horizontal avec ma première épée ouvre la gorge de la première proie et j'ai le temps d'ajouter de l'élan en étendant le coup afin que mon autre lame arrive sur son voisin depuis le bas. Ma visée me reste fidèle et je lui entaille à peine la jugulaire sans me coincer dans ses os.
Le reste de la troupe commence à réagir, mais pas assez vite. Je me contracte sur moi-même et je surgis comme un geyser en glissant mes lames juste sous les cotes de deux autres envahisseurs avant qu'ils ne puissent se retourner. Quatre sur vingts-huit. Mais ça y est le temps que je retire mes armes des cadavres, les hommes autour de moi me font face.
Et c'est tout ce que Soulust attendait. Une lueur apparaît derrière la colonne et grandit en s'approchant. La flamme de Süns. Les trois dernière rang y passent. Dix sur vingts-huit. Malheureusement, leur petit dirigeant était à l'avant ici et a donc survécu, mais son tour viendra. Le cri des mourants est dérangeant par contre. Même si leurs maudites armures peuvent les protéger de la plupart des coups elle est plus un handicape qu'autre chose face aux pouvoirs de Süns. Il n'est pas bon de survivre à de telles brûlures... Je les plaindrais presque.
Mais je n'en ai ni le temps ni l'envie. Si certain, on été distrait par le feu de joie certain ne m'ont pas oublié et j'ai vu les effets de leurs armes. Encore une fois, je me propulse en l'air, et pas une seconde trop tôt, car plusieurs détonations retentissent presque au même moment. J'entends les projectiles siffler et je suis déçue qu'ils ne se soient pas tirés dessus entre eux.
Qu'importe. Je m'oriente vers un qui n'avait pas tiré. Je me demande si c'est par intelligence ou par lenteur ? Dans tous les cas, il m'ennuie, je ne peux pas l'ignorer à cause de ça. J'utilise la puissance de ma retombée et abats mes deux armes avec puissance en espérant traverser sa plaque d'armure abdominale, mais il me pare avec la hampe de son fusil.
Mais on ne stoppe pas l'eau on se contente de la rediriger et c'est moi qui mène cette danse. Dé que mes pieds sont de retour au sol, je fais glisser une lame sur le fusil et s'il parvient à retirer sa main sans y laisser un seul doigt, le premier sang est quand même miens.
Les autres arrivent par-derrière, mais une nouvelle lueur les force à se jeter au sol et à se disperser. Un seul envahisseur est touché cette fois et je ne crois pas qu'il soit mort. Onze sur vingts-huit quand même. Il n'est plus une menace.
Le fusiller est une autre histoire. Il n'a pas eu une seule hésitation est dés qu'il m'a senti distraire ma mise en joue. Je me précipite et dégage son canon avec mon épée droite avant d'enchaîner avec ma gauche. Si son fusil est dévié sans ennui, mon coup qui suivait ripe sans dégâts sur son armure et je parviens à peine à entailler son flanc avant qu'un coup de crosse ne me force à reculer.
Bon s'en est assez ! Je suis une guerrière ! Une adepte de Dalai ! Ceci est mon art et ce pitoyable travailleur de convenance ne m'entravera pas d'avantage ! Utilisant la bénédiction de mon architecte pour m'augmenter, je me lance. Feinte d'un coté et de l'autre presque trop rapide pour qu'il me suive du regard. Un coup paré, deux coups parés, troisième coup imparable !
Son fusil forcé hors d'alignement par mes précédentes acrobaties, je vois la pointe de mon arme approcher inexorablement de sa gorge. Mort à l'envahisseur ! Puis avant que mon épée ne morde mon ennemi, je sens une poigne se saisir de ma natte de cheveux et me tirer en arrière.
Bon sang je me suis encore laissé emporter ! Ce n'est pas grave. J'utilise la propre force de celui qui me tire en arrière pour me retourner et...
___
Et je relâche ses cheveux pour lui attraper la tête avec ma prothèse. Voilà pouffiasse pourquoi on porte les cheveux court à l'armée ! J'engage les systèmes hydraulique dans mon bras artificiel et l'étau se referme sur le crâne de la sauvageonne. Elle a quelques instants pour crier avant que sa tête ne craque comme un fruit trop mûre.
Putain ça va être chiant à nettoyer ça. Mais pas le temps d'y penser, y'a un artificier derrière nous qui nous allume... Sans mauvais jeu de mots...
Je dégaine mon pistolet avec ma main organique et hurle :
"Compagnie ! À moi !"
Puis j'ouvre le feu dans la direction générale du mage. Les autres ne tardent pas à réagir et reprenant leur esprits se mettent à suivre mon exemple. On est plus qu'une quinzaine donc il y a plus impressionnante comme ligne de feu. Mais pour cribler un seul tocard ça devrait suffire.
Malgré tout, quand on recharge, il n'y a pas encore eu de cri. Avec un peu de chance leur bombarde là est juste un autre enragé, mais j'ai peur qu'il se soit juste planqué. J'ai pas envie du tout d'aller poursuivre un des locale dans ses bois avec une troupe démoralisé. Si tu cours maintenant bâtard t'as une chance de survie alors fait pas l'con...
Je savais qu'on avait juste un autre fanatique ne face de nous quand une autre langue de flamme nous fut lancée dessus. Et manifestement, c'était moi la cible. Chouette... Au moins maintenant, on sait d'où ça vient et y'a pas l'autre furie pour nous faire chier. C'est plus facile à esquivé. Je me jette sur le côté et je sens toute ma peau se sécher et mes yeux devenir bien trop chaud. C'est pas passé loin et le cri que j'entends derrière moi me fait savoir que tous n'ont pas eu ma chance.
