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Chroniques d'Irydaë
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 :: Les terres d'Irydaë :: My'trä :: Zolios
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 Le Tagta Croustillant: 2éme édition (20 mars)

Adol Loror
Adol Loror
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Le Tagta Croustillant: 2éme édition (20 mars) EmptySam 23 Mar - 11:00
Irys : 694871
Profession : Ex-Aventurier/Cuistot
Daënar 0
Dix mois, dix mois d'une routine parfaite que je répète sans relâche. Cela faisais presque un ans que je suis ici, à Eoril. D'un simple boulot pour ne pas être à la rue, me voici un membre parfaitement intégré, à la fois dans le restaurant mais aussi en ville. Le Daenar au cheveux rouge est passé d'une pièce rattaché à un habitant comme n'importe quel My'tran.Et cela, je peux le dire aisément, me fait extrême plaisir, d'une vie d'aventurier aux pensée brumeuses à celle d'un cuistot peut déplaire à certain mais je pense avoir trouvé une bonne place ici.

Comme à mon habitude, je lève un peu avant l'arriver du soleil. Je me fais ma toilette et m'habille avec hâte avant de descendre, pour récupérer mon chariot pour le marché. Cette noble charrette en bois vieillit est bien pratique pour les courses du matin, et surtout en cette période. Une fois de plus,  le vent souffle avec un violence sans non et le ciel semble bas. Tiama, pour pas s'envoler, s'accrocha  à mon épaule avec ces pattes. Je lui donne un morceau de jambon cru pour pas qu'il s'agite et je peux enfin partir pour le marché.

J'arrive juste à l'ouverture et je suis le premier à m’engouffré dans la place déjà animé par les marchands et vendeurs de la place. Malgré le temps et l'heure, il y avait des  dizaines d'acheteur, venant profiter du calme du matin pour faire affaire. En plus des provisions de base qu’avais besoin le restaurant, comme les fruit et légumes de saison ainsi que de la viande fraîche et fumé, je pris quelques pot de confiture ainsi que des graine stérile pour du pain un peu plus complet. Je reste jusqu'aux levé du jour, où le flux de passant devient plus imposant. Je décide alors de rentrer au resto en remarquant que Tiama est resté calme tous du long du trajet et des courses. Je lui donne une récompense en jambon pour le félicité et, si les tagtas peuvent sourire de fierté, alors c'est se qui ressemble le plus à cela.

A mon arrivé, je remarque que Juzo est attablé en train de manger son petit déjeuner pendant que Dono passe un coup de torchon sur les tables. Je les salues en rentrant, Dono me le rendit en me souriant pendant que Juzo hoche simplement la tête. Je dépose en réserve le fruit de mes achats pendant que Tiama, sachant l'interdit de rentrer, s'installe sur son perchoir en entrée de cuisine.Avoir un tagta en cuisine est pratique pour deux raisons, il empêche pour toute personne de rentrer en cuisine sans autorisation et peut servir de poubelle à reste.

La matinée jusqu'à vers les onze heures passe rapidement. Je m’attelle en cuisine pour faire toutes les premières préparations, les pains complets sont en train de cuire dans le four pendant que je fini quelques petites tartes à la confiture de pommes et de mûres. L'ambiance est calme, Dono fini de préparer les tables et de nettoyer son bar en vue des premiers clients, qui arrive dans quelques minutes.

-Je pense que cela est bon, m'écrit-il

-Cela devrait être un journée tranquille aujourd'hui

-Te fait d'illusion gamin, tu sais bien qu'ici, il y jamais de journée tranquille, me répondit-il avec un sourire

A ces mots, les premiers clients font leurs rentrer, il s’agit d'habituer du resto. Après qu'une petite dizaines de tête connue font leurs rentrer, sous l'accueil chaleureux et professionnelle de Dono, je remarque une tête que je n'avais jamais vu. Je fini de regarder la salle pour me lancer dans les plats des clients déjà arriver.

