Epreuve 4 : Master Poké - Duralàs

Face à Face

RAPPEL : Soyez imaginatifs, ne restez pas accroché sur des acquis que le sujet semble vous délivrer, vous n’êtes pas obligé d’être amical avec votre contrepartie, la réciproque est vraie, on ne peut que vous conseiller de ne pas prendre les épreuves trop littéralement, mais de tout de même respecter les consignes pour ne pas faire un hors-sujet

Description :

C’est la guerre. Des tensions ont évolué entre vos deux univers et finalement, à force d’étincelles, la flamme du conflit s’est allumée et désormais, votre monde se prépare à affronter celui de votre partenaire. Dans ce face à face, vous nous décrirez à tour de rôle le déroulement de cet affrontement, sans oublier d’immiscer votre personnage dans cette joute entre forums. Alors faites tonner vos canons, faites trembler le sol et sonner les cors, car vous avez une guerre à mener.

(je préviens au cas où, il y a quelques phrases « graphiques » et un dialogue « vulgaire », je ne crois pas que ce soit perturbant, mais je préfère ne pas me faire taper sur les doigts ~)

howdy :

Un plongeur professionnel réclame avoir croisé un homme-poisson lors d’une plongée à Hoenn. Des mains palmées, une queue-de-poisson pour remplacer les jambes, un visage qui reflète nos traits tout en laissant apparaître les traces de la mer. Cela fait la une des journaux. Dans une autre région, un petit village subit la colère d’un être inconnu, apportant avec lui le sang de plusieurs habitants, mais aussi des pokémons. Une morsure précise à la jugulaire des victimes, fait naître la crainte qu’un mystérieux tueur en série est en liberté. Aux quatre coins de la planète, des goupix vivent la cruauté d’un groupe de braconniers qualifié dans l’art de la barbarie. Les pauvres renards sont retrouvés sans vie, ensanglanté, parfois sans peau et principalement : sans leurs neuf queues. Ce n’est que le commencement d’une longue descente vers l’inconnu.

C’est sous le sourire de lune que Molly rencontre ce qu’ils appellent « la faille d’Arceus ». Elle campait dans une forêt, le feu s’assoupissait et Mister B ronflait à ses pieds. Le ciel étoilé la guida à clore ses paupières et respirer l’air de la nature. Elle s'endormit rapidement. Des petits pincements motivaient son imagination, ils semblaient si réels. Ils étaient réels. Dans un sursaut, la rose se réveilla en se sentant étrangement coincé. Elle entendait des ricanements. Elle tenta de se lever, puis elle réalisa que les mèches de sa chevelure nouaient son corps à la chaise. Les rires s’intensifièrent, provoquant la colère de Molly. Elle se libéra en se tortillant et en forçant ses muscles. Des êtres minuscules reculèrent face au regard sombre qu’offrait la rose. Les créatures s’enfuirent dans tous les sens, et si Molly tenta de les chercher, elle ne les trouva pas.

Ce type de rencontres n’est plus nouveau. Au départ, elles étaient subtiles, mais au fil des semaines elles se sont aggravées, jusqu’à en devenir une part du quotidien. Néanmoins, elles conservent un grave risque de danger. Le ratio de morts surpasse celui des nouveau-nés, cette statistique inquiète rapidement les autorités. Le peuple entier se voit plié à un couvre-feu sévère et l’interdiction de se déplacer sans raison. L’armée entame des missions pour pénétrer cette autre dimension et tenter d’éliminer la source du problème. Pour plusieurs, cette situation représente le début de l’apocalypse. Les fanatiques pointes du doigt les erreurs du passé, l’atrocité qu’est l’Homme, selon eux c’est le signe que le dieu des pokémons, Arceus le créateur de l’univers, les a abandonné : « La faille d’Arceus ».

Ce n’était qu’une question de temps avant la grande décision, celle que tout le monde redoutait. Une semaine suffit pour que l’armée annonce qu’ils ne vont pas tuer ce parasite, mais plutôt le conquérir. D’une façon idyllique, cet autre monde est présenté comme la terre du lendemain, un endroit où les ressources débordent et où les pokémons pourront profiter de nouveaux territoires, et donc, des mutations. En marchant sur le territoire de l’ennemi, le monde d’Arceus se présente comme une menace, cela déclare la guerre. La grande décision est l’obligation aux humains et pokémons de participer à ce combat. Les règles sont minimes. Tous ceux qui possèdent un badge ou l’équivalent d’un badge sont obligés de s’enrôler, ceux qui n’ont pas de badge sont envoyés dans les bâtiments de services nécessaires. Ceux qui tentent de fuir ont reçu cette promesse « si ce n’est pas nous qui vous trouve, ce sera eux ». C’est donc ainsi que Molly est invitée à donner sa vie pour un nouveau territoire.

