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| Amisgal
| Mer 2 Aoû - 15:53 | | Irys : 269947 Profession : Façonneuse de climats
| Bonjour à tous les trois, et un grand merci à vous pour votre participation ! Hex HekmatyarJ'aime beaucoup ce que cela donne pour tes Tengeriin'ava ! Néanmoins on peut gagner énormément à étoffer un tantinet certaines descriptions. Plusieurs questions me sont d'ailleurs passées par la tête. Quelles sont les périodes de chasse dont tu parles (nocturnes, diurnes, aléatoire... ?) ? Pour le champ Reproduction et sans nuire au côté mystérieux que tu as voulu donner, il pourrait être intéressant de préciser que l'on suppose qu'elle se fait de la même manière qu'une baleine donne naissance par exemple. Un ou plusieurs autres indices descriptifs, en somme. Les navigateurs aériens auront au moins vu un jour ce qu'il advient des petits, s'ils restent avec les parents une fois leur maturité sexuelle atteinte, s'ils partent vivre leur vie (volontairement ou violence des parents ?), à quel âge arrive d'ailleurs ladite maturité et si les parents sont d'un naturel protecteur ou pas du tout ? Niveau caractéristiques physiques, j'aime énormément le petit détail de ces Tengeriin'avas qui vont se gratter contre de grands rochers ! Par ailleurs, il serait sympathique de préciser quelque part dans la description physique qu'ils ressemblent au moins à des grands cétacés, puisqu'on en fait jamais vraiment la mention. Et comment volent-ils ? S'agit-il d'un supposé pouvoir de lévitation, ou sont-ils extrêmement creux, un peu comme le fonctionnement d'une montgolfière ? Ou autres, selon ton inspiration du moment d'ailleurs. Voilà voilà pour les quelques points que tu pourrais explorer pour étoffer tout cela, autrement, je valide d'ores et déjà tout ce qui a été écrit et que je trouve très bien (la mention du brouillard en trompe-l'œil et de la présence de magilithe est excellente notamment) ! Rae NelissenLe concept de tes Bunnalix me convient tout à fait ! Néanmoins j'aimerais que tu fasses au préalable une rapide correction orthographique, il y a notamment quelques lapsus et mélanges de mots qui perturbent la compréhension de tes phrases (des dents "épuisées" pour aiguisées par exemple). Je ferai de toute façon un dernier passage de correction avant la publication officielle. J'en profite également pour te demander de faire une microscopique précision, qui m'a quelque peu intriguée : lorsque tu parles de masque, tu entends un masque en os/cartilage ou autre chose ? Kezy'rahs ThaedtromPuisque nous avons directement discuté des modifications à faire sur skype, je te laisse me prévenir dès que tu auras terminé les corrections demandées. Nous pourrons alors vraisemblablement procéder à une validation ! |
| | | Rae Nelissen
| Mer 2 Aoû - 16:36 | | Irys : 120132 Profession : Forgeron
| oki parfait x'D je fais ca des que je peu :'D
ca se peu que les fameux lapsus soit du sois au fait que jai écrit ca a 4h du mat ou a mon correcteur qui ne vaux pas de la merde x'D
edit: oh et pour le masque, cest un masque en os/cartilage X'D
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| | | Rae Nelissen
| Jeu 3 Aoû - 6:40 | | Irys : 120132 Profession : Forgeron
| je crois que c'Est moins pire la x'D tu me dira si jai autre chose a modifié o/ |
| | | Invité
| Jeu 3 Aoû - 21:45 | | | Galtuulyn(« Volcanique » en mongol) (Terminé)Artiste :Inconnu Longévité50 à 60 ans. Localisation géographique & mode de vieLe Galtuulyn vie dans les régions au plus près de la chaleur, à Ekhlen, et trouve refuge dans des grottes et des cavernes les plus profondes et reculé, dans les reliefs dangereux des îles volcanique. Son mode de vie lui fonctionne comme ceux des loups et de leur système hiérarchique. Il y a généralement dans une meute de loups un couple alpha, et par la suite suivant l’importance et la qualité des capacités un second couple est nommé alpha. Et à la suite sont désigné des individus de milieu de rang et un ou plusieurs loups d’un rang plus faible. Alpha commande l’ensemble du groupe, beta dirige les Galtuulyn de de niveau intermédiaire et tous les adultes commandent les individus du milieu et les plus novices. Même si l’on compte des couples puissants et compétents, le mâle du couple Alpha reste cependant le seul chef incontesté de la meute, et ne peut être révoqué par aucuns autres. Tandis que les deux extrêmes de la hiérarchie tendent à l’immutabilité des rôles, sauf en cas de blessure ou de mort, le rang au centre de cette hiérarchie est socialement plus dynamique. Quant à eux, les louveteaux ne sont pas reconnu dans cet équilibre délicat jusqu’à l’âge de la maturité sexuelle. Les Galtuulyn ne chasse pas, car il se nourrisse de lave, leur cœur ont un besoin de magma pour leur permettre de vivre et de faire circuler leur sang plutôt particulier dans les veines et artère qu'il possède. Ces créatures n'ont pas d'appétit à proprement dire, mais s'il ne s'alimente pas pendant au moins deux semaines et demie, ils peuvent craindre que leur cœur se refroidisse et ne les anime plus, le menant à la mort imminente. Ce n'est pas parce que cet animal ne chasse pas qu'il ne sait pas se battre, et au contraire, le Galtuulyn possède tout une panel d'attribut naturel dangereux qui lui permet de se défendre contre les créatures de Ekhlen. Celle-ci seront décrites dans la partie " Caractéristique physique". La manière particulière de survivre pour cette créature et de garder constamment sa chaleur au-dessus de 0°. Et pour cela, boire ou manger du magma suffira à augmenter la chaleur dans leur cœur et donc dans leur corps. Leur système digestif est particulier et a deux utilisation. Premièrement, la lave ingéré est transmise dans tout leur corps, puis à la suite, cette lave est apportée à leur cœur qui fait fondre la roche magmatique froide qu'ils ont ingéré, la transformant elle-même en de la lave qui apporte a leur organisme de l'énergie. Anecdotes assez amusante, contrairement à nous les humains qui prennent un bain dans l'eau, eux se purifient dans les sources de laves et trouvent même un malin plaisir à plonger dans les éruptions, comme une sorte de fêtes a leur gloire. ReproductionProfitant d'une reproduction aisée et calme, ces créatures ne se comptent pas au même nombre que les autres espèces. Le moment idéal pour se reproduire se présente lors d'une éruption occasionnelle. Décidé ainsi par Orshin, le couple ne peut faire qu'un seul petit Galtuulyn tous les 6 mois, car l'énergie demandée pour le nourrir ainsi que la nutrition, puisée directement chez la mère, est phénoménal. La grossesse de la femelle se fait en quelque semaine, et si elle est ménagée et aidée par les autres Galtuulyn, la croissance totale du foetus ne prendra que 10 jours. Il requiert pour une Galtuulyn, une énergie impressionnante pour tenir le fœtus en bonne formation. Et ainsi elle est celle, qui bénéfice dans la meute d'une grande attention. Les membres de la meute font en sorte qu'il ne lui manque de rien. Et lors d'attaque, les mâles sont les premiers à en découdre pour protéger la mère porteuse. L'esprit de famille est donc naturel chez le Galtuulyn. Il y a rarement plus d'une mère porteuse dans chaque meute, vu les besoins considérables pour une grossesse, ils se retrouveraient dépassé s'il en avait plus d'une, et ne pourraient pas convenablement assurer la protection. La maturité chez les Galtuulyn pour les femelles, est atteinte à quatre ans, et pour les mâles trois ans. La seule différence qui peut se faire entre eux, et la crinière de tentacule sur l'arrière de leur crâne. Les mâles en ont une plus imposante, comparé aux femelles, qui peuvent, ne pas en avoir. Propre à chaque Galtuulyn, leur cœur est situé sous le cour, au centre de leur poitrine. Il serait si facile des les tuer s'il n'y avait pas une couche de Topaze de 2cm qui recouvrait ce point sensible de la créature. Caractéristiques physiquesLeur apparence s'approche elle, à celle d'un loup, mais ce n'est que dans la forme, car le Galtuulyn possède plusieurs caractéristiques différentes de la race des lupae. La texture de leur peau est semblable à un touché de roches. On pourrait croire qu'après ou même sans s'être nourris leur peau est une bonne technique pour faire cuire les œufs, mais grâce à leur plusieurs couches dermique spécifique, la chaleur et à 50% contenu dans leur cœur. Sur certain spécimens égal ou supérieur beta on peut voir des veines briller lorsqu'il vienne de manger. Ils ont trois couches qui ont donné nom à plusieurs nouveaux types d'assemblage de molécules retrouvé chez les Gatuulkhuus (« fils de volcan » pour désigner les créatures du même type) : La première étant celle qui est en contact direct avec l'air libre, se nomme en terme scientifique la Molortite ( « protection ») . De même composition que la roche magmatique, elle est à la différence près d'être dans un être vivant semi-organique et semi minéral. Elle ne dépend donc que de l'individu et se renouvelle en cas de blessure grâces à un de bio-réaction chimique semblable à celle d'un humain. La peau du Galtuulyn est solide de par sa nature, mais aussi grâce à fine couche d'un millimètre de topaze qui recouvre tout son corps. La deuxième est une couche frontière, appelée la Tusgaartite (« isolant »). Elle agit comme un isolant contrôlable par la créature