Nergüi Alhazred
Nergüi Alhazred
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Le Tagta Croustillant: 2éme édition (20 mars) EmptyDim 24 Mar - 0:56
Irys : 229958
Profession : Archiviste
My'trän +1
Voila des mois que Nerguï avait quitté sa contrée natale de Khurmag suite à son altercation avec l'anomalie. Longeant la côte vers la ville d'Eoril, il était fasciné par les paysages verdoyants et colorés de Zolios, en total contraste avec les collines enneigées qui abritaient son peuple. Il prenait son temps, notant chacune de ses observations sur son chemin dans ce qui devenait une véritable encyclopédie sur l'histoire naturelle de My'tra. Chaque pas vers Eoril était un pas vers Darga et le parachèvement de son plan. Hors de question de se presser, il tenait sur lui des objets de bien trop grande valeur. Sa maïtresse ne lui avait toujours pas donné signe de vie.

L'entrée matinale dans la ville fût pour l'érudit un choc. Cette ville à la fois carrée et bipolaire était en total contraste avec les rues tortueuses et l'allure martiale de Réoni. Il préférait rester dans le triangle inférieur loin du brouhaha constant des étables du triangle supérieur. Il errait sans but, les bras croisés derrière le dos, admirant l'architecture locale jusqu'à ce que son estomac le rappelle à l'ordre. Il leva les yeux au ciel, le soleil pointait.

Après l'effort, le réconfort, Il posait à terre sa coquille de pierre qui lui avait attiré les regards intrigués de la populace seulement pour y découvrir un garde manger vide. Il avait oublié qu'il avait gobbé sa dernière miche de pain la veille. Un léger soupir mais rien de grave, l'érudit avait les poches pleines et comptait bien se délectait de la cuisine locale, non par gourmandise mais par pur intérêt scientifique. Même l'art culinaire avait sa place dans ses notes et tout était pour lui prétexte à se remplir la pense dignement.

Il tourna le regard et remarqua vite une devanture. "Le Tagta croustillant". Ce nom amusant attira l'attention de l'érudit. La mélodie d'une dizaine de voix calmes émanant de ce restaurant laissait présager de lui une certaine qualité et tranquillité. D'une main, il reprit sa "carapace" qu'il tenait sur une épaule et entra dans l'établissement. Il s'assit dans un coin du restaurant, ne souhaitant pas interrompre les discussions de ce qui apparaissait être des habitués. Relachant une fois de plus son paquetage à terre, Il croise les bras et se met à imaginer quels mets exotiques et exquis ce bistrot pouvait bien abriter.

Oskar Medcalfer
Oskar Medcalfer
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Le Tagta Croustillant: 2éme édition (20 mars) EmptyDim 24 Mar - 1:30
Irys : 451616
Profession : Voleur
Guilde +2 (homme)
Oskar avait un sacré dilemme à surmonter là. Concrètement, il était en train de pêcher sur une jetée près du port. Il s’emmerdait tellement qu’il soutenait sa canne appuyée contre le sol de la main gauche, et il s’appuyait le menton sur la main droite. Le dilemme c’est qu’il commençait à avoir des crampes dans le bras gauche vu que ça faisait bien quinze minutes qu’il avait plus bougé, mais d’un autre côté qu’est-ce qu’il avait la flemme de bouger ! On pourrait croire qu’il se fossilisait tellement il était resté immobile depuis le début de sa partie de pêche. D’ailleurs, les mouettes s’y trompaient pas, ils prenaient tellement Pattes-de-Velours pour un vieux caillou en couleur qu’ils se posaient à côté, au calme, et commençaient à lui casser les oreilles en piaillant là. Mais l’Oskar, il bougeait pas, les yeux vers l’océan. C’était impressionnant. Il avait une telle flemmardise que, quand vers midi, son bide commença à râler pour avoir à bouffer, il se sentait même pas de se lever. Le poisson mordait pas, mais l’endroit était pas mal, alors pourquoi bouger ? Bon, le fait est qu’à un moment son estomac grogna tellement que les piafs autour s’envolèrent de surprise. L’était peut-être temps de trouver à grailler.