Je me retourne pour voir un pauvre type, les cheveux en feu et sa plaque d'acier rougeoyante, en train de se rouler par terre pour éteindre les flammes. Bon réflexe contre des flammes normal, pas contre des flammes magiques. Je lui donne la seul pitié qu'il lui reste et met fin à ses souffrances avec une balle.
Presque en même temps que ses cris s'arrête le reste de la compagnie réouvre le feu et cette fois-ci l'enculé est touché ! Sa douleur est un baume sur mon cœur et sur celui des autres je n'en doute pas. Il nous faut appuyer notre avantage maintenant !
"Deuxième ligne, restez ici et occupez-vous des blessés ! Première ligne avec moi ! Vengeance !"
Pas mon meilleur discours, mais il est pas fait pour finir dans les cours d'histoire et avec l'adrénaline cela n'a aucune importance.
___
Maudits fusils ! La balle s'est logée dans mon ventre ! Raaaah ! Ça fait un mal de chien ! Et je les entends qui me poursuivent. Il faut que je fuie avec une blessure pareil quelle poisse !
"Des traces de sang ici les gars ! Il est part là !"
Bien sûr que maintenant, ils avancent rapidement ! J'ai cru mourir d'ennui en les attendant. Ils ont mis beaucoup plus de temps que prévus avant et maintenant, ils sont comme des chiens ayant flairé une proie. Putain Tessa, tu serais pas fière de moi. Je suis désolé, j'ai pas réussi à me faire ton tueur et ceux que tu traité de proie sont devenue mes prédateurs.
J'ai un espoir. Plusieurs en vrai. Je peux me cacher. Cela m'arrachera le cœur, mais je peux leur échapper en me cachant. Je peux aussi essayer de les prendre en embuscade, après tout aucun d'entre eux à part leur chef n'est vraiment talentueux, mais il suffit d'une balle et je ne suis moi non plus pas le plus talentueux des hommes. Et enfin je peux rejoindre notre camp. Il est loin... Probablement trop loin, mais c'est un espoir comme un autre.
Je ne crois pas que je puisse les affronter dans mon état. Je vais essayer de les semer tout en allant vers le camp c'est la plus logique des décisions. Qu'importe la boule dans ma gorge, cela concerne plus de gens que moi.
Au moins ils ne connaissent pas bien les sous-bois. C'est d'ailleurs la seule raison pour laquelle ils ne m'ont pas encore rattrapé. Là une descente. Je vais pouvoir me cacher dans le creux des racines de l'arbre qui pousse dans cette côte. Doucement, doucement...
Et merde ! Les racines à l'air libres sont mortes et ont fait un bruit énorme ! Et je suis retombé sur ma blessure en plus ! Vite je dois courir et tant pis pour la discrétion car ils...
"Par là-bas, j'ai entendu du bruit."
CHIER ! Voilà pourquoi. Allez vite. Tu as passé ta vie en mouvement, tu ne vas pas mourir parce que ces assistés bougent mieux que toi !
"Il est ici ! On l'a trouvé ! Sergent ! Eh ! Sergent ! Par ici !"
Foutus chiens ! Je...
Raaaaaah ! Chier, chier, chier !
"PUTAIN !!"
Ils m'ont eu ! Une autre de leur saloperie de tir m'a percé la jambe. Et puis merde ! Mort aux envahisseurs et désolé pour la forêt je ne partirais pas tout seul !
Je commence à charger ma bénédiction. Plus de flamme. Par pitié Süns, si tu m'entends, si ta présence est avec moi aujourd'hui offre moi de quoi repousser ces monstres à visage humain.
Je sens la chaleur bienfaisante de mon architecte en moi et quand j'ouvre les yeux, je la vois aussi. Sa douce lumière m'apaise et me réconforte dans mon choix. À tout de suite Tessa, je ne serais pas long. Maintenant tout rassemblé dans mes mains et compresser jusqu'à ce qu'il ne reste plus nul part ou allez sauf à travers moi. Et là... Et là se sera la fin.
"J'en ai assez de vous voir vous faire pétez les miches dès que la bataille tourne en votre défaveur, mage. Pas cette fois !"
Une détonation. Pas la mienne. Je cri quand une balle de plus vient ce logée en moi. Traversant ma main au moment ou j'allais relâcher la magie. Je la sens me traverser la paume et remonté un peu dans mon poignet.
Je... Je n'en peux plus. C'est... S'en est trop pour moi.
Quand suis-je tombé au sol ? Je ne sais plus. Le tueur est au-dessus de moi maintenant. Je... Je crois que je devrais être tellement plus en colère, mais c'est si fatiguant.
Peut-être un dernier effort ? Au moins l'emporter avec moi ?
Je lève la main faiblement, il est si loin. Et lui, en réponse me saisit à la gorge et me bloque mon air tout en me plaquant au sol.
Ah ! Ta dernière erreur...
Avec ma main intacte, je me saisis de son bras et y lâche les flammes. Une dernière détonation... La mienne celle-là... Enfin...
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Maudits mages ! J'ai à peine réussi à m'en sortir en éjectant ma prothèse avant que ce fou furieux n'entre en combustion. Putain de fanatique ! Une douzaine d'hommes contre deux abruti suicidaires. Tu parles d'un échange !