via son système nerveux, qui peut l'utiliser comme défense en relâchant un tant soit peu la chaleur accumulée par son organisme. Cette couche n'est donc pas à proprement parlé, une « sous-peau » mais, un organe. Cette couche sert donc de rempart, après la première, contre toutes bactéries, en éliminant les éléments extérieurs par la chaleur dégagée. La troisième et la Khailtite (« Fusion »), est celle qui contient constamment la chaleur et s'occupe comme dernier rempart. Elle apparait comme une couche bio élastique thermique, et ressemble en image abstrait pour comprendre son utilité, à un puissant four qu'utilisent les organes intérieurs pour fonctionner. Les Galtuulyn, n'ont pas d'organes oculaires, mais ont un système l'écho location situé sur leur museau. C'est donc en émettant des ondes puissantes qu'ils peuvent se situer et situer les obstacles à plus de 20 mètres. Même si cela garde des inconvénients, il garde un odorat très développé restant bien au-dessus de la moyenne des autres animaux, leur permettant, contrairement à leur autre système sensoriel, de pouvoirs repérer un intrus ou un agresseur à plus de 200 mètres. Les tentacules à l'arrière de leur crâne est un signe de maturité chez les mâles. L'utilité de ces membres extensibles et purement offensifs ou défensifs contre un potentiel ennemi. Le Galtuulyn peut s'en servir pour saisir ou fouetter l'adversaire. Leurs tentacules n'ont pas la même composition que leur peau. Elles sont parcourues par des milliers et des milliers de nerfs dans chacune, qui leur permet un contrôle aisé et efficace. Comme les loups, ils possèdent une queue bien assez grande au caractèristique que les tentacules mais qui reste beaucoup moins contrôlable. Ces créatures possédant par la même occasion un organe dans leur bouche directement lié a un réservoir confectionnant une poche de cendre ardente. Il peuvent donc en dégager une fois toutes les 10 min, dans un périmètre de 5m². TailleA garrot : 100 à 130 cm [Alpha : 150 cm] En longueur : 160 cm à 175 cm [Alpha : 190 cm.] Caractéristiques psychologiquesLes Galtuulyn sont des animaux qui ont pour priorité la survie de leur espèce et se considèrent eux-même comme les gardien des volcan. Ils n'aimeny donc pas qu'on empiète leur territoire, et cela pour n'importe quelle raison. Ils n'attaquent pas à vue mais, ont un comportement teigneux. La première fois qu'il vous aura en face, il feront preuve de prévention, mais si vous persistez de trop, vous risquez de briser leur patience déjà minime. Le caractère du chef est celui du plus raisonnable, et aucun des autres jeunes de la meute n'égale son tempérament. L'Alpha, est celui qui décide d'où se déplacer, s'il faut attaquer où non, et si le combat en vaux la peine. Un alpha devient et reste un alpha jusqu'à sa mort, ou son descendant le plus fort prenne sa place. Un seul Galtuulyn est assez redoutable comme adversaire et protégera les siens jusqu'à qu'il soit hors état de nuire. Alors, imaginez vous une meute, ou même vous retrouvez devant un alpha, qui surpasse les sien. Nous vous laissons imaginer que ce n'est pas les créatures qu'il faut défier seul. CapacitésHormis les capacités de défenses, comportant le crachat de cendre et l'utilisation de ses puissantes tentacules, la créature à la possibilité de faire chauffer ses griffe a à une température de 100°. Il est aussi à noter que le mâle alpha est bien plus puissant que les beta ou les Omega. La plupart du temps, au vu de ses grandes capacités, il a généralement un coeur de lave plus jaunâtre que ce lui des autres. Concernant sa capacité à survivre dans un milieu qui n'est pas le sien, le Galtuulyn est assez limité. Bien qu'ils puissent monter à une chaleur intérieure corporel à 1200°, leur peau et ses différentes couche permettent de garder une température stable et contrôlé. Mais après avoir mangé, ils ne peuvent rester que six heures dans un environnement à chaleur ambiante (20-30 °) et que deux à quatre heures dans un environnement froid et humide (-∞ à +10°). S'ils ne sont pas immédiatement emmené a leur environnement ou ils pourront se nourrir de lave, a ce délai, il risque de mourir et de finir en statue de roche magmatique. |
| | | Amisgal
| Ven 4 Aoû - 18:39 | | Irys : 269947 Profession : Façonneuse de climats
| Rae Nelissen, Kezy'rahs Thaedtrom, je valide vos créatures ! Le temps de passer un petit coup de pinceau orthographique, et les Bunnalix, Zarimdaa et Galtuulyn rejoignent notre bestiaire national. Les cartes de leur localisation géographique ainsi que leur intégration dans le menu interactif n'arriveront en revanche que bien plus tard. Merci à vous deux pour vos propositions ! J'ajoute pour les éventuels futurs intéressés que nous sommes principalement à la recherche de géophages et d'insectivores en priorité, puis secondairement d'herbivores ! |
| | | Invité
| Sam 5 Aoû - 8:30 | | | Anteater Terminé Artiste : Ryman Longévité8 à 10 ans et pour certain 12 ans. Localisation géographique & mode de vieLes Anteaters sont des créatures qui se trouvent approximativement dans toutes les forêts denses et ravins d’Irydae. La température de son milieu se situe entre 10 et 20 degrés. C’est d’ailleurs pour cela, qu’ils dorment 10 heures par jour, et préfèrent amplement sortir la nuit pour se nourrir. Possédant un déplacement discret par l’utilisation de leurs ailes spécifique, il s’habitue à leur territoire en se désynchronisant des horaires de chasse de leur prédateur pour pouvoir trouver de la nourriture paisiblement. Il est donc assez rare d’en trouver le jour, sauf si vous parcourez la profondeur d’Irydae. Leur régime coïncide à leur forme corporelle grotesque possédant diverse atout. Bien qu’ils ne ressemblent à aucun autre, ils se nourrissent exclusivement d’insecte, de coléoptère, et nombreuse espèce d’arachnides. Mais leur plat préféré reste une bonne poignée de fourmis, qu’ils trouvent en quantité suffisante dans les ruches et sur les fleurs au printemps. Leurs trompes et leur vue à 360° est un bonne outil qui sert à une détections des moindre microscopique fait et geste. Pendant que rien n'échappe à leur regard, il aspire toutes les bêtes dans une proximité d'un mètre grâce aux trompes qui se trouvent sur le tronc de leur corps. Les Anteater, ne restent pas très longtemps hors de leur ravin, pour éviter tout risque inutile de se faire tuer. Une fois nourris, il s’en retourne dormir pour les prochaines heures, où leur tentacules sécrèterons une huile sur le sol, permettant à la reproduction. Cette huile au contact de la roche, a pour production, un champignon saliveux, permettant à la croissance de leur progéniture. On les comptes environs en colonies de trentaine sur 10 000 individus de l’espèce recensé, jusqu’à aujourd’hui. Malheureusement, les Anteater sont des créatures chassés de façon excessive, et cela particulièrement pour les différentes propriété de leur matière première produite ( « l’huile de la luxure » , et « salive champêtre ») et aussi pour leur peau résistante à l’humidité, bonne isolant et utile au domaine de conservation. L'hibernation des Anteater, se fait globalement au milieu de l'automne après avoir fait le stock de nourriture nécessaire pour tenir jusqu'au début du printemps, saison, ou ils se réveillent pour recommencer le cycle. ReproductionHermaphrodites, les Anteater se reproduisent via le mélange de l’huiles rempli de cellules reproductive conçus seulement en été, par le corps de deux individus de la même espèce. Celles-ci deviendront alors dense pendant 4 semaines et se seront regroupée en une sphère gélatineuse. Par la suite l’un des Anteaters du couple viendra les englober sous leurs tentacules pour garder une température stable et relativement tiède. Dans leur organe, appelé « biosphère placentaire », le corps de 2 à 3 fœtus anteaterien se forme pendant 4 semaines pour pouvoir naître et avoir un mois pour se nourrir. La séquence de reproduction débute au solstice d’été, ou la quasi-totalité des couples se reproduisent assez rapidement. Pendant que l’un des Anteater du couple, attend sans bouger la formation de leurs engeance, l’autre, lui doit se charger de ramener deux fois plus de quantité de nourriture pour nourrir sa conjointe. Caractéristiques physiquesLes Anteater sont des créatures qui ne possèdent aucun attribut inutile. Ils sont décrits par un tronc avec une base hexagonal, accueillant au milieu 6 tentacules sur la jointure de chaque facette. Ces tentacules à la différence de celle du bas de leur corps, sont équipés de tous petits saisis qui leur servent au quotidien, pour les branches ou les plantes. Ces petites appendice, au bout des trompe servent à attraper les choses, mais sont aussi l’entrée de leurs membre, contenant des muscle broyant la masse de nourriture qui leur permettent de d’ingérer d’importante quantité, qui sont redirigé vers les cavités longue jusqu’à leur estomac. Les tentacules de la partie basse, elles servent à se déplacer sur le sol et sur les murs, équipés de ventouse semblable à celle d’une pieuvre. Les ailes sont un des membres les plus utiles à leur survie. Celle-ci ont la particularité, par leurs forme, de ne faire qu’un simple petit bourdonnement durant leur voles. Ces ailes sont accrochées d’impressionnants muscles alaires qui réalisent un nombre record, soit plus de 300 battements