C’était assez compliqué de se lever après autant de temps sans bouger. Il avait mal partout, ce couillon, et il s’étira bien cinq minutes avant de se sentir le courage de repartir. En remontant sa canne, il s’était même rendu compte que l’appât s’était barré, ou avait même carrément été bouffé sans qu’il s’en rende compte. C’était la journée de la flemme, très clairement, donc pas question de faire quoique ce soit à bouffer lui-même. Il lui restait assez d’argent, donc autant se prendre une bonne assiette quelque part. Le port était rempli de ces gargotes à deux sous qui te servent des portions de malade pour que tu partes pas en mer le ventre vide. Vu sa vieille barbe de six jours, ses yeux cernés et sa canne à pêche, le voleur avait la bonne dégaine pour aller dans ce genre de bouis-bouis. La faim l’avait suffisamment motivé, aller ! Il rangea son bocal d’appâts encore grouillants dans le vieux casier en osier qu’il avait « récupéré » quelque part, attrapa sa canne et en avant Guingan !

Le débarcadère grouillait de ce qu’il avait pas réussi à chopper, du poisson. De plein de sortes, ils daubaient tous du fion, mais y’en avait des pas mal. Bon, Skar allait pas non plus se mettre à en piquer à ces pauvres gens. C’était un honnête voleur et un honnête pêcheur. Sa poisse avec une canne dans la main il comptait bien la maquiller à grand coup de baratin. Ce chat de gouttière pourrait balancer qu’un pêcheur malchanceux lui avait tout acheté directement sur le port, par exemple, ou qu’il avait pas commencé à tâter du hareng, mais qu’il comptait s’y risquer seulement après un bon repas ! Dans tous les cas, pas question qu’on se fiche de lui. Il était pas de la meilleure humeur quand il avait faim.

Au final, il mit pas longtemps à trouver son bonheur : le Tagta Croustillant ! Alors, il avait jamais osé bouffer de ces merdes à écailles, donc il se risquerait pas à affirmer que ça croustille pas, mais quand même. Ou alors faut une bonne grosse friture parce que ça a plus la tronche à te casser les dents qu’autre chose ces saloperies qui bouffent dans tes poubelles. On va espérer que c’est pas le plat du jour. Bref, armé de son attirail de pêche, Skar passa la porte de ce charmant restaurant. Ça avait l’air d’être l’heure habituelle pour s’y remplir la panse, mais il restait de la place et c’était le principal ! Pas le temps de poser ses fesses par contre, un beau gaillard s’approcha d’Oskar pour venir le mettre à table, sûrement. Sauf qu’il parlait pas l’autre serveur, il préférait écrire son « Bonjour, monsieur, vous venez manger ? » juste sous le pif du voleur qui regarda le tout, un peu circonspect, et suivi du regard le petit mot s’envoler en jolies étincelles.

- Euuh… C’était très mignon, mais pas très pratique si tu veux mon avis. Mais ouais, je viens me remplir l’estomac. Ça sent rudement bon en tout cas !

Oui bah c’était pas écrit sur son front qu’il était muet l’autre gars, là, on peut pas en vouloir à Pattes-de-Velours !

Invité
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Le Tagta Croustillant: 2éme édition (20 mars) EmptyDim 24 Mar - 14:56
( Oskar tu as volé mon tour de réponse e.e)

Je crois sincèrement m’être égaré dans mon périple. Depuis quelques semaines, selon mes notes et mon tagta, je n’ai pas croisé le moindre mage de Delkhii. Les odeurs de cette grande ville me sont étrangères et agréables. Je crois que j’ai raté un tournant et traversé la frontière vers Zolios accidentellement. Cela expliquerait la présence d’autant d’adeptes de Suns. Mon tagta est perché sur mon épaule, tel un seigneur observant son territoire.

