Les extraordinairs voyages d'Adol Loror (titre provisoire) [rp court]

Nous voilà enfin dans les dernière heures de notre voyage vers la crique blanche. Nous sommes sortie de la ville en milieu de matinée. La neige avais arrêter de tomber depuis ce matin, et la légère couche de neige d'hier devient un épais tapis de dix centimètres.
J'étais bien content d'avoir ma veste où juste la tête de Tiama dépasser, qui se protège du froid comme il peut. Quant ta Ydrochoos, lui, Anaveranne lui a mit une couverture pour le froid.
Durant tous la première partis du trajet, personne de parla. Aucun son sauf les sabots du canasson sur la route. Je marcher à mon habitude en essayent d'attirer l'attention d'Anaveranne mais rien, elle est fixé sur objectif.Je brisa enfin le silence en demandant :

-Tu te souvient, tu m'avais dis qu'on va devoir attendre plusieurs jours sur place, combien en tous ?

Une fois rassuré pour le voyage et après un repas bien chaud, nous sommes repartie pour les lacs. Logiquement, selon les calculs, on devraient être arrivé d'ici la fin de journée.
On accéléra donc le pas, pour ne pas se retrouver dans la nuit pour le trajet. La traversé se fit sans problèmes majeurs, des fois, Ydrochoos failli glisser à cause la neige mais on étaient là pour le remettre droit. On croisa aussi des voyageurs comme nous à qui ne faisons la discute le temps d'un bout de chemin.
On vit enfin le lacs et je fut surpris de par sa taille, qui était petit mais aussi de par sa faible profondeur. Des séries de petits cailloux dépasser de la surface de l'eau formant des formes circulaires plus ou moins régulières. Avant de mettre les pieds dans l'eau pour voir plus de détails, je me retourne vers Anaveranne et lui :

-je crois qu'on est enfin arriver à destination. Bon avant qu'il fasse trop sombre ou que je plonge dans cette eau, où se situe la cabane que tu me parler ?

Bon pas de baignade pour moi. Un peu deçu, elle me guida vers ce qui sera notre abri pour quelques jours. La cabane ressembler beaucoup à celle dans la forêt. Il y avais, à coter de la dite cabane, un cabanon pour le canasson. Sur le devant de la porte, une multitude de plante aromatique en pot ainsi qu'un banc à l'abri du vent et de possible pluie accompagner d'un petit poêle. L'intérieur m'étonna, il y avais une petite salle à manger, une cheminé ainsi qu'un petit canapé et un plan de travail couvert de petite tache de peinture.On pouvais aussi voir un coin pour dormir et se laver. Les murs sont en planche en bois peint dans une couleur crème et ils était couvert de croquis et dessin représentant des paysages, des animaux et de plantes diverses

J'installe les sacs qu'Ana me donner dans le salon et, une fois fini, je m’écroule sur le canapé, une légère fatigue me prenant

Ana arrive peu après, je le leva comme un piquet et je lui demanda :

-Tu veut que je t'aide pour quelque chose ?

Quand telle m’annonça qu'il n'y avais rien à faire, je fut un peu déçu. Je me senti un peu inutile à ce moment.
Mais elle me proposa un action ou vérité. Elle voulais vraiment retourner à ce jeu. J'hésite, puis finalement, cela n'étais un si mauvaise idée pour casser l’ambiance qui c’était installé de puis se matin.

-J'accepte le action ou vérité mais fais attention, je ne serai pas aussi gentil que la dernière fois. Alors action ou vérité ?

-Je commence par...action

-On commence par du simple, cour sur place pendant 40 secondes

Ce fut une action simple pour elle, sans fatigue ni sueur de sa part.Pendant quelle alluma le feu, elle me proposa la même question. A prés une légèrement hésitation, je choisi vérité. J’eus la fatidique question par rapport à hier et le cocktail.

-J'ai bien aimer le cocktail, pas trop fort comme je les apprécie et si un jour, je repasse par Dagna, j'y retournerais sans hésitation, surtout si tu me raccompagne pour une nouvelle soirée dantesque, dis-je en souriant. C'est à toi je crois, action ou vérité ?

-Je prend action.

-Alors, après un rire, imite moi.

Elle l'avait fait.Elle l'avait vraiment fait. De toute les imitations possibles, ce fut celle-ci
. Elle avais même pousser le détail jusqu'aux regard que je lui avais fais. Il fallait que je me venge.

Pour mon nouveau je dus sois faire des tractions ou des pompes.Mon choix fut simple.

-Je fais les deux, en me dirigeant vers la barre.