par secondes. Lorsqu’il s’agit de rentrer dans des grottes et des ravins, ils ont la capacité, de les ranger couche protectrice sur l’une des facette de leur tronc. Quand ils se déplacent, on a l’impression qu’il lévite au-dessus du sol. C’est bien car leur tentacule sont bruyante et laissant des traces que ces est un de leur premier atout de survie. Leurs organes oculaires est compté au nombre de huit, chacun tenu par des mini tube de chair qui rejoint leur « tête ». L’acuité visuel de ces créatures est sans pareil, et dépasse largement celle de tous les animaux d’Irydae. Les tubes qui rejoint les nerfs jusqu’à chacun des yeux, peut être tordu et déplacé au bon vouloir de la créature. Des études scientifique ont prouvé qu’il n’avait jamais de mal à trouver des insectes. Et cela résulte d’une acuité visuelle maximale hors norme atteinte, lorsque la créature dirige ses 8 yeux dans la même direction. Le cerveau de celui-ci composé de beaucoup plus de neurones qu’un humain traite les informations plus vite. TaillePour le tronc : Si comparaison avec un cylindre ; Un Diamètre de 60 à 80 cm Sur Une hauteur de 130 à 200 cm Et les membres : Envergure des ailes : 100 à 150 cm Tailles des tentacules : 50 à 70 cm Caractéristiques psychologiquesLes Anteater, n’ont pas de loi ou de règles entre eux pour mener à bien la continuité de leurs espaces. Il agit assez machinalement pour procréer et survivre dans la nature. Ils servent à cette dernière en régulant le nombre d’insecte en tout genre, afin de ne pas déséquilibrer la chaine alimentaire. Ils vivent calmement et sont généralement très peureux dans les situations de danger. Même s’ils ont une vie de communauté et d’entraide, il n’en est presque rien lorsqu’ils sont proie à des prédateurs. Mais ils existent de rare cas, ou les créatures se monstre agressive si leur agresseur se trouve seul. CapacitésHormis le faites qu’ils sont capable d’utiliser la force d’aspiration de leur trompe pour se nourrir. L’huile qu’ils dégagent après le repas est un bon rajeunissant et contient de bactérie favorable à la régénération de la peau morte. Et en été, la même huile reproductrice, est rempli de protéine et d’hormone, favorisant grandement la ferveur sexuelle. Une fois traitée, Les hommes s’en servent, comme le caviar, mais reste lui aussi, un produit de luxe. -------------------------------------- ÜrtniTerminé Artiste : Dune Longévité200 à 300 ans Localisation géographique & mode de vieCes créature incroyable sont présents dans les sols tropicaux ou tempérés. Mais il n'y a surement qu'un Ürtni pour 300 à 500km². Le Ürtni, n'a pas de grande différence avec sa version miniature qu'est le ver de terre basique. Ils jouent tous deux un grand rôle dans la nature : ils aident beaucoup à la décomposition de la matière organique (vivante), favorisant ainsi le processus de la fabrication de matière minérale dans la terre, dont se nourrissent les plantes. A la différence de la taille minime, le Ürtni, lui , fais mieux que ça. Grand écologique, il est capable de manger des moitiés de petit forêt, et par préférence celle qui sont pollués, touché de grande sécheresse, ou ayant des problèmes de fertilité. Il mange des tout ce qu'il trouvent, feuilles, racines pierre, et avale en même temps beaucoup de terre. Il digère les arbres, pour rejeter la terre par les voix anal, fertilisant par la suite la zone qu'il vient de raser, pour donner une terre prospère et de nouveau riche en minéraux. " Un vrai composteur, ce fumier ! " Après s'être nourri, ce ver géant, dormira généralement pendant 2 ou 3 ans, dans les profondeurs de la terre. Il peut être réveillé par les séisme ou les explosion trop importante sur la surface de la terre. Ce qui est assez risible, que dans les deux cas, ll a de grande chance qu'il remonte à la surface en jaillissant violemment du sol, croyant la plupart du temps que c'était un autre Ürtni qui se déplacer. Il n'est donc pas rare que lors de guerre ravageuse ou de violent séisme a répétition, le Ürtni se réveille mécontent, et détruit tout sur son passage. Et en considérant la tailles de cet Lombric on peut imaginé le désastre retrouvé après. La seul différence entre le ver de terre et le Ürtni, mise à part à leur taille, se trouve bien évidement dans la taille de leur histoire. Le ver de terre n'est qu'une petite chose qu'on voit lors de jours humide, ou qu'on cherche en creusant la Terre. Mais on ne cherche pas le Ürtni, car c'est lui qui nous trouve. Il y a pleins d'histoire et d'anecdotes sur des personnage et explorateur ayant voulu trouver ce ver démesurément grand dans les plaines de ZockHolm. Et de certains, disent qu'il y en est apparu hein dans les plaines Daënastre. ReproductionL'organe reproducteur s'appelle le "clitellum". On le distingue parce qu'il forme un renflement chez les adultes reproducteurs.Ils sont hermaphrodites, chaque individu est à la fois mâle et femelle, mais il faut qu'ils soient deux pour échanger leurs cellules mâles et ainsi féconder leurs ovules, ils ne sont sexuellement mûrs que 30 à 50 ans après leur naissance. Ils accouplent les parties supérieures collées l'une contre l'autre tête-bêche.Après cet échange réciproque de semence le clitellum va fabriquer un cocon qui enfermeront l’ovule et les spermatozoïdes : c'est à ce moment-là qu'a lieu la fécondation. Après leur libération, l'incubation dure entre 1 et 2 ans, selon la température et l'humidité ambiantes. Du cocon sort un jeune vers de couleur blanche qui se mue en rose rapidement, avant qu'ils ne prennent leur couleur définitive au bout d'une dizaine d'année. Dans le cas qu'un tel monstre immense puisse exister dans les création d'Orshin, la reproduction n'est que très rare. Et aucun comportement saisonnier n'a pu être observé. Nous savons que lorsqu'il y a effectivement un accouplement, il est fait sous terre, et provoque très souvent de nombreux tremblement de terre d'une trentaine de minute dans les région déserte de Zockolm. Ces tremblement sont si puissant qu'il peuvent renverse les plus grande plaines de sables. Attention aux voyageur qui ne serait pas très prudent. L'œuf pesant 200 kilo est déposé dans le sol. Ils éclos sous forme d'un ver de 3 mètre de long déjà complètement formé. Caractéristiques physiquesLes Ürtni, tout comme les lombric trouvent toute leur place dans le vaste embranchement des Annélides qui regroupent les animaux dont le corps est divisé en anneaux ou segments. Son anatomie curieuse commence par une bouche en trois grande lèvre triangulaire couverte de dent broyeuse, le ver prend ainsi sa nourriture à la surface du sol. Cet organe est situé sur la face ventrale comme tout le système ganglionnaire nerveux, un jabot, un gésier et l'intestin complètent l'appareil digestif qui secrète un mucus et les enzymes indispensables à la transformation chimique de la nourriture absorbée. La méthode de nutrition est simple, et consiste à avaler une grande quantité de terre et à la digérer. Une fois transformée dans son tube digestif, il rejette par l'anus une déjection de terre fine, en forme de tortillon. Le corps du Ürtni se compose d'anneaux qui se succèdent, dont chacun porte des soies courtes et raides, qui permettront à l'animal de ramper mais lui servent aussi d'organes sensoriels. Le ver géant ne possède ni yeux ni oreilles. Ce sont les soies latérales qui détectent les vibrations du sol. Cela lui permet de détecter un mouvement. Mais la major parti du temps, alors qu’il sait qu’il n’est pas le seul à habiter sous terre, il ne se préoccupe que des vibrations hors norme. Les anneaux sont les muscles de locomotion du ver de terre, ils en font un formidable perforateur du sous-sol. Mais à la différence de la taupe qui écarte la terre avec ses pattes pour creuser des galeries, le ver l'avale et la rejette. Pour avancer, il s'agrippe avec ses soies le long de parois et se gonfle pour élargir le trou. Puis il contracte alternativement certains muscles du corps, et se déplie comme un accordéon, tout recouvert d'un liquide visqueux pour faciliter le glissement.Il n'a ni poumons ni branchies. Sa peau, toujours humide, lui permet de respirer. En fait, l'air traverse l'épiderme, approvisionnant le système sanguin, et une poche hermétique, dans laquelle il peut puiser lorsqu’il dort sous terre. Taille40 à 60 mètre, le record du plus grand était estimé à 80 mètre de longueur. En largeur, il est question d'une quinzaine de mètres. Caractéristiques psychologiquesCes vers géant sont des créature pacifique, et ne sont pas agressif, mais leur taille et leur faible sensibilité au petit vibration, comme celui d'un pas, ne l'affecte pas. C'est d'ailleurs pour cela, que la plus part du temps, lorsque vous avez le malheur d'en croiser un, c'est une chance d'en survivre. Si au moins il tue des centaine d'aventuriers tout les deux ans, sans que personne ne le sache, et dans la plus grande des maladresse. Il est très protecteur de son espèce. Et il portera secours a ses congénère s'il sont en danger. Mais soyons honnête, comment les Ürtni pourrait être en danger. CapacitésLeurs grande force et leur longueur titanesque sont en soit, un atout déjà considérable. Cependant en cas de danger , les plus peureux (dans de rare cas) se mettront à appeler leur semblable, via de puissante vibration ressenti sous terre, à des millier kilomètre.