J’approche un marchand afin de lui demander des indications et il me fixe avec un air amusé. C’est sans doute encore mon couvre-chef qui fait cet effet. Depuis mon accident, je porte une feuille de fougère séchée sur ma tête. Elle aide à garder ma frange plaquée contre ma joue balafrée. Celle-ci est un cadeau de Flintan, ma mogoi, qui a établi son territoire plus à l’est. Bien que mes semblables My’trans semblent trouver cela ridicule, je ne compte pas m’en départir de si tôt.

- Noble Marchand, pourriez-vous avoir la gentillesse de me dire le nom de cette ville sublime?

La politesse me semblait être la meilleure solution pour obtenir mes informations. Le marchand sourit en entendant le compliment sur ce que je devina être sa ville natale.

Vous êtes à Eoril la magnifique, mon bon monsieur! Je vous conseille fortement de goûter à notre cuisine locale, elle saura sans doute plaire au palais un peu rustre d’ un mage de Delkhii loin de chez lui. Nous avons aussi des . . .

Le marchand de produit dont il vantant la fraîcheur, était ravi de parler des attraits touristiques de la ville. Je pouvais bien l’écouter monologuer avec fierté. Il radota pendant ce qui me sembla être une éternité. Lorsque mon estomac manifesta une faim dévorante, je lui demandai poliment l’emplacement d’un lieu où m’alimenter puisque l’odeur de son poisson m’agressait sauvagement le nez. Même mon tagta eut une réaction semblable à la mienne puisqu il levait le nez.

- Merci des indications, monsieur. Auriez-vous par hasard une suggestion d’établissement à me faire?

Ma voix avait très peu de portée, contrairement à ce que mon imposant corps pouvait laisser sous-entendre. Parfois, je n’avait pas le choix de parler avec d’autres humains, mais chaque fois me rendait nerveux. C’était instinctif de ma part, comme si je sentais les moqueries arriver en raison de mon handicap. Bien que je sois convaincu qu’il existe des gens bien, mon premier instinct était de ne pas montrer mes problèmes de mémoire.

Allez au Tagta Croustillant plus bas. Vous ne pourrez pas le manquer! C’est un joyau de la ville!

Sur cette note de l’homme, je suivis sa direction en craignant que ce marchant fut leur fournisseur, mais j’avais trop fain pour entretenir de telles craintes. La façade du restaurant surgit dans mon champs de vision et un sourire surgit sur mes lèvres. J’ai un bon pressentiment concernant les lieux lorsque j’entre. Il y a tellement de clients que j’en deviens nerveux. Visiblement, il ne reste qu’une table de libre et je m’y installe.

Un serveur vient prendre commande en faisant apparaître des mots devant moi. Je suis plutôt surpris par les méthodes alors que l’on me tend un menu. Je remercie de la tête et commence à le feuilleter. Je garde Don Kichiott sur mon épaule.

Rae Nelissen
Rae Nelissen
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Le Tagta Croustillant: 2éme édition (20 mars) EmptyMar 26 Mar - 8:47
Irys : 120132
Profession : Forgeron
My'trän +2 ~ Zolios
Nous arrivons enfin près de la capitale de mon pays natal : Erosil. Ça fait longtemps que je n’ai pas mis les pieds ici! J’ai passé plusieurs longs mois à Esarim à la forge. Il y a eu un temps mort et j’en ai profité pour partir et aller à la recherche de matériaux pour faire tout et n’importe quoi. J’ai entendu parler d’un restaurant qui a ouvert depuis la dernière fois que je suis venu ici. J’ai pensé y faire un tour pour voir si le trajet en vaut la peine. Satouros semble pas mal presser à arriver sur place. Il mène la marche avec quelques mètres de distance pendant que Saranai prend son temps en volant un peu partout malgré les vents forts. Elle se pose sur le dos de Satouros ou bien sur ma tête de temps à autre pour se reposer avant de reprendre son envol. Je commence à avoir faim et j’ai hâte d’arriver sur place, en espérant que ce qu’on dit est vrai à propos de ce resto.