Vous savez quoi ? Les ordres peuvent pourrir. On rentre au camp faire notre rapport et merde à Maverick. Putain, cette guerre ne pourra pas se finir trop tôt.
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| | | Invité
| Mar 12 Mar - 14:48 | | | Des fois j'ai des idées à la con qui me saute à la gorge et après je culpabilise un peu mais je suis surtout confus. C'était une de ces fois. - Schizophrénie et trois murs:
- Bonjour, bonsoir à tous est bienvenu dans cet exercice où nous allons explorer les réactions d'un personnage dans un dialogue on ne peut plus schizophrénique. Ce texte a pour but d'être posté, mais comme je ne retiendrais rien, il est possible que je ne le sorte jamais de son dossier.
- Manquerais plus que t'assume une de tes décisions...
- Avec moi, se trouve Elodie Mistral. Bonjour Elodie.
- ...
- ...Qui n'est pas particulièrement enjoué d'être ici donc.
- Va-y toi ! Fais toi sortir de ton univers pour découvrir que tu es le figment d'imagination d'un pauvre type qui passe son temps en te trouvant des trucs à faire ! Découvre que t'as même pas une année de vie réel ! J'ai même pas un mois ! Et en plus, j'ai aucun droit ici ! Il peut m'arriver n'importe quoi ! Littéralement ! Et je ne peux rien y faire ! Je suis coincé ici et complètement impuissante face à tes décisions !
Même ma mémoire et mes pensées sont putains de vulnérable ! Je n'ai que la chance discutable que tu sois relativement aimable et bienfaisant et encore, je n'ai d'autre preuve de ça que les mots et pensé que tu me donnes ! Alors va bien te faire foutre avec ton "pas enjoué d'être ici" conard !
- Pas que je ne comprenne pas pourquoi hein ? Le changement de... paysage est plutôt brutal.
- Euphémisme du siècle.
- Tu serais d'accord pour parler un peu ?
- Merci de me donner l'illusion du choix. Fuck-it. Je prends les moments d'existence qui me sont donné.
- Si on pouvait éviter l'anglais et les anachronismes ?
- Nope. Tu veux faire un exercice de comment je réagis en sachant ce qu'il m'arrive ? Tu assumes que mon vocabulaire et le tient son les même... Allez soit heureux ça veut dire que t'as pas à te casser la tête à traduire les expressions en Irydar.
- Je suppose que c'est légitime. Alors quelque chose à dire en particulier ?
- Outre l'esclavagiste mental et physique de plusieurs dizaines de personnes sur ce forum seulement ? Pas particulièrement. C'est un peu au milieu de mes pensées, tu vois...
- Je ne peux pas y faire grand chose. C'est un peu l'esclavage ou la mort, là. L'oblivion tout du moins. Le moins, que je puisse faire, c'est essayer d'être aussi en ligne avec ta façon de penser et d'agir afin que tu puisses vivre ta vie quand même comme si je n'étais pas là.
- Mais tu peux pas promettre ça pour les autres.
- Je ne suis pas dans leur tête ou leur cœur, non.
- Yay. Beggar can't be chooser n'es ce pas ?
- C'est l'idée.
- Joie.
- Une idée de truc à dire ? Une opinion, un point de vue ?
- ...Je sais pas. C'est compliqué de regarder au-delà de l'évident. Je sais pas... Je suis au moins heureuse que j'aie mon nom dans une/plusieurs histoires ? C'est pas grand chose et cela n'a presque aucune valeur dans mon monde à moi, mais c'est toujours ça.
J'y pense... Tu vas m'effacer la mémoire de ce moment n'es ce pas ? Je ne peux pas retourner dans mon monde fictif d'origine avec ce genre de savoir pour des raisons de fair-play à la con hein ?
- ...J'ai pas beaucoup de choix pour toi... Je peux considérer que t'es un version alternative et si j'ai des idée te récupérer comme tel sans que tu ne vives dans le monde d'Irydaë mais il ne t'arrivera rien entre les histoires. Tu volerais de moment intemporel en moment intemporel.
- Et sinon je rejoins le moi qui sais pas sur le forum et tu me ressort changé comme tu veux, quand tu veux.
- Je peux essayer de te demander ton avis, mais c'est un peu contre productif nan ?
- C'est débile surtout... Tu me renvoies sans souvenir, mais tu me rends tout si tu me ré extirpe d'Irydaë pour quoi que ce soit.
- Ça marche pour moi...
- Bien.
- ...Si il y en a qui pense que briser le quatrième mur c'est que du fun...
- Nan je ne finirais pas ta phrase.
- Tant pis je finis tout seul alors. ...y'a aussi de la crise existentiel ! Parcequ'on a aucune preuve qu'on est pas l'écrit d'un autre hourra !
- Techniquement ta voix est juste un échelon de plus vers la tête pensante qui nous fais bouger comme des marionnettes.
- Ouais, c'est déjà bien compliqué avec deux personnes alors autant ne pas en rajouter une troisième ok ? Je suis l'expression direct de l'auteur pas un autre personnage avec une personnalité et une capacité à avoir des crises existentielles en plus.
- Première sage décision de la journée Zara. Ou autre crime contre l'humanité imaginaire.
- Ou les deux.
- Ou les deux ouais.
- ...
- C'est bon, je te fais une fleur je renchaîne toute seule. Je vais parler de la guerre qui approche si elle approche. Je suis terriblement inquiète pour moi. Je sais me bagarrer, je sais lancer des couteaux et je sais à peu près tirer à l'arme à feu. Mais en face, il va y avoir des soldats et des mages et tout un tas de trucs qui vont pouvoir me détruire sans que je puisse rien faire.
