Petit SOS et sa flopée de questions

Bonjour à tous et à toutes,

Cela fait quelques jours maintenant, que je passe, repasse, re-repasse sur votre forum. Que je tente de bien comprendre le contexte en lisant à de nombreuses reprises les différents sujets. Je pense que cela à plutôt payé d'ailleurs, plus que je me repère plus ou moins sur la carte (magnifique d'ailleurs la carte interactive, j'adore!) -enfin presque payé, plus qu'il me reste pas mal de point sombre- (ou alors, j'ai pas trouvé les sujets héhé, ça aussi c'est fort probable )

Là où je suis un peu perdue, c'est dans le fait de visualiser le quotidien de mon personnage, d'imaginer, de visualiser son enfance, adolescence, bref finalement sa vie quotidienne.

Je pensais, partir du côte des My'trä (d'abord parce que j'ai vu que les mages étaient recherchés, ensuite parce que c'est ce qui finalement m'attire le plus.) j'hésite encore, soit plus du côté du soin, donc côté Suhury, soit au contraire plutôt côté de l'illusion avec donc la ville de Khurmag, jusque là ça va. C'est là que ça commence à se compliquer dans mon esprit.

Comment l'affiliation vers un type de magie se déclare-t-elle ? Comment savoir pour une famille que l'enfant tendra plus vers ce type de magie qu'une autre ? Est-ce que c'est un "don" ou plutôt comme je pense l'avoir compris, un choix une fois le nourrisson devenu enfant, puis jeune adulte ? (J'avais cru lire, je ne sais plus trop où, que le nourrisson/enfant était plutôt neutre au départ vis à vis de la magie, vu qu'il n'était pas encore en capacité de penser/comprendre.) Je suppose que c'est un choix qui va se faire en fonction de son architecte de préférence et que donc l'apprentissage de la magie proprement parlé vient donc avec l'âge ? Est-ce que si l'enfant penche vers un autre architecte, donc une autre forme de magie de la ville où il réside, il peut néanmoins y rester et y pratiquer son don ( Je crois que oui, mais je préfère avoir confirmation )

Dans ce cas qu'apprend avec l'aide d'un précepteur unique (ou privée en fonction des revenus si j'ai tout suivi) l'enfant ? Est-ce que l'éducation passe forcement par un précepteur ou au contraire peut-il se faire via les parents, simplement ? A quel moment l'apprentissage de la magie, ou plutôt la "gérance de l'énergie" débute-t-elle vraiment et avec qui ?

Ça c'était plutôt au niveau de l'enfance, pour me permettre de ficeler une histoire plutôt cohérente... Ensuite, mes dernières questions (mille pardons pour ce pavé... ) c'est plus au niveau du quotidien. Je sais que les Daënastre doivent travailler, est-ce que le cas aussi pour les My'trä ? Est-ce dans ce cas des métiers plus basique (sans technologie évidemment) ?

Sinon au niveau du quotidien, hormis la perte de souvenir lors de la mort d'un individu, les liens "sentimentaux" restent ou peuvent être identique que dans notre monde (Je pense au lien unissant un frère et une sœur, ou un couple, ou les liens d'une famille qui sont généralement plus fort qu'un lien avec un inconnu.)

Merci beaucoup pour vos futures réponses... Je vais retourner à ma lecture en espérant saisir davantage tout ça

Encore merci par avance..

Hello ! Tu me vois ravi d'apprendre que notre univers t'intéresse, et encore plus que tu ais eu la patience de nous poster toute ces questions plutôt que de passer ton chemin o/ (et merci pour ces nombreux compliments, ça fait toujours plaisir =D)

L'invitée perdue a écrit:

Comment l'affiliation vers un type de magie se déclare-t-elle ? Comment savoir pour une famille que l'enfant tendra plus vers ce type de magie qu'une autre ? Est-ce que c'est un "don" ou plutôt comme je pense l'avoir compris, un choix une fois le nourrisson devenu enfant, puis jeune adulte ?