Dernière édition par Kezy'rahs Thaedtrom le Sam 5 Aoû - 20:17, édité 17 fois |
| | | Invité
| Sam 5 Aoû - 10:00 | | | Arslan En cours Artiste : Emily Fiegenschuh LongévitéReproductionCaractéristiques physiques Taille Caractéristiques psychologiquesCapacités ----------------------------------------------
Zeerin En cours Artiste : Emily Fiegenschuh LongévitéReproductionCaractéristiques physiquesTailleCaractéristiques psychologiquesCapacités |
| | | Alises Torouciave
| Ven 11 Aoû - 21:38 | | Irys : 670200 Profession : Scientifique : zoologue
| ShishülionLongévitéUne à deux années. Localisation géographique & mode de vieLe shishülion vit là où vivent les dragons sauvages. En effet, ces animaux sont en totale symbiose avec ses grands carnivores et donc les suivent partout. Des légendes parcouraient Irydaë qui racontaient l’existence de petits animaux qui au cours de l’évolution sont devenus les protégés des grands dragons. Les dragonniers cherchèrent cette espèce qui paraissait vivre en osmose avec leurs dragons mais les rares essais, rapidement évoqué et dont l’historicité reste à prouver, ne semblent pas avoir été concluent. Ce n’est qu’en printemps 632 que cette espèce fut découverte par les scientifiques confirment l’hypothèse selon laquelle le shishülion ne peut vivre dans une forme de captivité. Le mystère reste entier sur les causes cet « handicap ». Un shishülion ne peut vivre seul, son espérance de vie ridicule ne lui permet pas de s’en aller chercher une femelle pour fonder une famille. C’est pourquoi, on trouve généralement des « colonies » de shishülions. Une colonie représente une dizaine d’individus par couple. Ils n’ont pas de hiérarchie sociale ou une quelconque structure discriminatoire. La création d’une colonie se fait à partir d’une autre colonie morte pour les mettre au monde. Prenons une colonie A qui va s’attacher à un dragonneau. Celui-ci va grandir puis quitter le nid accompagné d’une bêta-colonie, que les scientifique A’. Lorsqu’il trouvera une femelle, sa bêta-colonie s’associera à la bêta-colonie de celle-ci (A’’) donnant la colonie B. La colonie B se reproduira une dizaine de fois avant de produire une bêta-colonie B ‘. Et le cycle recommence encore et encore. Lorsque le couple de dragon meurt, les shishülions restant se suicident. Les shishülions nettoient les écailles, mangent des herbes et dorment en tout 18h par jour, même s’il s’agit plus de siestes entrecoupées de leurs activités : l’occupation du petit, jeux avec les plus âgés, apprendre aux bébés shishülions à voler et enfin communiquer entre eux sur tous les petits changements. Car malgré leur silence apparent, les scientifiques ont remarqué que cette espèce est une véritable commère commentant tout changement d’air, de température etc. Ils arrivent même à agacer de vieux couples qui alors s’en vont quelques minutes en rugissant. Cette espère repose donc son mode de vie sur un simple échange de multiples services contre une protection contre les multiples prédateurs qui les guettent. Les dragons semblent juger leurs présences primordiales lorsqu’ils sont en liberté. En captivité, l’on a vu souvent un dragon manger une colonie, d’après les textes anciens. Il semblerait que jamais un prédateur ne s’est risqué à attaquer une colonie de shishülions pour la simple est bonne raison que le dragon se retournerait contre ce prédateur. C’est de là que viendrait l’expression désuète « le renard croit prendre quand il est pris par un dragon ». Aussi, ce sont plus les charognards qui se délectent de la mort de ces petites boules de poils adorables. ReproductionLes femelles signalent leur ovulation via un changement de couleur de leur plumage. Alors tous les mâles ou presque vont à tour de rôle féconder cette femelle. La fidélité est loin d’être de rigueur parmi les shishülions. Les dragonnes ont tendance à limiter le nombre d’accouplement selon leurs envies. Il est apparu que pendant les périodes de fécondité, deux jours tous les trois mois, les couples de dragons peuvent avoir des disputes inintelligibles pour les scientifiques. La gestation dure entre deux et trois semaines en fonction du nombre de bébés pouvant aller de quatre à dix. Souvent, seuls un tiers des descendants survivent. En effet, tous mâles adultes fécondent la femelle, sauf si désaccord de la part de la dragonne. Ainsi, il arrive qu’une femelle soit féconder par son « oncle » ou son « père » ou son « fils » ou son « frère » ce qui entraînent malformations qui entrainent la mort d’une partie de la progéniture. Il semblerait qu’un shishülion soit considérés comme adulte à l’âge de trois mois et deviennent inapte à la procréation lorsqu’ils atteignent les dix à quinze mois selon l’espérance de vie de l’individu. Caractéristiques physiquesLe nom choisi par Alisthiana Sestriae Torouciave, celle qui les a découvert, suffit à donner une idée de ce à quoi il ressemble. De quelques cm de largeur, cet individu tient dans le creux d’une main. Il ressemble à un hérisson qui, en lieu et place des piquants, porte des plumes blanches. Ces plumes ont une forme de pissenlit. Enfant, ces poils sont bleutés et deviennent blanc lorsqu’ils sont adultes. Les femelles ont les poils qui deviennent gris lorsqu’elles sont enceintes et légèrement rosé quand elles ovulent. A l’approche de leur mort, ils perdent tous leurs poils et ressemble à des bébés hérissons sans protections. TailleDe 3 à 15 cm Caractéristiques psychologiquesCe sont de loin des adorables créatures. Leurs caractéristiques primaires étant l’amour du groupe et la passion pour leur couple de dragon. Ils sont aux petits soins pour eux et ne trouvent que rien n’est trop beau pour leurs dragons. Et ces derniers les protègent contre un défaut quand on est une espèce qui doit tout faire pour survivre : la curiosité. D’ailleurs un vieil adage de My’tra disait « Curieux comme un compagnon de dragon » sauf que personne n’avait compris ce que cela voulait dire. Cette expression revient à la mode dans les cercles de zoologue où l’on dit « curieux comme un shishülion ». Ils vont vers ce qu’ils ne connaissent pas heureux de découvrir et prêt à accepter à être votre ami(e). Pour les protéger, les dragons ont d’ailleurs développé une technique, allant cherchant eux-mêmes l’objet de l’intérêt de leurs compagnons poilus pour les leurs apporter et ramener ensuite cet objet là où il fut trouvé. CapacitésLe vol est la première des capacités que l’on remarque chez eux. De fait, ils ont une certaine maîtrise de petits courants d’airs qui leurs permettent d’aller où ils désirent et à la vitesse à laquelle ils le désirent. Ne séparant presque jamais d’un dragon, le vol en groupe. L’autre grande capacité est la communication sophistiquée qu’ils ont développée. L’étude de ces colonies ayant connu un boum depuis la confirmation de leurs existences, une hypothèse domine sur les autres : le don d’Orshin serait utilisé dans une moindre mesure par ces shishülions. Cela expliquerait comment ils communiquent entre eux et avec leurs dragons. Leur communication passe aussi par des signes visuels comme la capacité à changer de couleur de plumage. Cela est dû à leurs hormones naturelles mais aussi aux changements de températures brusques pouvant mener la colonie à avoir toutes ses femelles fécondes juste pour assurer la survie de l’espèce.
Dernière édition par Alises Torouciave le Mer 22 Nov - 22:04, édité 1 fois |
| | | Hex Hekmatyar
| Jeu 24 Aoû - 19:52 | | Irys : 376547 Profession : Soldat de fer
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| | | Hex Hekmatyar
| Jeu 24 Aoû - 23:19 | | Irys : 376547 Profession : Soldat de fer
| Naima'urgaArtiste : Wei Ming Longévité20 ans en moyenne. Localisation géographique & mode de vieLes Naima'urga se trouvent au niveau des côtes maritimes Daenastre, particulièrement près des falaises rocheuses et des criques du continent. C'est une espèce nuisible que l'on retrouve également près des côtes Est de Zochlom. Certains disent aussi en avoir vu sur Ekhlen mais ces derniers témoignages sont sources de confusions pour les spécialistes. Ces gigantesques crabes vivent en petits groupes de trois ou quatre individus, ils arpentent leurs territoires à la recherche de cadavre de gros mammifère ou d'épave de bateaux. Ces derniers s'attaquent aussi à des proies plus petites pour peu que ces dernières soient assez stupides pour rester dans leurs champs de visions. Ces crabes sont des charognards, attaquant rarement quoi que ce soit néanmoins leur taille est telle qu'il est déjà arrivé que des bateaux de pêcheurs se voient brisés par un de ces géants. Leurs pinces étant redoutables aussi bien pour les carcasses que pour les coques de bateaux. ReproductionComme les crabes plus petits les Naima'urga se reproduisent en pondant des œufs, durant la période de reproduction qui se situe tous les deux mois, une femelle creuse un profond trou ou elle y dépose une dizaine d’œufs de la taille d'un taureau adulte avant de le reboucher un laissant une empreinte sur le trou en question. Il ne reste alors qu'au mal de se tenir au-dessus du trou avant de féconder les œufs en relâchant sa semence au dessus du trou. Chaque œuf fécondé éclora un mois après, donnant naissance à un "petit" crabe à la carapace mole qui sera parfaitement autonome jusqu'à la fin de sa vie. Il est courant que ces derniers entament de longs exode pour trouver de nouveaux territoires en suivant les fonds marins peu profonds ce qui explique en partie la fâcheuse manie qu'à cette espèce de se répandre partout. Fort heureusement elle n'est pas encore arrivée en Mytra. Il faudra à un Naima'urga environs cinq ans pour avoir sa taille adulte age auquel il obtiendra une carapace solide et six ans pour atteindre l'âge de la reproduction. Même si cette capacité sexuelle tardive pourrait engendrer une disparition de l'espèce, le nombre de pontes est telle que la mortalité des petits même si elle est élevée ne compense pas vraiment le nombre de naissances, a tel point qu'il faut parfois chasser ces animaux pour ne pas qu'ils