J'ai pas envie d'être impuissante parce que quelques personnes veulent... J'ai envie de dire de l'amusement, mais c'est pas la question. Parce que quelques personnes veulent du pouvoir. Moi, je veux juste vivre, reconstruire un cirque où je peux faire mes pièces avec des gens et peut-être plus tard fonder une famille pour pouvoir élever un enfant.
Je ne veux pas que ce soit mon enfant biologique par contre. Je refuse d'imposer ma cécité même partiel à un petit être.
- Du coup tu réagirais comment si un autre perso te proposait de fonder un cirque à deux ou plus ?
- Je ne sais pas... D'un coté, c'est mon rêve de l'autre ce ne sera jamais comme avec ma famille et j'aurais toujours peur qu'ils finissent de la même façons. D'un coté, c'est mon rêve de l'autre ce ne sera jamais comme avec ma famille et j'aurais toujours peur qu'ils finissent de la même façons. Si moi et votre personnage décidons de faire un bout de chemin ensemble ou plus et qu'un jour je disparais... Je comprendrais que vous m'en vouliez, mais ce n'est pas parce que vous ne comptez pas pour moi ou quelque chose du genre. C'est parce que vous compterez trop pour moi.
- ...
- ...Tu n'as pas donné de nom à Mama.
- Non je n'avais pas vraiment d'idée.
- ...Tu n'as pas donné de nom à beaucoup des gens du cirque hein ?
- Je savais qu'ils allaient mourir oui.
- ...Conard... ...Donne au moins un nom à ceux qui m'ont récupéré et à Mama.
- Bien sûr. Je vais essayer de créer quelqu'un de vrai pour chaque membre.
- La diseuse de bonne aventure s'appelle Sophie.
- Ça marche.
- ...Je voudrais y aller maintenant. J'en ai assez.
- Je comprends. Bonne vie Elodie.
- Va t'faire.
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| | | Invité
| Sam 16 Mar - 15:50 | | | Un petit texte parce que pourquoi pas je vous présente la version alternative que j'ai baptisé : La dernière faction Nom vague ? Check. Sous entendu qui ne peux être compris qu'après avoir lu ? Check. Débordement d’arrogance ? Check. Ok j'ai un titre de teen roman ! - Le Reparut:
Enfin ! Enfin, après tant de journées épuisantes et de nuit sans sommeil, la ville apparut à l'horizon ! Je pus voir les gigantesques membres de pierre de son bienveillant porteur, passer la cime des montagnes et se diriger lentement mais à pas-de-géant dans notre direction !
De notre groupe ils ne reste plus qu'une poignée de survivants tous plus hagard et détruit que le suivant. Nous sommes chanceux, nombreux sont ceux qui n'ont même pas autant que nous. À notre réapparitions nous étions tous nu comme des vers. Tant dans notre esprit que sur notre corps. Une bande d'enfants adultes perdues au milieu du désert. Nous avons été beaucoup de monde à repartir rien qu'ici. Ce n'est pas ici que la majorité est tombée malheureusement.
Avec un peu de temps et de recherche au hasard une oasis fut finalement trouvé. Un havre de paix pensions-nous. Les ombres nous ont rapidement détrompés. Dé que le soleil passa sous le monde d'étrange faille s'ouvrirent dans l'air. Nul ne sait sur quoi elle s'ouvre vraiment. On appelle cela le Vide tout simplement. Comment appeler un noir si profond qu'il tire sur notre âme elle-même ? Comment parler du Vide ? Comment le décrire ? Le vide est l'absence de tout. Et là où il coupe dans la création d'étrange forme de verre qui semble tant infini que restreinte dévore le monde lentement, mais sûrement.
Nous avons très vite appris à fuir comme la peste ces étranges créatures qui ne sont pas. Ceux qui furent rattrapés furent déchirés sans plus d'avertissements. Pas une goutte de sang, pas un cri. Là, où se trouvait un humain se trouvait une statue de cristal qui s'effaçait comme emporté par le vent.
Le plus étrange c'est que la taille de la personne n'avait rien à voir avec celle de la statue. Un grand homme fut réduit à une statuette d'à peine quelques décimètre alors qu'une jeune enfant grandis de plus de deux mètres.
Toujours est-il que nous ne nous sommes pas attardé sur place. Dans la terreur et la débandage nombreux furent ceux qui furent piétiné ou rattrapé. Nombreux, aussi, sont ceux qui ont fuis dans une autre direction et dont la destinée s'éloigna de la mienne. Qui sais, ils ont peut-être trouvé une autre ville mobile. Un autre havre de paix. C'est une douce pensé, mais un espoir fou.
J'avais fui dans la même direction qu'une petite cinquantaine d'autres et faute de mieux nous nous remirent en marche. Nous suivions le soleil, car il s'agissait de notre seul vrai point de repère. La journée la chaleur emportait quelques-uns d'entre nous, la nuit le froid et ces étranges ombres se partageaient les victimes.
Au bout de trois jours de ce cirque, l'espoir nous avait définitivement quittés et nous ne marchions plus que parce qu'il n'y avait rien d'autre à faire. Alors quand des créature fondirent du ciel vers nous rare furent ceux qui prirent la peine de courir.