J’entre enfin dans la capitale. Ça fait si longtemps que je ne suis pas venu! Pourtant ça n’a pas vraiment changé. Je reconnais encore très bien la ville. Certains commerces ont changé de nom depuis la dernière fois. Saranai s’est poser sur mon épaule depuis notre entrée dans la ville et satouros mène encore la marche. Je markette à la boutique d’un marchand pour poser quelques questions.

-          Salut! Je me demandais où est ce nouveau restaurant. On mas dit qu’il a ouvert il y a près d’un an…


Le marchand m’explique les directions. Je le remercie et je regarde autour de moi pour essayer de retrouver satouros…
Je vois un boulle de fourrure bleu courir  vers un endroit. Sacré satouros… on vient de rentrer dans la ville qu’il cherche déjà les ennuis… je me mets à courir pour tenter de le rattraper…

-          Satouros! Attends-nous!

Il fait mine de ne pas nous entendre… il a surement senti une bonne odeur et à décider de la suivre… j’espère le retrouver avant qu’il fasse quelque chose que je vais regretter. Saranai, encore sur mon épaule, semble découragé du Bunnalix bleu.
Je vois la boule de fourrure entrer en vitesse a l’intérieur dune bâtisse que la porte est rester entre ouverte.  Je rentre pour attraper le bunnalix et je réalise qu’il ne faisait qu’attendre que je rentre. J’ai eu la chance qu’il a arrêté sa course dès qu’il est entrer.

-          Je me demande pourquoi tu as demandé les directions à quelqu’un pendant que tu sais que je pouvais trouver par moi-même.

Je regarde autour de moi, les tables sont pleines... je soupire… je men allais pour quitter le restaurant quand je vois que les deux familiers sont aller a une table ou il y avait un garçon un peu étrange assis seul. Je me dirige donc vers cette table.

-          J’ai l’impression que mes familiers vous aiment bien. Ça dérange si je prends place avec vous?

Mes familiers sont déjà entrants de jouer avec le tagta un peu grassouillet de l’homme.

-          Je pense que les familiers ont pris la décision à notre place.


Je ris un peu avant de tirer la chaise et m’assoir à la table. Un serveur vient me demander ce que je veux. Je lui demande la spécialité du resto ainsi que quelque chose pour les familiers affamés.

Adol Loror
Adol Loror
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Le Tagta Croustillant: 2éme édition (20 mars) EmptyLun 1 Avr - 8:25
Irys : 694871
Profession : Ex-Aventurier/Cuistot
Daënar 0
Le service d’aujourd’hui est plutôt simple, malgré le monde présent dans la salle. Les plats commandés demande peu de préparations, se qui me permet d'en préparer plusieurs en même temps et donc les faire sortir de cuisine avec une simplicité sans nom. Alors que plus rien n'arriver, je me lance rapidement dans a plonge pour vider un peu la cuisine. C'est à ce moment où les quatre inconnues entrèrent dans le resto. Je jette un coup d’œil rapide à chaque fois que la cloche à l'entrée sonne à l'arriver de chacun. Pour chacun, je vois aussi Dono proposer une table ainsi que la carte du restaurant.

Après quelques minutes, il arriva devant la cuisine, comme à l'habitude pour me donner les commandes :

-Pour l'instant, ils choisissent mais la table aux animaux, un demande la spécialité du resto et de quoi nourrir ces bestioles.

Je lui répond d'un simple hochement de tête et me lance dans la préparations. Pour les animaux, cela est simple, il me reste quelques épluchures de légumes ainsi que de la viande de bœuf que je coupe en dés et prépare dans une marmite sur le coté. Pour le plat du client, je descend en réserve sous le regard du Tiama qui semble perturbé depuis l'arriver de l'autre tagta, après tout, même s'il à l'intelligence du caillou gonflé à la magilithe, il reste un mal dominant. Je le calme rapidement avant de descendre et de prendre un filet de thon acheté ce matin, ainsi que quelques légumes et épices. Je remonte et lance ma préparations.