La force de l’ennemi est incroyable, Molly ne comprend pas. Les contes de fées, les légendes, les mythes, ils sont l’autre monde. Elle se bat contre ses rêves de gamines, et elle découvre qu’ils sont absolument horribles et terrifiants. Ce n’est pas un banal face à face, c’est un combat à mort. La bataille n’atteint pas sa fin, des créatures et des pokémons ne cessent pas d’apparaître, et ce d’une manière étrange. Molly a l’impression de regarder dans un kaléidoscope : il y a des fragments de sa région, des maisons modernes, et il y a aussi des habitations anciennes, accompagné de végétations plus dense et pure. À ses yeux, les deux univers fusionnent.

Après la première journée, la guerre a dérapé. Après une semaine, le sol est couvert de corps sans vie, les attaques ont causé d’énormes dégâts. De façon plus discrète, plus stratégique, la guerre continue. Molly poursuit son chemin en mode solo avec Mister B. Sans remord, la dresseuse a dévalisé des cadavres pour récolter un semblant d’armure, une épée et ce qui semble comestible. À l’aide de son arme, la rose s’est taillé les cheveux jusqu’aux épaules, sa tignasse était devenue une faiblesse par sa longueur facile à empoigner. Son corps regorge de coupures, d’ecchymoses, une brûlure, disons que son passage dans la forêt n’a pas été délicat. Voir un arbre bouger et remuer ses racines, ça cause un choc.

Molly entre sur une zone inconnue, elle ignore quel camp domine. Avec Mister B, elle se glisse derrière des obstacles dans le but d’avancer en toute discrétion. Elle est dévouée à atteindre une base militaire ou un commissariat de police pour s’informer de la situation, recevoir des soins, puis… elle se croise les doigts pour obtenir l’accès à une radio dans le but de communiquer avec deux agents qui lui sont très chers à ses yeux. Molly sait qu’elle va mourir cette fois-ci, elle aimerait dire quelques mots à ces deux personnes avant de partir. La jeune femme ignore si elle approche de son but, son parcours est interrompu par une flèche qui frôle sa cuisse. Surprise, elle lâche un petit cri. Ses prunelles scrutent l’horizon pour détecter le tireur, mais elle découvre bien vite que la flèche ne lui était pas dédiée. Molly reste dans l’ombre et examine la blessure. Rien de grave, c’est une douleur désagréable.

Un râle lointain se fait entendre. Mister B fige et décide soudainement de partir vers l’avant à une vitesse folle. Molly évite de crier à nouveau, elle opte pour une course saccadée. Sa cuisse brûle et sa tentative de zigzag pour éviter les potentielles attaques, n’aide pas. Elle ne comprend pas la réaction de son compagnon, il n’a jamais, JAMAIS, réagi ainsi. Si l’herbizarre est mort à l’autre bout de cette course, elle ne pourra pas se le pardonner.

Finalement, son pokémon la mène devant une étrange scène. Devant un mystérieux inconnu, des dresseurs sont en position offensive, mais un détail cloche, leurs pokémons ne respectent pas l’ambiance de guerre. Molly repère rapidement Mister B qui se tient devant l’homme pour le… protéger. La jeune femme est en sueur, ses cheveux sont collés à son visage et sa jambe est insupportable, elle n’a pas le temps de réfléchir, elle fait confiance à B. Sans prévenir, elle se glisse devant l’homme, dos à lui et étire ses bras pour imiter son compagnon.

« Vous allez à l’encontre du protocole, rien ne nous empêche de vous éliminer ! Dégagez ! »

« Elle est hypnotisée par le parasite... »

« Hein!? Ferme ta pauvre gueule, jamais en cent ans tu vas voir ma tête hypnotisée! Et qui tu traites de parasite? Lui!? T’es paumé, dégage d’ici, va te faire bouffer par un ogre. Vous êtes pathétiques, incapable de vous faire écouter par vos pokémons. C’est à se demander comment vous êtes encore debout. Je vous souhaite une mort lente et savoureuse. »

Ce n’est pas totalement ce qu’elle souhaitait dire, mais une semaine sans ouvrir la bouche, et bien… son cerveau en a profité pour positionner quelques banales insultes, et bon sang, elle se sent libre. Elle ne comprend toujours rien à ce qui se déroule, mais Mister B ne change pas sa position et il est très souriant, il est heureux de voir que sa dresseuse lui fait confiance. Celle-ci jette un regard derrière son épaule.

« Hey, je te déteste, mais s’il te défend, c’est qu’il a une bonne raison. »

Elle le déteste pour son monde. Elle le déteste pour avoir attiré l’attention de B. Elle le déteste parce qu’il assiste à un moment crucial.