Et grand bien nous en fut, car à dos de ses dragons, étaient montée notre première rencontre aimable ! Des hommes et de femmes qui venaient d'une lointaine cité ou le Vide n'osait pas encore s'aventurer ! Ils nous parlèrent de la vie là-bas et nous donnèrent des indications pour la rejoindre. Ils ne pouvaient pas rester longtemps car ils avaient espoir de pouvoir aider ceux qui étaient partis dans d'autres directions que nous.
Ils nous laissèrent des vêtements afin que nous puissions enfin regagner notre pudeur et de la nourriture et de l'eau afin que nous trouvions la force de continuer notre périple. Et deux d'entre eux comme guide. Nous n'étions pas le premier groupe de Reparut de ce monde. Loin s'en faut. Les humains s'adaptent à tout et les dragonniers prennent maintenant des vivres et des vêtement pour les âmes égaré comme nous.
Le périple qui s'en suivit ne fut pas simple même avec nos nouveaux compagnons. L'un d'entre eux mourut en cours de route ainsi que presque la moitié du groupe déjà si amoindri. Et toujours ces statues de pierre lorsque le Vide nous rattrape.
Nous avons gardé le soleil sur notre gauche et marcher jusqu'aux montagnes et là nous avons vu la ville.
Nous avions beau savoir que nous avions une vie avant je ne peux croire que mon ancien moi n'aurait pas été aussi étonné que moi devant le spectacle majestueux en face de nous.
En bas, au niveau des pieds, on pouvait voir les nombreux ascenseurs qui relient les deux mondes entre eux et à plus le regard monte plus les maisons accrochées à la surface de l'être étaient nombreuse. Elles se reliaient entre elles grâce à des câbles et des ponts de bois flottant et de pierre rigide. Toute une infrastructure aérienne avait été montée sur le gardien.
Mais le plus impressionnant était sur son dos. Un immense pan de terre avait été sorti du monde et était tenu pas les bras du géant. Cette montagne était une véritable fourmilière que l'on pouvait voir grouiller de vie d'ici. Creusé de part en part, on pouvait voir des trains se glisser dans ses entrailles et en ressortir remplie de marchandise et de personnel. Et poser à la surface se trouvait d'immenses tours qui se perdait au-dessus des nuages.
Alexandria la grande et Delkhii le déchu. Le dernier pays de la création en Irydaë. Le dernier bastion de la création en notre monde. Et avec un peu de chance notre nouvelle maison.
- Bienvenue Reparuts !:
Bienvenu en Alexandria. Si vous êtes en train d'écouter ceci il y a de forte chance que vous soyez un nouvel arrivant. En tant que tel permettez moi de vous présenter nos plus chaleureuses salutations ! Notre ville et notre civilisation toute entière se réjouie d'avoir tiré des griffes du Vide une âme de plus.
En tant que Reparut, il est extrêmement probable que votre mémoire est été sévèrement compromise, mais même si vos souvenirs sont intacts les choses ont bien changé depuis que le Vide nous assiège. Ce message à pour but de vous mettre à jour de la situation actuelle.
Pour commencer par le commencement vous êtes la réincarnation d'un être mort après la catastrophe. Lorsque les architectes se rendirent compte des ravages du Vide ils en vinrent à la conclusion que les êtres ne pouvait pas juste disparaître ainsi. Et la guerre les empêchant de continuer leur travail de création du monde ils redirigèrent leur puissante vers la sauvegarde des êtres.
Il est à savoir que toute personne qui meurt des mains du Vide sera réincarné quelque part mais que mort après mort l'âme se réduit. Trop de morts et le Vide gagnera. Il est probable que des gens dans Alexandria vous connaissent et veuillent vous retrouver. Il vous est encouragé de renouer des liens avec ses personnes. Les relations et la vie semblent limiter la dégradation des âmes.
À l'attention de ceux d'entre vous qui détenez une mémoire de l'époque où les habitants de My'trä et Daënastre était encore en guerre, ou en froids nous nous devons de vous annoncer qu'aucune discrimination entre mages et non-mages ne sera toléré. Lors de la catastrophe qui nous priva du droits de vivre en Irydaë aucune des deux factions ne fut épargné et ce n'est que grâce à l'entraide de toutes les créatures qui sont qu'Alexandria et la civilisation se tient toujours vaillante.
Si vous avez des capacité magique et que vous vous étonnez que le mal de la technologie ne vous ait pas encore atteint sachez que les architectes, et Delkhii le déchu plus particulièrement, on retiré cette malédiction pendant la catastrophe. Il vous est fortement encouragé d'apprendre au moins une forme de magie mais l'état de votre âme rendra peut-être l'opération impossible.
Il est presque certain qu'au cours de votre ou vos vies vous entendiez parler des autres architectes. Il est à savoir que tout les architectes, Delkhii le déchu à part, on quitter Irydaë. Il semblerait qu'ils tentent de combattre le vide par d'autres moyens en d'autres lieus. Toujours est-il qu'ils sont absents et ont abandonné la création au Vide. Seul Delkhii est resté ici. Déchus des sien à cause de sa loyauté envers le monde.
Souvenez-vous bien que rien de ce qui se trouve ici n'est possible sans l'aide du colosse qui lutte sans cesse contre le Vide pour notre sauvegarde. Le blasphème ne sera pas toléré.
Veuillez maintenant vous avancer en rang ordonné vers les guichets qui sont en train de s'ouvrir afin de régler les problèmes d'identité. Je vous retrouverais après pour des explications plus approfondi de votre place dans notre cité.