détruisent tout l'écosystème. Caractéristiques physiquesLa première chose qui frappa chez les Naima'urga adultes est leurs tailles : cette dernière varie entre 5 et 6 mètres de haut, atteignant sans soucis les 8 m de large. Tout dans ce crabe inspire le gigantisme. On les appelle aussi les crabes scorpion à cause de leurs conceptions étrange. Les pattes de ce colosse au nombre de 6 sont fixées sur une première carapace qui elle-même soutiens un buste blindé qui supporte deux paires de grosses pinces capables de fracasser un navire comme du papier ou de briser la roche ainsi qu'une paire de mandibules utilisée pour fouiller les carcasses. Logés près de ces mandibules, se trouvent deux petits yeux noirs profondément enfoncés dans la carapace du crustacé. Cet animal est de couleurs bleu océan, et gris, ce qui l'aide à se confondre avec le fond de l'eau. Les pinces sont connues pour pouvoir exercer une pression à même de briser un gros rocher et la musculature de ce charognard est extrêmement développée. L'exosquelette des Naima'urga est extrêmement solide et peut donner des armures particulièrement solides si un artisan chevronné le travaille. Percer cette carapace est très difficile avec des armes blanches, et seuls la force d'un projectile d'une arme de gros calibre peut espérer ne serait-ce que fêler la carapace d'un adulte. Néanmoins des impacts répétés au fusil de bon calibre peuvent effectivement détruire cette armure naturelle. Au-delà de sa pure taille et force, ces crabes peuvent projeter de puissants jets d'eau. Ces derniers les utilisent en général pour nettoyer les carcasses, mais peuvent aisément projeter un homme à plusieurs mètres de distance. Ce jet étant parfois ponctué de fragments d'os, il est fortement déconseillé de se tenir devant un Naima'urga qui se cambre pour cracher. Ses puissantes pinces lui permettent également de se cacher, que ce soit dans le sable ou parmi les rochers ou sa carapace, en générale recouverte de coquillage passe inaperçue. Ses pattes sont extrêmement pointues et recouvertes de poils sensibles aux mouvements mieux vaut éviter d'escalader un tel monstre, car si ces derniers sont touchés, il aura tendance à s'agiter. TailleLes Naima'urga adultes atteignent aisément les 5-6 m de haut mais certains spécimens qu'on appelle les Naima'urga royaux peuvent eux monter jusqu'à une dizaine de mètres fort heureusement cette sous-espèce est encore particulièrement rare. La largeur de ces monstres est proportionnelle à leurs tailles. Un adulte aura la partie basse de sa carapace à environs deux mètres du sol, portés par ses puissantes pattes. Un jeune crabe lui aura la taille d'un taureau adulte mais se développera au fur et à mesure de sa croissance Caractéristiques psychologiquesLes Naima'urga ne sont pas vraiment des animaux intelligents, ce sont des rapaces territoriaux qui se contentent de piller les carcasses et de se nourrir. Ils sont plutôt territoriaux et n'hésitent pas à se battre contre les groupes rivaux. Ces combats sont très impressionnants et ne terminent en général qu'avec l'extermination d'un des groupes. Les impacts des pinces sur les carapaces ressemblent très fortement à des coups de canon, ce qui explique la panique des habitants des côtes lorsqu'ils entendent de tels bruits. Lors d'un duel entre clans, les crabes font claquer leurs pinces et entrechoquent ces dernières sur leurs carapaces inférieurs. C'est également un signe à surveiller lorsque l'on voit un de ces monstres car ce sont les signes avant-coureurs d'une attaque. Et personne ne tient vraiment à rester devant une de ces créatures quand elle charge. Ce sont des créatures lentes d'esprit dont le cerveau n'est pas très développé, c'est d'ailleurs à cause de cette caractéristique qu'elle attaque souvent les bateaux immobiles, les confondant à tort avec des carcasses flottantes. Très territoriaux, ils ne sont pourtant pas très agressifs, considérant les êtres humains à peine comme des cailloux néanmoins mieux vaut se méfier d'une part de leur tendance à être imprévisible et d'autre part à leurs masses : ces derniers pouvant écraser n'importe qui sans même le remarquer. CapacitésLes Naima'urga ont une technique de "chasse" particulière, ces derniers aplatissent leurs corps sous la surface de l'eau, attendant qu'un cadavre flottant ou un bateau passe à leur portée. C'est à ce moment-là qu'ils surgissent de l'eau, se dressant de toute leur taille avant de fracasser ce qui se trouve devant eux d'un coup de pince et de s'en saisir avant de l’entraîner sous l'eau dans une gerbe d'écume. Ces attaques sont aussi brutales que rapides et il ne reste des bateaux que quelques morceaux de coque flottant sur l'eau. Autre petit points particuliers, les œufs non fécondés de ces mastodontes s'oxydent rapidement en se couvrant d'argent, ce qui fait des œufs fécondés des trésors très recherchés, leurs obtentions est cependant difficile car ces derniers se trouvent sur des territoires occupés. De plus, leur taille est telle qu'à moins de disposer d'une équipe complète, il faut souvent se contenter de fracasser les coquilles pour obtenir un petit éclat d'argent. Les carapaces des Naima'urga sont extrêmement solides et peuvent servir à façonner aussi bien armes qu'armure. Elles résistent également très bien aux flammes, le matériau retransmettant très peu la chaleur. Certains chercheurs ont même essayé d'en envelopper des armes maghilite pour éviter leurs surchauffes mais pour l'instant c'est un matériau encore très peu utilisé même si disponible en grande quantité pour peu qu'on ai un canon capable d'arrêter un de ces monstres. Bien que très blindés il reste possible de les abattre soit en pulvérisant leurs organes soit en réussissant à détruire le petit cerveau de la créature qui se trouve derrière les yeux du crustacé. Il faudrait être un tireur particulièrement doué pour ça cependant. |
| | | Mary E. Burrowes
| Lun 11 Sep - 11:23 | | Irys : 696109 Profession : Messagère
| ChuluunArtiste : Roberto Robert LongévitéEntre 100 et 150 ans à l'état sauvage. Sans que les scientifiques sachent pourquoi sa durée de vie tombe drastiquement autour de 70 ans quand il n'est plus en liberté. Localisation géographique & mode de vieLes Chuluun sont une espèce d'oiseau régulièrement observée dans les montagnes et les plaines environnantes. Il faut dire que leur taille ne les rend pas extrêmement discrets. Ils affectionnent particulièrement les endroits pas trop chauds et humides. Ils aiment pouvoir se rouler dans de grandes flaques de boues ou sur des pentes rocailleuses après une bonne pluie. C'est le fait le plus remarquable chez eux. De la même façon leur tube digestif est fait pour extraire les nutriments dont ils ont besoin de roches recouvertes de mousses ou d'une légère végétation. Pourtant, ils auront beaucoup moins de mal à supporter la rudesse de ce régime alimentaire particulier si la roche a été préalablement immergée ou mouillée. Les meilleurs endroits pour les observer eux et leurs nids sont donc les lacs de montagne, formés par de l'eau piégée ou à l'intérieur de certains volcans, mais ce genre d'endroit étant assez rares, vous pouvez également les voir dans n'importe quelle zone de montagne ou plaine proche, surtout après une nuit pluvieuse. Ces grands oiseaux boueux peuvent donc parcourir de grande distance même hors de leur habitat naturel. Ils ne sont pas attachés à un lieu ou un partenaire en particulier, et il n'est même pas rare qu'ils se déplacent avec les orages ou les grosses pluies d'une chaîne de montagne à une autre. Dans ce cas, ils monteront suffisamment haut pour dépasser les nuages et ne pas perdre leur plumage de terre sans lequel ils seraient bien incapables de voler. Autant dire qu'il restera difficile pour les voyageurs même en levant le nez par temps de gros orage de voir un Chuluun voler au-dessus de lui, mais ce n'est pas non plus totalement impossible et certains pensent que cela serait un signe de chance totalement non négligeable. Leurs conditions de vies particulières rendent leur dressage et leur utilisation assez coûteuse et complexe pour les hommes, mais elle n'est pas impossible. Les chuluuns sont notamment utiliser pour le transport de charge très lourdes en montagne. ReproductionComme tous les oiseaux les Chuluuns pondent des œufs. Leur parade amoureuse est très impressionnante du fait de leur taille mais elle est relativement semblable à celle de tous les grands rapaces. Comme leur corps, l'œuf est tout de suite recouvert de roche, le protégeant de quasiment tous les prédateurs qui pourraient essayer de venir se rassasier dans les nids de ces grandes créatures. Nids qui sont souvent délaissés par les parents pour aller chercher de la nourriture, les Chuluun faisant une absolue confiance en leur système de protection, sans oublier que trouver un nid entouré de pic rocheux pointu d'aident pas vraiment. Caractéristiques physiquesPersonne n'a jamais vu ces oiseaux sous leur véritable apparence tant qu'ils sont en vie. Les Chuluun perdent leur plumage noir autour de leur adolescence (autour de 5 années environ à force de se rouler dans les roches et la boue qu'ils affectionnent particulièrement). C'est pourquoi, ils donnent toujours l’impression d'être recouvert de pierre, jusqu’au point où les premiers hommes pensèrent qu'ils en étaient constitués en hommage à Delkhii. En réalité, en dessous de cette sorte de croute de boue et de pierre séchée, on trouve un grand rapace au muscle excessivement puissants pour soulever toute la glaise l'entourant mais avec si peu de plumes qu'il en est ridicule. Il reste seulement un léger duvet de plumes plus grises que blanches à force de se rouler dans la boue. Pour le reste, leur corps est le même que celui d'un grand oiseau façonné de terre. Leurs serres ne sont ni brillantes, ni affutées, bien que leur force reste dangereuse de même que leur bec. Mais à force d'évoluer dans les roches des montagnes, les deux sont relativement élimés et risquent plus de provoquer des blessures d'écrasement que