Molly descend lentement jusqu’au sol pour s’asseoir sur son derrière, elle observe deux dresseurs qui s’éloignent sans leur pokémon. Ce n’est pas normal. Cet homme dégage une aura qui attire les monstres? Ou peut-être joue-t-il un jeu et qu’elle est tombée dans le piège. Peu importe, elle ne peut pas reculer. La rose se sent terriblement lourde, elle relâche la pression de la guerre, elle tremble. Sa langue est engourdie, sa jambe semble inexistante, tout comme une partie de son bassin et de sa seconde cuisse. Mister B est concentré à regarder vers l’avant, mais il prend quelques secondes pour lâcher un « Zare zare ! ». Elle espère qu’il fait le bon choix. Molly lui fait un énorme sourire, mais le moment est déjà passé, tout est incohérent. La rose se tourne vers l’homme et étire à nouveau ses lèvres pour former un honnête sourire.

(1495 mots sur word)

Forum d'origine : Duralàs

Contexte du Forum :

dans les grandes lignes:

Le personnage : Arkos.

physique et mental:

Epreuve 4 : Master Poké - Duralàs

Pokéralàs !

Cela fait quelque temps maintenant que cette fissure, ce Vortex, était ouvert proche de l'institut de magie dans la forêt de Sylfaën. Cela avait entraîné plus d'une péripétie, voir même plus d'un incident mortel. Des créatures étranges que nous n'avions jamais vu à Duralàs commençaient à affluer dans cette forêt si bien que le Vieux-Chêne, Ent millénaire à la sagesse inconstatable, commençait à s'inquiéter. Personne, pas mêmes nos immigrés légendaires, les Djöllfulins, ne connaissaient ces créatures ce qui indiquait qu'elles venaient d'ailleurs que de nos deux mondes. Ceci serait donc un portail vers un troisième monde, un monde inconnu déversant sa faune dans notre univers. Faune non adaptée comme les résultats lacérés, déchiqueté et dévorés en témoignaient. D'un coté, la Forêt de Sylfaën s'en retrouvait meurtrie et c'est en temps qu'ami de la forêt que je devais m'en inquiéter. D'autre part, la tour des mages avait en prime objectif de refermer cette brèche, mais le Roi voulait d'abord explorer, voir s'il est possible conquérir cette terre, voyant une possibilité d'extension pour Duralas, ainsi que de nombreuses créatures à découvrir et de ressources à exploiter. La colonisation de ce nouveau monde hostile serait donc un plus vers le confort de nos concitoyens. Ce fut donc en temps que Gardien que j'allais devoir aller sur place.

Baguera m'accompagnait, cela va de soit mais le Vieux-Chêne m'avait également confié l'aide d'un de ses fils, plus vigoureux et apte à Guerroyer. Le Jeune-Chêne allait être de la partie et c'est avec lui que nous étions partis visiter ce nouveau monde. Le moins qu'on puisse dire, c'est que ce monde était hostile. Bien plus hostile que ce que nous avions prévu et durant les jours qui suivirent, bien plus d'une escouade de soldats avait franchit le portail pour nous prêter main forte. Cela faisait maintenant une semaine que nous devions faire face à ce nouveau monde et à ses bizarreries, mais également à d'autres envahisseurs aux apparences et aux méthodes de combat étranges. Ceux-ci ne se battaient pas avec des armes, mais bien avec des boules contenants des créatures qui se battaient à leur place. Certains d'entre eux avaient même tenter de lancer, sans résultat, ses boules étranges sur le Jeune-Chêne et sur Baguera pour tenter de les capturer et se les approprier, se prenant un coup de branche ou une flèche dans le gosier pour toute réponse. Non parce que je veux bien être gentil, mais si quelqu'un essaie de me piquer mon chat na moi adoré pour en faire une arme de guerre vivant dans une boule et contraint de se battre pour eux, je le dézingue, propre et net. Cela dit, je ne peux pas dézinguer grand chose, ces temps-ci. La guerre fait front et j'essaie de passer par les forêts pour rentrer chez moi et faire mon compte-rendu. Ma mission n'était aucunement de faire la guerre contre des ennemis et un monde inconnu.

Éloigné du reste des troupes depuis plusieurs jours et le Jeune-Chêne ayant décidé d'attendre en embuscade de l'autre côté de la forêt, je me retrouvais seul à essayer d'échapper à pas moins de cinq de ces étranges individus armée de ces boules rouge et blanches. Une situation inconfortable qu'il en est, mais au moins, je n'ai pas la moitié de leur armée sur le rable. Cette petite escouade m'avait repéré et prit en chasse alors que je cherchais de quoi me nourrir proche du ruisseau de ce drôle de monde. Même leur poisson est chelou par ici, ils n'ont même pas d'écailles en plus. Cela dit les ... Ce doit être des éclaireurs, avec leur morceau de métal bizarres crachant du métal avec un son particulièrement tonitruant. On dirait nos pistolets technophiles, en plus puissant et plus compacts. Cela dit, comme nos armes, leurs efficacités dépend de la dextérité de leur manieur et je suis assez chanceux, c'est limite s'il ne tient pas son arme à l'envers.