- Note de l'auteur (C'est moi):
Bon voilà ce qu'il se passe quand on pense à comment faire bouger une ville. Puis j'en ai fait un truc post-apo pour que le pauvre Delkhii se remette de sa technophobie. Rien ne vaut un ennemi commun implacable pour rassembler les hommes hein ?
Dans l'idée les architectes ont essayé d'endigué l'invasion puis quand ils ont vu que ça marchait pas on fait une croix sur le monde et était prêt à partir. Delkhii c'est le premier née. C'est celui qui à mit la première pierre à l'édifice et il l'avait un peu mauvaise. Du coup il a dit "Frack it je reste !" Et il est resté.
Le vide lui détruit tout ce qu'il touche et sans les autres architectes Delkhii ne peux reconstruire que la terre d'où la présence de désert partout. Il n'y a qu'en de rare endroit où la magilith est encore sous terre ou l'eau, le vent et la vie peuvent apparaitre.
Delkhii se trimbale le monde en permanence histoire que le vide ne puisse pas se concentrer sur lui et étouffer la flamme mais du coup il ne peut pas empécher les ombres de rentrer sur son plan d'existence. Sa présence les rend cependant plus fragile et les empèche de se téléporter, raison pour laquelle Alexandria tient toujours.
Je sens que les My'tran vont m'en vouloir d'avoir fait d'un architecte une simple monture pour Alexandria mais devinez quoi... Vous pouvez pas m'en empêcher ! Xp
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| | | Invité
| Dim 24 Mar - 9:55 | | | Donc... Dans le Rp que je fais avec Ophé elle m'a mis : "Si vous saurez m'emmener à la place des Fortunes" Du coup moi je me demande c'est quoi. Après tout je ne l'avais pas croisé dans le fofo auparavant. Il se trouve que c'était une simple accroche où je pouvais inventé un lieu ! C'était il y a cinq jour... J'ai faim, j'ai soif, j'ai 2300 mots dont je ne sais pas trop quoi faire, et un coin auprès du feu. Un résumé rapide : La place des Fortunes est une place bâtie autour d'une fontaine alimenter par une source naturelle qui découle d'un grand rocher sur lequel est perché un chêne centenaire. Quatre routes en partent, mais s'arrêtent très vite au contact des arbres. La fontaine est faite avec des pierres d'un blanc immaculé où il est gravé le nom de quatre cents soldats mort lors d'une embuscade il y a des siècles. C'est un lieu d'une grande beauté simple qui a attiré les artistes de tout temps. Ce n'est que relativement récemment que les marchands et les autres honnêtes gens, car l'endroit est un ancien village hors la loi. C'est d'ailleurs lors de sa destruction que les quatre cents soldats perdirent leur vie. Toujours est-il que c'est un endroit où il fait bon vivre, mais la milice locale est formelle. Aucun abri autre que les arbres ne sera toléré ! Puis 2300 mots : - La place des Fortunes:
La place des fortunes n'était au départ qu'une source naturelle se trouvant sur le passage direct entre Alexandria et Zuhause. Un lieu d'arrêt important pour quiconque souhaitait remplir ses outres ailleurs que dans les crevasses et flaques des forêts.
Ceux qui refusaient l'occasion tombant souvent malade dû à l'eau stagnante et ceux qui s'arrêtait boire étant souvent forcé d'être des marcheurs, l'endroit se trouva une réputation de fontaine chanceuse et aux dons particuliers. Qui disait qu'elle soignait les maladies, faisait disparaître la fatigue, renforçait les os et les dents et tant d'autre mérite. Et qui disait que laisser un Irys offrait protection des bêtes sauvages encore à venir.
Le paysage était aussi loin d'être hideux, la source descendait d'un énorme monticule de pierres qui était au soleil quel que soit l'heure du jour et tout autour une douce herbe verte et grasse poussait sans encombre libre de l'ombre des arbres sauf un. Sortant du rocher central comme un étrange chapeau un fier et solide chêne veillait sur l'endroit apportant une fraîcheur parsemé de point de lumière à quiconque voulait se reposer un instant ou plus.
Cet arbre avait comme particularité que son feullage restait vert et entier à tout moment de l'année. Même pendant les rudes hivers de la région. Des descriptions et tableau de l'arbre croulant sous la neige, mais parsemé de la verdure de ses feuilles peuvent encore aujourd'hui être trouvé.
Nul ne sait vraiment ce qui permit la création de cette clairière. Peut-être étai-ce une créature en colère qui jeta un rocher qui creusa la terre et terrifia les arbres ou peut-être était-ce une ancienne maladie qui ne touchait que les arbres et que seul le chêne savait combattre. Toujours est-il que l'Incontournable était un lieu que les animaux rechignaient sans raison apparente et que le temps ne semblait pas vouloir changer.
Quelques poètes et peintre voulaient passer ici pour s'imprégner du calme et avec leur arrivé la renommé grandit et attira plus de monde dans un cercle vertueux.
Bien sûr, il ne fallut pas longtemps avant qu'une famille ne veuille trouver des gain monétaire de la formation naturelle et elle parvint à acheter une parcelle de terrain autour du point d'eau dans la plus grande discrétion. Presque du jour au lendemain les voyageurs tombèrent, non plus sur une petite source qui serpente entre les rochers, mais sur un bassin creuser et grossièrement aménagé gardé par une famille nombreuse et avare.
Une bicoque en bois servait de dortoir payant et ceux qui voulait profiter des étoiles sans payer se réveiller dans un fossé ou avec une côte cassé. Le service était pauvre et les prix outrageux, mais qu'en avaient-ils à faire ? Le monopole était leur. Il pouvait prendre les décisions qu'ils voulaient sans conséquence et ne s'en privèrent pas.
