au gré des vents..et des rencontres [PV Adol Loror][RP (en partie) court]

A peine j'eus le temps d'entrer dans la rue et de chercher l'auberge qu'une mains sorti e de nul part m'attrape et me tire dans la dite auberge. Apparemment, Anaveranne à pris l'habitude de faire cela et s'amuser à le faire. Elle me fit entrer dans la petite auberge où elle m'indique l'emplacement de la chambre. Je m'y rend pendant qu'elle parle à l'aubergiste qui est étais un homme fort souriant.

La chambre étais simple mais pratique ainsi que confortable. Les murs étais d'une couleurs blanc crème qui ne tape pas à l’œil. Les meubles,qui se résumé à deux lits, une table de nuit, un table avec deux chaises ainsi qu'une commode. Les murs était couvert de peinture de différent lieux comme la mer ou des montagnes enneiger d'une extrême précision. Je profita d'être dans la chambre pour déballer mon sac. Je pris quelque instant pour inspecter ma nouvelle pièce d'armure. Malgré le coup de hache, aucune entaille ,n'était apparu. Le matériau m'intrigue aussi, à la fois léger et résistant. Cela sera vraiment utilise en cas combat.

Voyant que Anaveranne n'est pas encore revenu , sûrement pour s'occuper de Ydrochoos, j'en profita pour prendre une douche bien chaude pendant que Tiama dort sur mon lit.

Je me décide enfin à sortir quand j'entendis des bruits dans la chambre. Je sortie du bain non sans regret, m’habillant simplement d'une chemise et d'un pantalon. Quand je sortis, je vis Anaveranne en train de fais des exercices musculaires. Après lui avoir promis que je luis laisser de l'eau chaude, elle me propose d'aller manger en bas, ce que j’accepte tous de suite.

Malgré la taille et la simplicité de l’établissement, le repas fut splendide. La viande fonde en bouche et les abricot sont comme des bombes sucrés ,le tout accompagner d'une semoule encore chauffante. Et le dessert fût du même gabarit, d'énormes muffins au myrtilles, mon dessert préféré. Je croqua à pleine dent dans un, et là, l'extase.Juste l'extase. Après mettre remis de mes émotions, on nous servit un thé à la mente avec des arômes de miel et lavandes. On s'installa prés de l’âtre pour boire notre thé, loin du bruit de la salle.

Un commencer à parler de tous et de rien, de petites anecdotes plus ou moins débiles sur nous tout en rigolant à pleine voix.Une fois nos thés terminer, je lui proposa :

-Cela te dérange qu'on visite un peu la ville ? On à un peu de temps devant nous.

Je fut heureux quand elle accepta. Nous sommes sorties de l'auberge dans la minute qui suivi sans nos vestes malgré l'air frais de ce début de soirée d'hiver, une légère pellicule de neige recouvrant les toits de la cité. Durant notre marche, contrairement à son habitude, Anaveranne ne fit que parler de tous se qui lui passe par l'esprit, elle donner l'impression qu'elle aime cela. Parler simple à quelqu'un, sans tabou ni chichi, juste parler.

Les musiciens de cette après-midi, étais toujours là, entouré de personne chantants et dansants ainsi que d'enfants qui jouent en toute innocence dans la fine couche de neige. Je ne sais pas si toute la ville est comme cela mais ici je me sentis bien.Cela me rappelle ma ville natale durant mon enfance. Les longues nuit d'hivers bercées par le vent et la musique à joue dehors ou simplement en lisant des aventures par delà les mers devant la cheminer avec ma sœur. Sans m'en rendre compte, une petite larme de nostalgie coula sur ma joue, sans qu'Anaveranne qu'elle le remarque.

On continua de marcher, entraîné par cette ambiance magique, jusqu'à un bar qu'elle connaît bien.Elle proposa de boire un verre, ce que j’hésitai depuis l'incident de l'exposition mais bon autant en profiter. On s'installa donc à une table au fond du bar. Le  barman, un grand type rasé mais portant une moustache, arriva et nous demanda ce que l'on buvais.Je lui répondis, après avoir vu la liste des boissons :

-Pour moi ce sera un...délice du voyageur et toi Ana ?

Elle me montre les différentes peintures qui orne les murs de ce bar, signe d'une activité e et d'une ambiance qui lui est propre, ainsi que d'un jeu de fléchette qui trône dans un coin qui me donna une idée.  