La magie étant à la base de toutes choses, les nourrissons peuvent naître avec certaines capacités, qui sont directement liées à celles du père OU de la mère (et non des deux). Du coup oui, nous pourrions apparenter ça à une forme de don naturel, qui se déclare généralement de manière complétement hasardeuse et involontaire. Une petite tornade qui sort du nez quand l'enfant éternue par exemple s'il a des affinités avec Amisgal, ou des rêves où le gamin dit qu'il était une fourmi s'il a des affinités avec Orshin, etc.
En revanche, cette maîtrise de la magie restera très sommaire et maladroite jusqu'à ce que l'individu soit psychologiquement apte à adhérer à telle ou telle idéologie (donc vers l'âge de 7~8 ans). C'est pourquoi les parents commencent à inculquer des valeurs à l'enfant directement en lien avec l'élément avec lequel il a de l'affinité (si les parents sont plutôt ouvert d'esprit) soit avec l'Architecte dont ils veulent que l'enfant rejoigne les préceptes (un peu comme les parents qui disent à leurs enfants "ta mère est avocate, donc deviens-en un(e) toi aussi !).
Si c'est cette dernière option qui est choisie, la magie originelle de l'enfant s'atténuera jusqu'à disparaître complétement.

L'invitée perdue a écrit:

Je suppose que c'est un choix qui va se faire en fonction de son architecte de préférence et que donc l'apprentissage de la magie proprement parlé vient donc avec l'âge ? Est-ce que si l'enfant penche vers un autre architecte, donc une autre forme de magie de la ville où il réside, il peut néanmoins y rester et y pratiquer son don.

Cela dépend de plusieurs paramètres. De manière générale si l'enfant grandit dans l'une des principales villes de My'trä (c.f. les villes présentent sur la carte), il pourra développer la forme de magie qu'il souhaite sans risquer de se faire bannir (même si dans certains cas cela reste très mal vu, comme par exemple un fils de Delkhii qui développe son pouvoir dans une ville de Zagash).

L'invitée perdue a écrit:

Dans ce cas qu'apprend avec l'aide d'un précepteur unique (ou privée en fonction des revenus si j'ai tout suivi) l'enfant ? Est-ce que l'éducation passe forcement par un précepteur ou au contraire peut-il se faire via les parents, simplement ? A quel moment l'apprentissage de la magie, ou plutôt la "gérance de l'énergie" débute-t-elle vraiment et avec qui ?

Lors de l'enfance, les apprentissages vont surtout avoir pour but d'éviter que le petit mage se mette en danger et mette en danger les autres. On va donc lui inculquer des valeurs universelles telle que la retenue, la patience, et la bienveillance, en plus des enseignements de bases comme on peut l'apprendre dans nos écoles irl (l'écriture, l'histoire, la géographie, les mathématiques, etc.) et bien entendu, la présentation théorique de tout les Architectes et des idéologies qu'ils véhiculent.
Mais ce n'est donc au'à l'adolescence (11-12 ans) que la gestion "technique" de la magie va débuter. Mais c'est en réalité plus compliqué que cela puisque cela va dépendre de l'orientation souhaité par l'enfant et/ou les parents. S'il l'objectif est d'en faire un fermier, un forgeron ou autres métiers "manuels", il ne suivra pas d'apprentissage bien défini. Il évoluera généralement en autodidacte ou par les conseils des parents sur les utilisations pratique de sa magie. Si en revanche l'individu a pour vocation de devenir un chasseur/soldat, on lui enseignera surtout à employer sa magie pour assurer d'abord sa propre survie, et plus tard à savoir l'utiliser à des fins offensives. L'enseignement se fait généralement dans des établissements spécialisés, qui mélangent autant la théorie que la pratique.

L'invitée perdue a écrit:

Je sais que les Daënastre doivent travailler, est-ce que le cas aussi pour les My'trä ? Est-ce dans ce cas des métiers plus basique (sans technologie évidemment) ?

C'est également le cas des my'träns, même si les intérêts sont souvent plus personnel, et non dans l'objectif de fournir des services à l'ensemble de la communauté. La chasse, le travail du cuir, la forge, la boulangerie, la boucherie, l'enseignement, l'armée, la restauration, la viticulture, l'agriculture de manière générale, la maçonnerie, la verrerie, la pêche, etc. sont tout autant de métiers que l'on peut régulièrement trouver sur ce continent, mais j'irai même plus loin en te disant que cette liste n'a pour seule limite que ton imagination. Nous avons par exemple un joueur qui possède un novice de Khugatsaa, qui a décidé d'inclure au folklore la mnémothèque, à savoir la reconstitution des souvenirs des gens par l'utilisation de la magie de l'illusion.