des lacérations. Si le chuluun semble agile et se mouvoir avec une extrême facilité malgré son poids, il est souvent reconnu que sa propre conscience de son envergure et de sa force n'est pas très développée, le rendant parfois gauche voire quasiment ultra maladroit, notamment responsables d'avalanche de roches en montagnes. TailleEnviron 9 mètres de la tête à la queue, entre 10 et 12 mètres d'envergure. Caractéristiques psychologiquesLe Chuluun est par essence, plutôt docile et aimant tout ce qui est considéré comme de la saleté. Un tas de cendre après un incendie, de la boue, du sable, tout lui plaira pour aller se rouler dedans et sans forcément faire très attention à ce qui l'entoure. La plupart des incidents ayant eu lieu avec le Chuluun sont donc bien le fait soit d'attaques de chasseur ayant cru que la relative tranquillité de cette créature aura rendu sa carapace de pierre facile à transpercer, soit de maladresse de ces grands oiseaux. À part ce défaut que l'on retrouve assez facilement, les Chuluun sont assez intelligents. Ils sont capables de comprendre et d'exécuter la plupart des ordres sans discussion, pour peu qu'un repas ou un bon bain soit à la clef. Le Chuluun répond cependant très mal à la violence ou l'oppression de lui-même ou de ceux de son espèce. Malgré son caractère solitaire, il est capable de faire preuve d'une grande empathie, jusqu'à abandonner totalement ses propres chances de survie pour protéger un de ses congénères en danger. CapacitésL'oiseau de pierre ne possèdent pas de caractéristique magique ou psychique particulière. Toute sa particularité réside dans la puissance de ses muscles. Il est capable de déplacer jusqu'au double de son poids qui est loin d'être négligeable ! Les meilleurs dresseurs arrivent à leur faire transporter jusqu'à 3 tonnes de produit sur quelques centaines de mètres. N'oublions pas non plus l'épaisseur de la pierre qui le recouvre qui le rend totalement invulnérable à la plupart des armes. |
| | | Amisgal
| Mer 11 Oct - 16:38 | | Irys : 269947 Profession : Façonneuse de climats
| Kezy'rahs ThaedtromJe valide l'Anteater et l'Ürtni ! Préviens-moi lorsque l'Arslan et le Zeerin seront terminés que je puisse y jeter un œil. Les images sont en tout cas très prometteuses. Alises TorouciaveIl faudrait un tantinet étoffer tes descriptions afin que la fiche soit plus conséquente. Comme par exemple décrire combien de temps la gestation prend, s'il y a une parade nuptiale spécifique, s'ils sont fidèles à leurs partenaires ou des animaux optimisés pour assurer la survie de l'espèce. On peut également ajouter leur tempérament vis à vis des êtres humains, s'il existe des élevages peut-être (je pense à Dyen qui contient une grande concentration de dragons, il pourrait être intéressant pour eux d'avoir des Shishülion pour le bien-être des bestiaux), ce qu'il se passe si ces adorables boules de plumes tombent face à des prédateurs... etc. Peut-être leur ajouter une part supplémentaire de magie, pour avoir davantage de choses à dire ? Comment communiquent-ils entre eux, ou avec les dragons ? Comment est-ce qu'ils entretiennent les écailles de ces derniers ? En somme, rajouter du contenu afin que tes jolies créatures aient vraiment une description complète. Hex HekmatyarJe valide le Tengeriin'ava ainsi que le Naima'urga ! Je suis ravie de voir enfin de grosses bestioles faire leur apparition dans les régions daënars réputées pour la grandeur de ses animaux. Mary E. BurrowesSans le moindre souci, je valide ton Chuluun, je suis déjà fan ! ~ Toutes les descriptions arrivent prochainement dans le bestiaire, encore merci de votre patience ainsi que de votre participation ! ~ |
| | | Loumyneara
| Sam 14 Oct - 10:44 | | Irys : 269950
| MedryosArtiste : Inconnui Longévitéune quarantaine d'année, soixante pour les plus chanceux. Localisation géographique & mode de vieAsl'Kholyn, pres de Kashin. On sait assez peu de choses de leur mode de vie actuel. Autrefois, avant que l'on ne considère l'espece comme éteinte, c'était l'une des créatures les plus insolites qui peuplaient la planète. La première chose qui permet de l'affirmer est leur capacité à parler un langage articulé. Leur langage est basé sur une syntaxe simple. Ils vivent en une sorte de mini-société assez primaire, exception faite de quelques rebelles menant une vie à l'écart. Ils sont fascinés par tout ce qui est matériel et ayant un usage dans la vie de tout les jours chez les hommes. Leur attirance s'oriente principalement sur tout ce qui est brillant, c'est ainsi qu'ils désignent le chef d'un clan. Celui possédant le plus grand nombre de bien brillants devient le chef. Ils sont en éternelle quête de richesse, dans un but purement ostentatoire. N'étant pas des artisans ni des mineurs, ils se les procure par le seul moyen possible : Le vol. Cela ne serai pas possible sans leur aptitude particulière. ReproductionLe système de reproduction est similaire à ceux des mammifères, très étonnamment, puisqu'il s'agit de reptile. Caractéristiques physiquesIls sont de petites tailles, environ un mètre de long. Ils n'ont rien de bien particulier, ce sont des reptiles à la peu lisse comme un serpent, et possédant deux grand yeux, de diverses couleurs, mais plus généralement gris laiteux. Ils sont soutenus par de fines pattes musclées, qui leur offre une bonne agilité. Elles sont en outre pourvues de petits crochets leur permettant de grimper sur n'importe quelle surface à la verticale. Ils sont également pourvus de trois appendices complètement inutiles sous la gueule. Leurs oreilles sont longues et ils ont plusieurs paires d'ailes atrophiées ne leur permettant pas de voler. Sur le plan interne, ils faut savoir qu'ils sont dotés de cordes vocales et d'une musculature faciale identique a celle d'un être humain. TailleEnviron un metre de long pour seulement une quinzaine de centimetres au garrot. Caractéristiques psychologiquesIl est difficile de parler des caracteristiques psychologiques de l'animal tant elle diffère d'un individu à l'autre, comme c'est le cas chez l'homme. Néanmoins, chacun d'eux, comme il a déjà été dit sont très attiré par tout ce qui brille. On peut donc en déduire qu'ils sont tous plus ou moins cupides, même s'ils n'en ont aucun usage. CapacitésIls peuvent devenir invisibles. Leur corps est composé d'énormément de pigments qu'il sécrète, leur permettant de se fondre complètement dans un décor. Il ne s'agit pas d'invisibilité a proprement parler, mais leur habileté est telle que la différence est minime. En ce qui concerne l'image en revanche, je suis bien embetée. Parce qu'il s'agit en fait de la créature sur les épaules du personnage de mon avatar. Cet avatar étant issue de la galerie d'un artiste qui m'est inconnu, je serai bien en peine de trouver une autre représentation de cette. |
| | | Amisgal
| Dim 15 Oct - 17:37 | | Irys : 269947 Profession : Façonneuse de climats
| LoumynearaPlusieurs choses vont être à revoir pour que je puisse valider les Medryos et qu'ils soient plus adaptés au monde d'Irydaë. Tout d'abord, tel que dit dans le formulaire, proposer des races intelligentes n'est malheureusement pas possible à l'heure actuelle, bien qu'il puisse s'agir d'animaux dotés d'un raisonnement assez pointu. Néanmoins, de là à être nommés "peuple", posséder des castes et parler un langage humain et compréhensible... Il faudra revoir leur organisation hiérarchique à la baisse. Notre bestiaire n'est à l'heure actuelle composé que d'animaux sauvages, avec tous les instincts et la bestialité qui leur sont liés. =) Par ailleurs, l'entièreté de la fiche gagnerait à être étoffée pour être plus harmonieuse avec la direction scientifique que nous avons souhaité donner à nos sujets, et que tes descriptions puissent donner toutes les informations nécessaires aux joueurs. Quel est le régime alimentaire des Medryos ? Comment et où vivent-ils (grotte, à l'air libre ? Ils doivent avoir des prédateurs ?) ? Sont-ils en tribus ? Combien d'individus ? Comment survivent-ils à la neige omniprésente, en tant que reptile ? D'ailleurs en sont-ils vraiment ? J'avoue que cette mention d'une reproduction semblable aux mammifères m'intrigue et mériterait d'être décrite pour expliquer le phénomène. De la même manière tu ne fais mention nulle part de leur potentiel apprivoisable, et de leurs relations avec les hommes et les autres animaux environnants. Quelle est leur vie quotidienne dans un milieu aussi hostile que celui d'Als'kholyn ? Il pourrait également être très intéressant d'introduire quelques idées d'utilisation de matériaux issus d'un tel animal. Sa faculté de camouflage pourrait par exemple être chèrement vendue sur les marchés noirs d'Aildor ! Il y a ainsi toute une multitude de choses à dire qui pourrait venir compléter le squelette de ta fiche. N'hésite pas à lire ce que les autres joueurs ont proposé avant toi, cela te donnera peut-être de nombreuses idées. Enfin, par rapport aux images, j'en ai trouvé deux qui pourraient faire l'affaire en cherchant "caméléon fantasy" sur google. A voir si elles te conviennent en tant que créatrice des Medryos ! |
| | | Loumyneara
| Lun 16 Oct - 15:44 | | Irys : 269950
| Bonjour bonjour.
Comme je vous l'avais déjà dit, Loumyneara, ainsi que son Medryos (Qui s'appelait originellement des Maälmaks.) sont des créations que j'ai faite il y a de cela cinq ou six ans et auxquelles je suis très attachée. Loumyneara avait l'avantage, à quelques détails près, d'être aisément adaptable dans votre univers. Ce qui n'est manifestement pas le cas des Mäalmaks.
Aussi, vous comprendrez que ce n'est pas de la mauvaise volonté, mais un attachement trop prononcé à la créature originelle qui font que je refuse catégoriquement de la changer un tant soit peu. J'aurais pu l'étoffer, ça oui, mais je ne peux me résoudre à en changer son essence même.
C'est pourquoi je renonce purement et simplement à cette créature, que j'ai d'ores et déjà fait disparaitre du passé de Loumyneara, et que je retire donc du bestiaire.
En esperant ne pas vous avoir heurté.