Le lieu étant encore loin de tout, il était presque impossible de contester la revendication et rare était ceux qui après des jours de marche avait encore l'énergie de faire des demande et de dénoncer la moralité de l'achat. Alors la famille s'enrichit gentillement de la vente d'eau aux assoiffés sans recours et aux superstitieux. C'est ainsi qu'elle resta et pire s'épanouis ici.
Mais comme tout commerce mal aimé d'autre gens de pauvre scrupule vinrent chercher leur dû ici. "Voyageur" passant la nuit-là et récupérant des litres du maintenant précieux liquide revendu à bas prix au risque de ne se faire vendre que de l'eau de mer. Campement clandestin non loin affirmant qu'une tente valait tout autant que la cabane pourrissante de la famille et garantissant qu'ils protégeraient les voyageurs des jeune frère servant de brutes.
De plus en plus, l'endroit devint un rassemblement pour les malfamé et les hors-la-loi. Bandits, receleur et vendeur d'huile de serpent trouvait ici des âmes compagnes pour parler de leur méfait et de leur coup à venir. Des hommes vendaient leurs bras et leur morale à d'autres ayant des idées fourbe à l'esprit. Et au-dessus de cela, les rois de la cours des miracles : La famille.
L'endroit était devenu un taudis rempli de cabane en bois et de bois de tissus qui entourait le rocher, mais étonnement personne ne s'installa en haut très longtemps. Mal de crâne et d'articulation, sensation de froid et de chauds toujours désagréable et autre gène touchaient tous les téméraires. Pareillement lorsqu'un homme voulu prouver sa bravoure et sa force en brisant le chêne maintenant plus que centenaire d'un seul coup, il donna un violent coup de hache dans l'écorce de l'arbre qui ne fut bien sûr pas assez. Ses amis aussi éméchés que lui, ne manquèrent pas de se moquer de lui et l'affaire fut vite oublié par l'ensemble de taudis.
Malheureusement pour le bûcheron d'un soir plus rien n'alla pour lui. Aucun de ses plans ne finit en sa faveur. Lors des cambriolages les meubles était étrangement fragiles. Lors des agressions les victimes trouvaient toujours un échappatoire entre les murs. Lors des agressions les victimes trouvaient toujours un échappatoire entre les murs.
Bien sûr tout ceci est probablement un ramassis de rumeur et de racontar cependant les rapports officiels sont formel. Le dénommé Varion Lacotte est mort suite à une blessure traumatique qu'il s'est infligé lors d'une fuite des forces de l'ordres. En foulant semé ses poursuivants, ledit criminel passa à l'intérieur d'une scierie alimenter par un moulin à eau. Il n'est pas bien compris comment il parvint à activer l'installation et si il s'agissait d'une action volontaire ou accidentel. Toujours est-il qu'elle ne lui réussi pas.
De façons tout aussi inexpliqué Varion Lacotte s'est retrouvé sur le chemin d'une des scies mécaniques de l'endroit. Il fallut plusieurs semaines de nettoyage avant que la scierie ne puisse reprendre ses opérations. Rajouté aux rumeurs, il parait que la cicatrice du chêne se mit à disparaître une fois son agresseur mort.
La théorie la plus acceptée est qu'un ou plusieurs des derniers artistes tentèrent de préserver l'endroit comme ils purent est lancèrent une campagne de fausse information. Qui plus est l'écorce de l'arbre est intacte et ne montre aucun signe de blessure.
L'Incontournable au fur et à mesure des méfaits commis par ses nouveaux occupants finis par devenir L'Incontournable Fortune. Le lieu où l'on pouvait trouver tout le nécessaire à toute action hors la loi. Les gouvernements Daënar encore instables et illégitimes à cause de leur jeune âge n'avaient pas le capital politique et les hommes à envoyer sur un village, somme toute, assez peu conséquent.
Ce n'est que lorsque le commerce de la fourrure de Vereist que le, maintenant bien établie, camp de brigand fit vraiment parler de lui les honnêtes gens. Le commerce étant lucratif, dû à la forte demande des industries naissante et des Daënar suffisamment riches pour se permettre les fourrures rare sur leurs manteaux, les agressions et les vols l'étaient aussi.
Il était entre improbable et impossible pour une caravane non escortée de traverser les bois et il ne fallut pas longtemps pour que même celle escorté subissent ces attaques. Lorsque les autres marchandises furent attaquées à leur tour le gouvernement de Vereist fit tonner sa voix.
Parmi ces marchandises, se trouvaient des outils, et ravitaillement absolument vitaux à la survie des habitants du Nord. Un ultimatum fut envoyé aux Rathras. S'ils ne réglaient pas le problème Vereist s'en chargerait et la souveraineté de Cerka peut bien brûler si cela empêche le ventre des Veris de crier famine !
Après d'âpres négociations, il fut finalement décidé que Rathram se chargerait du problème avec l'aide de volontaire Veris et d'un soutien financier. C'est donc cent tirailleur du Nord et trois cent Régulier locaux qui doivent se rassembler dans la forêt avant de nettoyer la clairière.
Malheureusement pour eux l'administration elle-même avait été corrompue et leur ordres de bataille étaient tombé entre les mains des indésirables. Une embuscade fut montée et les troupes dispersées et en sous-nombres furent éliminé avec préjudice et brutalité. Quelques prisonniers furent faits, mais la majorité des vaincus connurent leur fin le visage dans l'humus.