L'invitée perdue a écrit:

Sinon au niveau du quotidien, hormis la perte de souvenir lors de la mort d'un individu, les liens "sentimentaux" restent ou peuvent être identique que dans notre monde.

Les liens sentimentaux sont parfaitement identique à ceux que l'on connait IRL. L'amour passionnel ou la haine absolue sont des concepts tout à fait possible, mais sont tous voués à disparaître petit à petit lors du décès de la personne (Sauf pour les adeptes de Khugatsaa).


Voili voilou ! J'ai essayé de répondre à tes questions de la manière la plus claire qui soit, mais si malgré cela des interrogations subsistent, n'hésite surtout pas à nous bombarder d'autres questions, nous nous ferons une joie d'y répondre =D
A très vite j'espère !

Merci beaucoup pour la rapidité des réponses. Ça m'aide beaucoup et même si certaine devaient paraître un peu bête, ça m'a permis de confirmer ou infirmer mes suppositions et m'imaginer un peu plus le quotidien de mon personnage.

J'ai une toute dernière question, je sais que je vais jouer une/un mage, spécialisé en quoi exactement, j'hésite encore. Est-ce qu'il y a des "catégories" plus recherchées que d'autres ? Un manque quelques parts ?

Une toute dernière question, puis je me remet à la lecture et au début de ma fiche (qui verra certainement le jour dans les jours à venir me connaissant ), je n'ai pas bien compris ce qu'était un Pérégrins. Dans ma lecture, je pencherai pour un individu étant soit My'träns, soit Daënars, qui aurait choisi de ne pas prendre parti dans un quelconque conflit et qui préfèrent donc explorer le monde est-ce exact ?

En ce cas, est-ce qu'un mage ayant toujours sa croyance vis à vis de son/ses architectes, peut conserver la gérance de l'énergie, donc de sa magie tout en étant une Pérégrin ?

Encore merci beaucoup à vous et à très bientôt du coup je pense. Vraiment merci !

Me revoilà !

L'invitée moins perdue a écrit:

Est-ce qu'il y a des "catégories" plus recherchées que d'autres ? Un manque quelques parts ?

Difficile de dire puisque tout le monde n'est pas forcément très actif, mais si nous devions émettre un classement des Architectes les moins populaires aujourd'hui, je te dirai dans l'ordre Dalai (magie de l'eau), Amisgal (magie de l'air) et peut-être un peu de Delkhii (magie de la terre).

L'invitée moins perdue a écrit:

Je n'ai pas bien compris ce qu'était un Pérégrins. Dans ma lecture, je pencherai pour un individu étant soit My'träns, soit Daënars, qui aurait choisi de ne pas prendre parti dans un quelconque conflit et qui préfèrent donc explorer le monde est-ce exact ?

C'est un peu plus complexe que ça. Les Pérégrins représentent la neutralité et l'indépendance. Ils ne sont pas attachés au gouvernement de l'UNE ou de My'trä, mais sont libre d'aller où ils veulent. Ils représentent une bonne majorité du "petit peuple", mais comprend également les explorateurs, les guildes, les mercenaires, etc. En terme de gameplay, ils ont la possibilité d'augmenter leur réputation auprès des deux nations en même temps afin de profiter de chacune de leurs améliorations. L'idéal pour jouer un personnage hybride, même s'il est important de savoir que de manière générale les améliorations leur coûtent plus chères, sont moins puissante et la réputation est plus longue à obtenir.

L'invitée moins perdue a écrit:

En ce cas, est-ce qu'un mage ayant toujours sa croyance vis à vis de son/ses architectes, peut conserver la gérance de l'énergie, donc de sa magie tout en étant une Pérégrin ?

Malheureusement non. Un personnage qui continue de croire en un Architecte et qui par conséquent a conservé l'intégralité de sa puissance magique sera forcément considéré comme un my'trän, donc comme un personnage ayant prit le parti de défendre son peuple et ses dieux. S'il devient Pérégrin, c'est que psychologiquement il n’œuvre plus pour son Architecte, qui par conséquent ne lui accorde plus ses pouvoirs. Un pérégrin défend tout le monde et personne à la fois, en fonction des intérêts qu'il y trouve, des valeurs qu'il défend, etc.