Bonne journée. |
| | | Amisgal
| Lun 16 Oct - 18:30 | | Irys : 269947 Profession : Façonneuse de climats
| Il n'y a aucun souci, je comprends tout à fait et c'est tout à ton honneur. Merci d'être passée prévenir ! |
| | | Invité
| Dim 19 Nov - 22:21 | | | Bonjour, comme indiqué en réponse à ma question je viens proposer ici une petite créature que je souhaite intégrer à ma fiche. Si tout va bien et que cette petite bête est acceptée ma fiche ne devrait pas tarder à suivre =) Aitah Artiste :J'ai cette image depuis plus de dix ans sur mon pc et impossible de savoir d'où elle vient =/ L'image originale : - Spoiler:
LongévitéIl est difficile de déterminer exactement la longévité de cette espèce, son taux de mortalité étant assez important. Les scientifiques parlent de dix à quinze ans pour les individus sauvages alors que certains specimens familiers ont dépassé les quarante ans. Localisation géographique & mode de viePetit animal des forêts, on le trouve principalement sur My'trä dont il est originaire mais certaines populations auraient aussi été observées sur Daënastre et Nislegiin. Ils vivent par petits groupes de dix ou quinze individus sur un territoire de quelques kilomètres carré, dans les arbres, des grottes ou dans des terriers, à leur convenance. Animaux diurnes, il n'est pas rare d'en observer quelques uns jouant dans les sous-bois le long des routes, ou se baignant au bord des lacs et des rivières. Animal très sociable ne supportant pas la solitude, vous ne verrez jamais un individu seul. Ils se trouvent toujours par deux ou trois dans toutes leurs activités que ce soit la cueillette de fruits ou la chasse d'insectes et autres lombrics que l'on peut trouver sous les pierres ou sous l'écorce des arbres. Il leur arrive aussi de manger les feuilles sucrées de certaines plantes. Il n'est d'ailleurs pas rare que les jeunes aitahs s'empoisonnent en voulant essayer une nouvelle plante à l'odeur alléchante ! Leur pelage est soyeux et doux pendant la belle saison mais s'épaissit et devient plus hirsute en période hivernale, blanchissant quelques peu dans les zones les plus froides sujettent à d'importantes chutes de neige. Pour affronter l'hiver, comme ses cousins écureuils, toute la troupe d'Aitahs stocke des fruits secs dans une cachette, souvent sous terre, pour passer l'hiver où la nourriture se fait plus rare. ReproductionComme cité plus haut, les aitahs vivent en groupe de 10 à 15 individus adultes. Aucune fidèlité n'est observé entre les membres d'une même bande, lorsque les périodes des amoures débutent, en décembre et janvier puis entre mars et juin, les femelles choisissent un mâle avec lequel s'accoupler. Si elles sont plusieurs pour le même mâle, elles se confrontent en effectuant une parade amoureuse que les scientifiques qualifient de danse. A l'issu de cette parade, le mâle choisi la femelle qui lui a le plus plu et les femelles restantes doivent choisir un autre mâle. La gestation de ce petit mammifère dure approximativement quarante-cinq jours et les portées se composent de deux à six petits qui naissent presques nus. Chaque mère s'occupe de ses petits jusqu'à leur sevrage vers trois mois. Ils demeurent quelques mois de plus dans le groupe avant de choisir s'il préfèrent rester ou partir. Les jeunes femelles sont fécondes à partir de dix mois et peuvent procréer une quinzaine d'année, les mâles sont sexuellement matures vers huit mois et sont fertiles toute leur vie. Les scientifiques n'ont observé aucun coït entre individus d'une même famille lorsque certains petits de l'année précédente ont choisi de rester. Ils préfèrent naturellement s'accoupler avec des membres qui ne partagent aucun lien de parenté avec eux. Il n'est pas non plus rares que de nouveaux aitahs d'autres territoires les rejoignent en période de reproduction. Caractéristiques physiquesLes aitahs pèsent entre 500 et 650 grammes pour une longeur de la pointe du nez à la queue qui peut atteindre jusqu'à 70cm. Leur pelage possède une variante de teinte allant du sable clair presque blanc au doré cuivré presque roux. Ils possèdent des zones plus claires entre les cuisses et sous la machoire et il est possible de trouver des individus avec un poitrail parsemé de poils blancs. Certains chercheurs en auraient aussi trouvé avec des teintes tirant sur le gris cendre aux abords des zones rocheuses mais il n'a pas encore été établi si ces individus plus craintifs appartenaient à la même espèce ou à une espèce cousine. Les yeux sont en forme d'amande, très sombres avec des pupilles longues et étroites que l'on distingue à peine et sont situés de chaque cotés d'un museau fin et court se finissant sur une truffe noire humide et étroite. Les oreilles sont longues, droites et effilées et l'intérieur est protégé de l'intrusion de plantes ou d'insectes par de nombreux poils. On aperçoit deux petites cornes effilées situées sur le sommet du crâne de la plupart des individus. Leurs pattes arrières sont puissantes et leur permettent de bondir sur une branche en hauteur ou de fuir rapidement en longues foulées de course. Leurs griffes sont rétractiles et solides, leur permettant aussi bien de grimper dans les arbres que de creuser le sols. TailleFemelle : entre 40 et 50 cm de hauteur Mâle : entre 30 et 42 cm de hauteur Caractéristiques psychologiquesQui n'a jamais entendu l'expression "Etre bête comme un aitah" ? En réalité ces petites créatures ne sont points stupides mais leur trop grande curiosité les conduisent souvents à mourir bêtement et prématurément. Il est pourtant l'un des seuls mammifères avec le chien, le dauphin ou encore le cheval à être capable de créer un language inter-espèce pour communiquer avec les êtres humains. Il est assez facile de lui apprendre quelques tours ou d'en faire un compagnon fidèle, ce qui fait de lui un bon candidat en tant que familier. Les aitahs sont des animaux insouciants qui passent l'essentiel de leur vie à manger, dormir et jouer. Ils règlent leurs conflits de manière pacifiste grace à des chants et des danses. Ils possèdent une excellente capacité d'adaptation aussi bien lorsqu'il s'agit de coloniser un nouveau territoire, de trouver de nouveaux mets à se mettre sous la dent ou d'affronter une situation inconnue. Ce sont des animaux sociables qui n'aiment pas la solitude. Un seul compagnon suffit cependant à les satisfaire lorsqu'il s'agit de laisser leur curiosité les mener à explorer les alentours. Le partage semble être important pour cette espèce qui fait ses stocks et ses réserves pour l'ensemble des membres et non de manière individuelle. Malgré son caractère insouciant, il n'est pas rare de voir un aitah s'occuper d'un autre malade ou blessé ou même simplement pour un brin de toilette mutuelle. Chaque membre du groupe semble avoir un rôle et une importance égale, les scientifiques ne parvenant pas à déterminer la présence ou non d'un invidu dominant. CapacitésComme cité plus haut ils s'adaptent facilement sur un nouveau territoire et sont capables de vivre aussi bien sous terre, que dans une grottes ou dans un terrier. Ils sont bons sprinters et bons grimpeurs. En tant que familiers, ils apprennent des tours assez rapidements (mais pas grand chose d'utile). |
| | | Alises Torouciave
| Mer 22 Nov - 22:05 | | Irys : 670200 Profession : Scientifique : zoologue
| Voilà j'ai apporté les modifs demandés. J'espère que cela conviendra |
| | | Amisgal
| Jeu 23 Nov - 17:26 | | Irys : 269947 Profession : Façonneuse de climats
| Astère Dewlenn Je valide ton Aitah, je l'ajoute dès que possible au bestiaire officiel !
Alises Torouciave Tout est parfait, félicitations pour cette nouvelle découverte des Shishülions !
Un poste rapide et efficace en somme, j'ajoute nos nouvelles bestioles très bientôt, merci à vous deux. ~ |
| | | Benedict O'enhärt
| Sam 9 Déc - 14:23 | | Irys : 182876 Profession : Historien - Homme de Science - Ecrivain
| MànanArtiste : H. P. Lovecraft ? LongévitéChez les Mànan, la durée de vie dépend beaucoup du milieu de vie de l’individu. Ainsi on peut estimer le minimum autour d’une dizaine d’année, jusqu’à un maximum d’une trentaine voir d’une quarantaine d’années (10-40 ans) Localisation géographique & mode de vieIl est difficile d’estimer avec précision depuis quand cette espèce existe, de paire avec cette remarque, il est difficile de déterminer avec précision les lieux de vie de l’espèce. S’adaptant avec une rapidité remarquable à son environnement, cette espèce peuple une grande partie de notre monde aujourd’hui bien que la représentation de cette espèce soit limité à quelque zone où leur densité est plus élevée à savoir : My’trä (Forêts principalement, on notera toutefois une concentration particulièrement importante à l’est du Kharaal Gazar et autour des points d’eau de Suhury, position d’apparition soupçonnée), Nislegiin (Principale zone de densité, la population de l’espèce en Nislegiin est la plus nombreuse dans le monde), Daënastre (Jungle de Katter, et Forêt de Kyaz en priorité, même si l’espèce peut être aperçu un peu partout). La population est cependant complètement nulle au niveau d’Als’Kholyn et de Zochlom, où l’espèce n’a visiblement jamais été implanté ou n’y a pas survécue. Il est important de souligner qu’il s’agit d’une espèce qui apprécie particulièrement l’humidité, lorsque l’air est humide la probabilité de croiser un Mànan est grandement augmenté puisque c’est dans ces périodes qu’ils se déplacent le plus souvent, même si certains groupes dérogent à cette règle. En effet il est important de définir plusieurs groupes à cette espèce, des groupes que l’on peut comparer à des races (de chiens, par exemple). En effet, là où leur milieu de vie a tendance à influer sur leur espérance de vie, leur lieu de vie définie aussi ces groupes qui vont avoir des variantes de caractères voir parfois de comportement. On distingue ainsi les Mànan-Khuït, ceux qui vivent aux abords des montagnes et dans les terres glacées à l’ouest de Zagash, de Khurmag ou à l’ouest de Nislegiin mais aussi dans les régions Daënars d’Hinaus et de Vereist. Les Mànan-Aashtaï qui vivent à l’est de Zagash, dans les régions de Suhury, de Zolios, de l’est du Kharaal Gazar, à l’est de Nislegiin ou encore dans les régions du Tyorium, d’Alexandria ou de Rathram. Enfin, on distingue les Mànan-Khaluun vivant dans le désert brûlant du Kharaal Gazar. L’espèce des Mànan a la particularité de s’adapter à son environnement. Cela ne s’arrête pas à la simple adaptation alimentaire, ou au fait de s’adapter à la chaleur de l’endroit mais bien à un adaptation si poussée et complexe que les différentes races de Mànan ne pourraient pas toujours survivre à une inversion hypothétique des climats. Les Mànan-Khuït, favorisant les lieux froids et dont en permanence humide semblent avoir appris au fil de leur évolution à se nourrir des vers et insectes cachés sous la couche froide de neige, grâce à leur longue langue c’est une source d’alimentation aussi riche que suffisante qu’ils réussissent parfois à compléter avec des aliments autre tel que d’autres animaux dont la chasse n’est pas risquée. Les Mànan-Khuït vivent le plus souvent par groupe de deux ou trois individus, et ne se séparent jamais de sorte qu’il est très rare de trouver un Mànan-Khuït isolé. Apprentissage né au fil de leur évolution, ils ont appris que la terre promet un lieu de repos bien plus chaud que la surface, tout en