Je fut finalement servis de mon « délice du voyageur » qui fut un rhum avec de la pomme surmonter d'une feuille de menthe. Ana me proposa de trinquer. Avec un client d’œil, me leva et en prenant un grosse voix :

-Je trinque à ce voyage, et aux aventures à qui suivrons !

Et nous prenons une gorger en même temps. La chaleur du rhum avec la douceur de la pomme fit un bien fou et me réchauffa, vu la tenu que j'arbore, une simple chemise pour préciser.La touche de menthe apporter une note sucrée qui améliore le goût du cocktail. Nous reposons nos verres et comme à notre habitude, je lui lança un défi.

-Tu vois le jeu de fléchette, je paris que je fais un meilleur score que toi.

Je repris un autre gorger de mon verre en attendant ça réponse.

Pendant qu'elle se prépara à lancer, je commande au barman qui me regarde avec un sourire, des shots.

Évidement, elle visa avec une précision quasi instinctif et touche la cible à son cœur. Elle m'invita à tirer a mon tour, me leva sans hésitation.Je me mis sur la cible au sol, prit une fléchette,mis ma main gauche derrière mon dos et visa avec la même détermination que quand je tire à l'arbalète. Je tira ma fléchette qui logea au milieu de la cible en déplacent l'autre.

-je ne suis pas prêt de perdre, dis-je en invitant Ana d'une révérence.

-Je sent que je vais m'amuser, dis-je à voix basse en voyant la fléchette atteindre sa cible.

Je pris un rapide gorger de mon cocktail avant d'elle ne me tira par le bras.Je m'installa sur la croix, refis la même disposition pour mon corps, visa et lança la fléchette qui s'enfonça sur la cible en son centre en n'en faisant tomber une.

Je retourna et en la saluant, je lui dis :

-Bon ,je crois que c'est de nouveau à toi, à moins que tu t’avoue vaincu, dis-je d'un sourire sadique.

Elle me prit pas au sérieux.Faut que je lui montre qui est vraiment Adol Loror. Je m'approcha du panier à fléchette et au lieu d'en une seule, je pris deux, une dans chaque mains.Me concentrant à l'extrême, et après un profond soupir, je tira mes deux fléchette en même temps. Toutes deux arrivent à leurs destinations sans la moindre erreur faisant tomber les siennes en ne laissant que les mienne.

Je retourne vers Ana et lui disant, avec une mèche rouge qui tombe devant mes yeux et un visage sérieux :

-Je t'avais dis que je refuse perdre ?

La victoire. Ce doux sentiment. Elle avais voulu jouer au même jeu que moi et elle avait perdu. Comme promis, elle retira le haut et, avec les joues rouges, je détourne les yeux. Sauf quelle se mit dans l'idée de partir d'un coup. Je me dépêche alors de payer le barman, récupérer son haut qu'elle avait laisser sur la table et la rejoindre dehors, où elle titube avant de s'écouler dans la neige. Je l'aide à se remettre debout et la tenant pas les épaules, je la fit avancer vers l'auberge.

-Tu est sur de pas vouloir de remettre ton haut, tu va attraper froid.

La seule réponse que j'eus, c'est de la neige dans la tronche. La retour à l'auberge ne va pas être pour maintenant.

Je la suivi sans rien dire, enfaîtes, il n'y avais rien dire. Elle trouva par miracle l'auberge. Elle galopa, littéralement, jusqu'à la chambre. Je la suivi, croisant le regard de l'aubergiste en haussant les épaules.Une fois dans la chambre, je vis qu'elle était entrée dans la salle de bain en laissant la porte ouverte. Je la ferme, sans regarder, pour garder son intimité et je m'écoula sur mon lit, tout habiller et je m'endormis.

Le réveil fut facile pour moi, je pris un léger bain, fit ma toilette et m'habilla.Par contre , pour Ana se fut plus difficile. Je la réveilla doucement mais quand je croise son regard, je vis la mort et la destruction dans ces yeux. Je la laissa donc dormir encore un peu et je descendis prendre mon petit-déjeuner, composer de muffin et de thé. J'en garda un peu pour ana en cas ou. Voyant, qu'elle ne venait, je les emmena avec moi dans la chambre.

-je tes ramenais le petit-déjeuner.