Je prépare une petite marinade simple composée de coriandre et persil haché, deux gousses d'ail, du paprika, du cumin, du jus de citron et un peu d'huile d'olive. Je coupe ensuite des tomates séchées, des pommes de terre et des carottes que je met à cuire dans de l'eau pendant une dizaine de minutes avant de retirer les légumes et de mettre un peu de marinade dessus. Pendant ce temps, je met à cuire une partie du filet que j'ai couper en steak dans une poêle avec un peu d'huile d'olive. Cinq minutes plus tard, je dresse le plat dans une assiette, d'abord les les carottes, puis le steak de thon mariné et pour finir les pommes de terre en rondelle sur le dessus. Je prépare aussi les gamelles pour les animaux. Voyant Dono s'occuper des deux clients seule, je me dirige, avec les assiettes vers les clients bien accompagnés.

-Bonjour et voici votre commande, steak de thon mariné aux légumes ainsi que les plats pour vos animaux. Bonne dégustation.

Je me tourne alors vers l'autres client à la feuille sur le visage et lui demande :

-Je peux prendre votre commande ?

Nergüi Alhazred
Nergüi Alhazred
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Le Tagta Croustillant: 2éme édition (20 mars) EmptyMer 3 Avr - 22:13
Irys : 229958
Profession : Archiviste
My'trän +1
Premier arrivé, dernier servi. A peine s'installe il dans le restaurant que s’enchaînent les entrées de personnages loufoques. D'abord un grand rustre dont la carrure n'a d'égal que le volume sonore. Il vient s'installer juste derrière lui, pas de chance, le calme ça ne sera pas pour aujourd'hui. Le serveur qui s'avère être muet ignore totalement l'érudit pour aller du côté de la grande gueule.

Pendant ce temps entre dans l'établissement une espèce de clochard aux vêtements encore plus vétustes que sa pauvre robe des archives. Il sentait sa puanteur d'ici. Ce nouveau venu portait ce qui semblait être ... une feuille sur la tête. Encore un qui n'était pas nette. L'érudit n'était pas d'une hygiène irréprochable après ce long périple et son paquetage pouvait soulever des questions mais il était présentable contrairement à ce manant. Il semblait avoir plus de savoir vivre que le premier mais avait du mal à trouver ses mots.

Quelques minutes à peine et voila que débarque maintenant le cirque, une jeune sans gène aux cheveux roses accompagnées de deux bêtes. L'érudit reconnaissait un Bunnalix et un Salsoghu, pas bien imposant mai remarquable pour sure. Si elle voulait attirer l’attention elle allait avoir de la concurrence avec les deux autres.

Les deux derniers allaient être pris en charge par un serveur plus jeune à la chevelure écarlate hors du commun tandis qu'enfin, l'érudit fût approché par le serveur muet qui dut lui tapoter l'épaule pour avoir son attention. Il faut dire que la vision de ces deux la avait de quoi distraire. Sur une espèce de tableau d'ardoise était demandé si il avais fait son choix.

Il ne pût s'empêcher de s'excuser pour cette maladresse et imita les nouveaux venus en demandant lui aussi la fameuse "spécialité" du coin puis demanda leur choix en terme de boissons. Une fois la question de la commande terminée, il se remît à observer les nouveaux venus en essayant de ne se faire remarquer. Agacé par le barbu assis derrière lui, sa nature discrète l’empêcha d’émettre à un quelconque reproche.