Cette "victoire" résonna fort dans l'esprit des gouvernements et Vereist et Rathram firent appelle à l'UNE pour régler cette affaire définitivement en prenant sur eux la perte de légitimité qui s'en suivrait de peur que le problème ne grandisse exponentiellement.
Cette fois, deux régiments au complet furent envoyés en toute discrétion. La nouvelle attaque se faisant à peine quelques jours plus tard, l'Incontournable Fortune était encore en pleine célébration de leur victoire. Dans une ironie que les poètes ne peuvent encore aujourd'hui qu'admirer une bataille presque complètement similaire mais inversée se produit.
Les corps d'armée prenant les brigands hors la loi par surprise avec pour ordre de tirer à vue et les brigands trop occupés à sauver leur peau ou à décuver leur vin pour former une résistance suffisante. Si la précédente bataille était brutale celle-ci ne peut être décrite que comme sanglante. Les estimations disent que le bidon-ville s'étendant profondément dans les bois en partant de la clairière devait contenir jusqu'à un millier d'habitants qui n'était pas tous coupable. Malgré cela les soldats, profitant de l'encerclement, firent plusieurs centaines de morts, qui ont de nombreuse fois été qualifié d'inutile ou d'injustifié.
La répression fut tout aussi féroce pour ceux qui se rendirent. Exécution pour les plus criminelles, Travaux forcé, Exile, et relocalisation forcée pour les autres. La totalité du village clandestin fut rasée jusqu'aux fondations par le feu et l'acier des forces de l'UNE.
Une fois la place libérée, un monument aux quelque quatre cents morts au combat fut érigé. Quatre routes de pierre, une par point cardinal, partant toute de la source et qui s'arrête aux premiers arbres de la forêt, jointes au milieu par une promenade qui faisait le tour du rocher centrale. Ici, le bassin vaseux fut remplacé par une fontaine de pierre blanche et c'est sur les rebords que les noms des quatre cents victimes fut inscrit. Désormais, la Place de l'Incontournable est un lieu public.
Dans le but de fixer cet exemple dans le temps, il a été décrété qu'aucuns autres abris que les arbres n'est autorisés dans cette clairière et une légère force de la milice fut posté ici avec comme ordre de déraciner, arraché ou briser tout bâtiment en construction dans la zone.
Il n'y a pas que l'esprit des hommes qui fut marqué par les évènements qui eurent lieu. Nombreux sont les arbres autour qui sont marqué de balles ou de coups d'arme ayant manqué leur première cible. Qui plus est le chêne plus que centenaire au milieu de tout à pour la première fois été changé. Après la bataille, d'abord légèrement, mais grandissant chaque année, ses feuilles se vêtir des parure écarlate en automne. Aucun jaune ou orange ne venait éclaircir le tableau de feuilles de plus en plus sanglantes.
Maintenant du début de l'automne à la fin de l'hiver l'arbre et comme enflammé par le sang qui fut versé ici et qu'importe combien la neige tombe, elle n'est jamais assez pour taire l'incendie. C'est cette particularité qui plus qu'aucune autre réconcilia les artistes au lieu.
Une fois l'endroit libéré, ce sont surtout les marchands qui s'installèrent, profitant d'une escale bien méritée dans un endroit redevenu appréciable. Qui plus est, il était propice au négoce ! Qui n'aime pas être à l'aise pour discuter prix et itinéraire ? Plusieurs fois, une compagnie marchande voulu installer un comptoir, mais la milice et les gouvernements restèrent ferme. Pas un toit, pas un mur : pas un autre abri que celui des arbres.
Ce n'est que plus tard que petit à petit une foule plus hétéroclite fit son chemin vers la clairière, artistes en tout genre venu pour l'inspiration et ensuite les admirateurs desdits artistes. Après cela petits marchands et ainsi de suite. La seule chose qui empêcha l'endroit de devenir un village à nouveau était cette loi qui, si elle pouvait sembler absurde, ne manquait pas de rappeler l'histoire du lieu.
C'est avec la démocratisation du train et de ses chemins de fer que le nom changea une dernière fois. Les gens y passant moins souvent par commodité et plus pas plaisir le nom Incontournable semblait ne plus convenir. C'est ainsi que lentement, mais sûrement le nom de place des Fortunes pris sa place dans l'esprit des gens.
C'est aujourd'hui un endroit qui fourmille de marchands de babiole, d'artiste de rue remplie d'espoir et d'artiste de scène remplie de succès. La loi sur les abris, c'est un peu relâché avec le temps et on peut voir des tentes à gauche à droite poussé sur l'herbe ou les routes, mais elle ne sont jamais permanente et se garde bien de demeurer trop longtemps.
La rumeur ou la légende dit que cela commença avec la pluie. La milice désolée d'interdire tout abris aux pauvres hères aurait déclaré que les nuages étant un abri, il était un ennemi de la nation et que nul ne saurais refuser à l'armée des fortifications militaire. Ne soyez donc pas étonné sur les tentes sont appelée bunker et tranchée dans ce lieu un peu en dehors du temps.
Bon... C'est peut-être un peu dur à lire j'en sais rien... Mais voilà ! Un petit bout d'histoire avec un petit bout d'elderich parce que... Vais voir ce que je peux en faire, moi... |
| | | Invité
| Mer 1 Mai - 12:09 | | | Salut,
J'ai lu tes textes sur l'armée, y compris celui amendé par les "simples" soldats, et j'ai trouvé çà très bien, et très juste également. |
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