Une fois agripper à la barre, je fis dix lentes traction en prenant un pause à chaque monter et descente. Je fit de même pour les pompes. Cela était d'une simplicité sans nom.

-Apparemment, tu à choisi vérité donc, quelle est ton plus grand complexe ?

Quand telle me raconte son complexe, je ne ris pas. Je l'écoute juste. Au fil des jours, certes peu nombreux , j'en appris beaucoup sur elle et ça façon d'être .Je savais que je pouvais rire de chose et d'autres non.

Avant que je pu parler, elle de pausa la question. J’accepte cela avec un sourire, les yeux  fermé et je lui répondu vérité.

Je dois raconter mon plus beau jour, soit.

-J'ai eu pas mal de jour heureux, comme mes voyages dont celui avec toi en fais partie mais mon jour le plus heureux est celui où je suis partie de chez moi. Cela me semble une éternité, toute ma famille étais là pour me souhaitais une bonne aventure, sauf ma sœur qui refusait que je parte seul. Mais j'étais prêt, je devais partir et explorer le monde.Là était ma place. Des fois, quand je me sent seul dehors, il me suffit de repenser à eux et le courage me revient.

Je dit cela avec une pointe de nostalgie, mais je refit surface rapidement.

-Alors c'est à ton tour.

-Je pense prendre ...hm... action

-Alors, pendant trois minutes, tu dois avouer à quelle point je suis parfait, dis-je d'un immense sourire.

Si j'avais pus, j'aurais lâcher une larme devant ce discours remplient d'éloge et de bonne  foi. Une fois fini, et sous un tonnerre d’applaudissement de ma part, elle se rassit et de demande la fameuse question.

Mon défi aller devoir être de dire tous mes défauts, ils ne me fallut pas longtemps pour savoir pour quelle raison. Après un longue inspiration, je commença :

-Je me refuse de tuer une personne pour n'importe quelle raison même si je sais me battre , je peut paraître un peu candide pour les autres, je suis tête en l'air, je suis social mais maladroit avec les gens. Je peut faire souffrir les gens sans m'en rendre compte, même dans un situation d’espéré, je ne fuis pas même si je peut en mourir. Je n'est aucun instinct de survie pour cela. Je ne suis pas une personne extraordinaire, je me trouve juste normal.

Elle m'écouta sans rien dire, sans rien faire.

-Action ou vérité ?

-Je prend vérité  

-Si tu pouvais changer une seule chose chez toi, ça serai quoi ?

Avant même de poser ma question, je savais qu'elle aller dire cela. Je fut donc sans surprise quand elle me dit sa résistance à l'alcool ou bien sa peur des araignée mais se fut mon prochain qui me perturba.

Avec une tête des plus gêné, elle me demanda, avec hésitation, de lui faire une câlin façon Daërnars. Je fut extrême surpris quelle me demande cela d'un coup, elle qui peut sembler un peu distante pour ça.

Je me leva, m'approcha d'elle et m'assis à genoux en face d'elle. Après quelques secondes, je la fis venir contre moi, mes bras autour autours de sa taille et mes mains, dans ces cheveux. Je ne l'avais pas encore remarquer mais sa peau sentais la lavande ainsi que la framboise, une odeur à la fois sauvage et sublime.Je ne sais pas combien de temps cela à duré mais je me retire, non sans rougir.

-Je pense qu'on en rester la pour le action vérité nan ? Je reviens, je vais voir le lac.

Une fois sortie, l'air frais me remis les idées en place. Je marcha en direction du lac, pendant que les derniers rayons du soleil me guide en direction du point d'eau qui reflète les dernières couleurs de cette journée.

Je m'installa sur un rocher en hauteur pour pouvoir en savoir plus sur ce lac. Les seules informations que je possède sont que le lac est entouré de mystère et qu'on pouvais voir des choses irréelles. j’inspecte plus en détail les rochers, je remarque qu'ils sont tous aligner pour former des cercles sur le lac. Je me demander si cela étais naturel ou une sorte de culte les avais placer ainsi. Je nota tous ça dans mon journal quand je cru apercevoir une sorte de forme danser et sauter de roche en roche. Je leva la tête , mais rien sur l'eau sauf des légères ondines sur le dessus. J'étais persuadé d'avoir vu quelque chose mais bon, cela doit être à cause de la fatigue ou d'autre chose. Je me décida finalement de rentrer à la cabane.

Quand j’entre, je vis Anaveranne affairé à la cuisine, comme à son habitude. Et comme à mon habitude, je m'installe à table .