Après le premier coup de feu, Baguera avait disparu dans les fourres de cette forêt étrange dans laquelle nous sommes piégés. Les traqueurs me pourchassent moi et laissent ma panthère qui les attendra en embuscade dans la prochaine clairière. Ce fut rapidement que je pus voir celle-ci et c'est avec un genou au sol et l'arc tendu que j'attendais mes agresseurs. Une flèche sur la corde et la seconde coincée dans deux autres doigts de ma main droite, je serais prêt à décocher la seconde flèche pour tuer s'ils ne se défilent pas. Ce fut lorsque ce petit groupe de quatre idiots armé de leurs boules rouges et blanches arriva dans la clairière que je décochais la première flèche. Frôlant la joue de celui du centre qui en émit un râle sonore pour une si petite blessure. Je laissais la flèche voler dans le décor tandis que je leur lançais d'un ton menaçant.

Arkos : Barrez-vous ou vous y passez tout les quatre.

Les quatre idiots lèvent les mains vers le haut et laissent tomber leurs drôles de boules. De celles-cis sortent en un éclair de curieuses créatures, ressemblant à des renards de feux, végétal et d'éclairs. Des voltalis, Pyrolys et Phyllalis apparemment ainsi qu'un renard curieusement toute en nuances de violets et avec une queue se divisant en deux dans son extrémités. Cet animal avait des yeux entièrement bleu et une espèce de troisième œil au milieu de son front. Son propriétaire l'appelait "Mentali". Le quatuor de renards venait à moi, suivant le Mentali qui semblait les diriger et qui me sentit la main sans aucune agressivité.

Baguera est derrière ce quatuor de comiques, caché dans les fourrés et prêt à en prendre un d'assaut par derrière. Une flèche devrait pouvoir en dézinguer un et mon épée finira le travail contre les deux idiots restants. Leur style de combat est comme les arlequins de mon monde sauf qu'ils invoquent des animaux bien vivants et avec un libre-arbitre au lieu de poupées articulées et sans âmes. Ils espèrent que leurs soldats improvisés m'attaquent alors que je sympathise avec eux, tendant la main et leur laissant manger les friandises que j'avais en stock dans la poche pour Baguera. Bah ouais, les mecs, les animaux savent qui est bon et qui est mauvais et n'attaquent pas n'importe qui pour n'importe quoi. Une p'tite introspection devant un miroir vous ferais pas de mal, je pense.

Bref, c'est pendant que je sympathise avec le quatuor de renards étranges assis devant moi sans aucune once d'hostilités dans le regard et pendant que les quatre dresseurs s'égosillent pour rien à leur demander de me bouffer la couenne de diverses façon qu'un bubizarre arrive et s'interpose, Drôle de bestiole, mi-reptile mi-plante, faudra que j'en parle à ma Dryade, tiens. Une espèce de truc rose, pardon une jeune fille à peine sortie de l'adolescence et au teint rose, mais aussi aux cheveux roses ainsi qu'à la chevelure rose, s'interose... Pardon, s'interpose. Bref me voici défendu par un reptileplante et une adolescente au rose rosé de rose tellement rose qu'on va en faire une crise de rositude. Comment elle passe inaperçue dans un champ de bataille, elle ? Mademoiselle Rose ne se contente pas de s'interposer, elle me glisse également un petit ! « Hey, je te déteste, mais s’il te défend, c’est qu’il a une bonne raison. » Après avoir copieusement insulté ses alliés. Charmant, il n'y a pas à dire.

Je tends le pouce vers le haut, en guise de réponse et à défaut de tendre le majeur et je m'assois. Rangeant mon arc et discutant tout en papouillant les "pokemons" devant moi, qui n'ont rien de sauvage, jusqu'à ce que les chasseurs ne se lassent et partent, ridiculisés de voir leurs "armes" se rebeller. Bah ouais les mecs, c'est des animaux, pas des jouets. Je reste donc un moment avec les animaux tandis que la jeune femme rose sur ton rose me sourit, sourire que je lui rends. Un moment passe puis je finis par lui lâcher simplement, tandis que baguera sort des fourres pour venir me rejoindre après avoir compris que le dernier humain présent n'était pas une menace ressemblant à un bonbon. C'est que mon maou na moi aussi, il en veut des papouilles et des câlins, après tout.

Arkos : Tu as bien agi, Tu ne t'en es peut-être pas rendu compte mais tu as sauvé la vie de tes amis. Les animaux ne sont ni des armes, ni des tueurs sanguinaires qui obéissent aveuglement à la violence. Vous devriez chercher un autre moyen de combattre.

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