Oskar Medcalfer
Oskar Medcalfer
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Le Tagta Croustillant: 2éme édition (20 mars) EmptySam 6 Avr - 17:10
Irys : 451616
Profession : Voleur
Guilde +2 (homme)
Eh bah, on peut dire que le calme est vite parti ! A peine quelques secondes à discuter avec le serveur qui écrivait avec sa magie là, que v’là débarquée une de ces ménageries les enfants… D’abord y’avait ce type bizarre, et c’est Pattes-de-Velours qui vous le dit hein, avec sa grosse feuille sur la tête et son tagta, v’savez ces p’tits machins insupportables avec leur gueule horrible. Bref, bon déjà y’avait lui qui mettait un beau bazar, et juste derrière y’avait un autre type qui ramenait lui aussi toute sa smala. Pis ça daubait tout ça ! La vache ! Ah là, l’Oskar il a eu une petite grimace incontrôlée. Valait mieux se reconcentrer sur le repas qui l’attendait, mais manger un peu léger pour pas risquer de dégobiller. Le serveur muet, le voleur avait fini par le piger au bout d’un moment, lui pointait la carte de l’endroit près de la porte de la cuisine. C’était pas mal en vrai, bon même si y’avait surtout des plats du jour, mais normal quoi. C’était quoi le moins cher ? Le poisson du jour. Bon bah va pour le poisson du jour ! Et les boissons étaient à côté. Alors une bière c’était… 60 irys.

- …Combien ?! S’exclama notre honnête cambrioleur.

Ouah la vache ! Eh ! C’était pas donné ! Et c’était pas le plus cher en plus, regardez l’hydromel ! Bon bah, on part sur du pinard. En espérant qu’ils ont du blanc pour aller avec le poisson. Mais soixante balles la bière… C’était peut-être autre chose que la bibine coupée à l’eau qu’on avait l’habitude de voir ailleurs, mais quand même ! Mais bon, l’autre éteint de la gorge commençait peut-être à s’impatienter donc il était temps de faire son choix.

- Bon bah ça sera un poisson du jour et… un vin du jour. Du blanc si possible. Et vous avez du fromage pour après ?

Le fait est que non, ils avaient pas de fromage dans le coin, en tout cas pas dans ce resto. Eh bah mon cochon, entre ça et la binouze qui coûtait plus de la moitié du prix du plat, il viendrait pas manger ici tous les jours Pattes-de-Velours. Bah oui, il râle ! C’est un râleur ! Le mec mange de la boue toute l’année et il arrive dans un resto il se plaint ! Exactement ! Bah on est d’Aildor ou on l’est pas. Au pire il piquerait deux-trois babioles pour rentabiliser le repas. Il était pas bien aisé le bazar (et pourtant soixante irys la bière…) mais y’avait peut-être de quoi faire.

En attendant que ça arrive, il était bien décidé à se mettre à l’aise. S’étirant bruyamment comme le chat de gouttière qu’il était, il pencha sa chaise en arrière pour profiter du « calme » de l’endroit et oublier le boucan que faisait les deux hurluberlus et leur ménagerie derrière. Est-ce qu’il pousserait le vice jusqu’à enlever ses pompes ? Nan parce que vu l’odeur des animaux, ça passerait presque inaperçu. Presque. Ah, c’était tentant pour Oskar quand même… Mais il attendrait que son plat arrive ! Manquerait plus qu’on le jette dehors avant qu’il ne mange. Et au final, au bout de quelques minutes, la porte de la cuisine s’ouvrit et laissa passer ce qui devait être le chef, vu sa dégaine, avec un beau plat de poisson qui dégageait toutes les mauvaises odeurs d’un coup ! Ça devait être pour lui ce beau poisson ! Et malheureusement le rouquin passa complètement à côté de lui sans jeter un seul regard à cette âme affamée et donna tout à l’un des deux éleveurs près de l’entrée.

- Meh… Espérons que je sois le prochain.

Un peu dépité, Oskar releva de nouveau le nez vers le plafond et ferma les yeux en espérant peut-être s’endormir durant la poignée de minutes qui lui restaient à attendre sa pitance. Par tous les Architectes, quelle impatience.


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