pouvant être humide à souhait, ainsi cette race de Mànan a apprit non pas à trouver des grottes mais bien à creuser des troues dans des zones de terre meuble. Ayant généralement une entrée de grande taille, il n’est pas rare de tomber sur des terriers de Mànan au cours d’une balade. Les Mànan-Aashtaï favorisent les lieux tempéré et où l’humidité est modérée mais régulière. De ce fait, leur position serait la plus enviable. La majorité des penseurs avancent le fait que les Mànan-Aashtaï soit l’origine même des Mànan, et que les autres races ne sont que le fruit du déplacement de cette race originelle. Thèse non vérifiée mais restant tout à fait possible, cette race précise n’a pas eu grands efforts à faire pour s’adapter à son environnement, étant le plus neutre si l’on peut dire les Mànan-Aashtaï auraient pu simplement se contenter de copier la façon de faire des autres espèces. Cependant on note que l’espèce a une préférence en matière d’alimentation pour les fruits et les herbes. Chose assez surprenante au vu de leurs attributs défensifs. En moyenne un Mànan-Aashtaï se nourrit d’une quinzaine de fruits par jour, accompagné de certaines herbe que l’on sait aromatiques mais aussi fortes en odeur. Cette race n’hésite cependant pas à accompagner ses repas fort en fruit d’un peu chair animale, utilisant alors leur longue langue pour attraper des poissons dans les lacs et rivières. A la manière de ragondins, les Mànan-Aashtaï érigent leur lieu de repos aux abords des lacs et zones d’eau. Ces derniers arrachent de leurs griffes des herbes hautes et des branches de sorte à construire un nid de branchages et de feuillage dont la forme ressemble à celle d’un nid de rat. Généralement placé derrière une barrière végétale de roseaux et de fougères, les Mànan profitent d’un repos à la belle étoile qui leur permet d’entendre le moindre pas autour d’eux, pour ainsi guetter la venu d’un prédateur. Le cas le plus spécifique est sans doute celui des Mànan-Khaluun, car même si vivre dans le désert est une chose, y survivre y est tout autre. Et pour appuyer ce fait, la mortalité des Mànan-Khaluun est bien plus élevé que celle des autres races peuplant le monde. Mais cela n’empêche pas la survie d’un grand nombre de représentants de la même espèce et par extension de la même race. En effet de par leur mode de vie les Mànan-Khaluun sont les plus exposés aux risques de déshydratation et de malnutrition, mais de par leur capacité à s’adapter à leur environnement, les Mànan-Khaluun sont parvenu à s’assurer une source inépuisable de nourriture. Il s’agit du sable, enfin pas vraiment, de ce qu’il y a dans le sable en réalité, de minuscules insectes qui vivent dans les grains de sables par colonies de centaines, voir de milliers. Grâce à leur longue langue, les Mànan-Khaluun vont creuser le sable à la recherche de ces petites créatures pour s’en nourrir. Il s’agit là d’un nourriture abondante mais difficile à atteindre, aussi les Mànan-Khaluun passent généralement leurs journées entiéres à se nourrir. Leur anatomie particulière leur permet d’ignorer l’influence de la chaleur et de la froideur de la nuit, aussi surprenant que cela puisse paraître. De fait les Mànan-Khaluun se plaisent à dormir à même le sol, ou dans le pire des cas à creuser le sable pour former un petit cratère où s’allonger. Plus généralement, les Mànan quelque soit leur race et donc leur mode de vie passe la majorité de leur journée à se nourrir, et le temps qu’il leur reste est utilisé à la recherche d’un partenaire et/ou à l’élevage de leurs petits. ReproductionToutes les races de Mànan ont au moins le point commun d’avoir une vie “familiale et sexuelle” similaire. En effet qu’importe la race, vous verrez toujours les Mànan se déplacer en groupe de deux ou trois individus. Un mâle, une femelle et possiblement un jeune Mànan. Il est important de savoir que chez les Mànan c’est la femelle qui domine le couple, c’est à dire que c’est la femelle qui choisit quand sortir pour aller ramasser de quoi se nourrir, quand aller marquer le territoire alentour pour éloigner les prédateurs potentiels, quand se reproduire etc. De cette façon, il est très difficile de définir une période des amours au sein des groupes Mànan, car c’est une période qui dépend surtout de l’envie de la femelle. Cependant il est à noter que l’accouplement est une activité presque quotidienne chez les Mànan, fait explicable notamment par deux possibilités. Il est possible que les Mànan aient une activité sexuelle particulièrement forte, mais il est plus probable que la chance d’enfanter de la femme soit si basse que cette régularité a pour but d’augmenter ces chances. Comme il a été dit, dans le couple Mànan la domination est celle de la femelle. Cette domination est visible notamment par la force caractérielle des femelles mais également par le biais de jeux de domination très fréquents entre les deux membres du couple, jeux très majoritairement gagnés par la femelle. C’est à l’occasion de ces jeux que la femelle peut décider simplement de faire une nouvelle tentative dans le but d’enfanter. La période de gestation chez la femelle Mànan dure entre 5 et 7 mois et la portée ne se comporte que très rarement de plus d’un individu. Le bébé Mànan est pris en charge jusqu’à l’âge de trois ans, où ce dernier est censé être apte à la chasse et à la survie seul. C’est à cet âge que celui-ci se retire généralement du couple Mànan pour vivre sa propre vie et trouver lui même un conjoint. Il est à noter qu’un Mànan ne reste jamais seul bien longtemps, du fait de la bonne représentation de l’espèce il est rare de voir un Mànan chercher un conjoint plus de quelque semaines. Caractéristiques physiquesIl est important en premier lieu de préciser que l’organisme des Mànan est trés résistant à la maladie. En réalité pour diverses raisons le Mànan est considérer comme l’une des créatures les plus solides, il est ainsi rare qu’un Mànan décède d’une cause autre que la simple vieillesse. Les Mànan sont couvert de sorte de carapaces, le mot est assez mal choisi cependant parce qu’il s’agit en réalité de la même matière que celle des ongles humains à la seule différence que les plaques formées sont bien plus solide qu’un ongle, pouvait résister au fer comme à l’acier. Cette sorte de carapace épouse parfaitement la forme du corps de l’espèce de sorte qu’elle ne ralentit pas sa course et lui assure une protection des plus honnêtes. Cette carapace s’étend sur tout le dos de l’animal et s’arrête au niveau de ses hanches, elle remonte jusqu’au niveau de ses pattes avant mais ne couvre pas son cou ni sa gueule. Il est important de noter également que le corps et l’organisme des Mànan est fait de sorte à pouvoir stocker une grande quantité d’eau. Leur corps en ayant tout autant besoin que les humains, les Mànan sont capable de stocker plus de liquide et surtout de réduire l’utilisation qu’ils en font pour l’utiliser au moment le plus opportun, comme par exemple lorsqu’il est question d’une fuite. Les Mànan ont des oreilles placés juste au dessus de leurs tempes, prenant la forme d’ovales creusés dans leur crâne au fond duquel est présente une fine membrane. Autant dire que le sens le moins protégé chez le Mànan est l'ouïe. L’odorat des Mànan est basée sur un nez composé de trois narines disposé juste au dessus de sa gueule et tout à fait plat. Sa vue est basée sur ses deux yeux qui ressemblent en tout point à ceux d’autres espèces du même type, il est à noté que la population Mànan a pour sa grande majorité des yeux aux pupilles grises. Pour seul moyen de défense, le Mànan compte sur de solides griffes qui s’allongent sur quelque cinq centimètres. Pour la chasse ils peuvent cependant compter sur leur longue langue qui bénéficie d’une souplesse des plus remarquables, il semblerait en effet que les Mànan soient capable de l’articulier comme ils l’entendent. TailleUn Mànan fait en moyenne un mètre cinquante de long (1m50) sur un mètre de haut (1m). Il est à noter que sa langue qu’il peut dérouler et qu’il tient généralement enrouler dans sa gueule peut se déplier sur quelque 40 centimètres. Caractéristiques psychologiquesLes Mànan sont des créatures trés prudentes. En effet là où d’autres espèces traversent forêts et prairies à pleine course en espérant en pas être rattrapé par un possible prédateur, les Mànan eux se déplacent incroyablement lentement, ils semblent veiller à chaque pas et utilisent bien souvent l’environnement à leur avantage en passant de feuillages à feuillages ou en utilisant toute cachette imaginable pour guetter les alentours. On peut considérer cette prudence comme de la peur, et en effet le premier réflexe d’un Mànan face à une créature qu’elle ne saura pas identifié comme inoffensive sera de prendre la fuite en se glissant dans la végétation ou en grimpant aux arbres pour se placer hors de portée. Il est à noter que les Mànan n’attaquent jamais d’autres animaux si ce ne sont des poissons. Récemment, des recherches ont été menées sur cette espèce particulière, et finalement il a été découvert qu’il est possible d’apprivoiser un Mànan dans le but d’en faire une monture. Aussi incroyable que cela puisse paraître, il existe certains cas et surtout une manière de faire pour qu’un Mànan autorise une créature à s’approcher de lui. Ainsi pour cela un Mànan doit être seul, ce qui est plutôt rare. Pour l’approche, la manière de faire est simple mais nécessite de nombreux prérequis. En premier lieu il est indispensable de localiser un Mànan seul sans que celui-ci ne remarque l’éleveur. Ensuite l’éleveur devra faire un bruit suffisamment fort pour être entendu mais pas assez pour être appréhender comme une agression. A ce moment là le Mànan réagira instinctivement, il posera son regard pour identifier la créature et s'il la juge trop importante prendra la fuite. L’éleveur devra alors s'asseoir en tailleur dans le plus grand des calmes pour se placer à la hauteur du Mànan. Si le Mànan est un peu plus téméraire que ses confrères il envisagera alors de s’approcher de l’éleveur. Ce dernier pourra alors avec force de lenteur, de patience, et de douceur le nourrir de fruit, et à terme lui prodiguer quelque caresses sur la gueule et le flanc. Après quelque longs instants, le Mànan reculera instinctivement pour aller reprendre le cours de sa journée. Si l’éleveur à la volonté de l’apprivoiser, alors il devra revenir régulièrement au même endroit que la première fois, et exécuter la même action. Doué d’une certaine mémoire, le Mànan reviendra lui également au même lieu si l’attention de l’éleveur a été assez marquante. Au fur et a mesure des rencontres le Mànan pourra développer une certaine affection pour l’éleveur et pourra alors décider de le suivre tout simplement, il vaudrait mieux alors avoir déjà aménagé un lieu de repos pour ce nouveau compagnon qui se laissera monter après quelque exercices. Il est conseiller avant de tenter de monter l’animal de l’habituer à porter des charges plus ou moins lourdes, c’est un exercice quotidien qu’il n’aura aucun mal à exécuter et qu’il exécutera trés volontier contre rémunération alimentaire. Au terme de quelque semaines, il est possible de faire les premiers essais, et c’est alors que le lien d’affection entre l’éleveur et le Mànan prend tout son sens car ce dernier est alors capable de comprendre instinctivement l’éleveur de par son rythme cardiaque, sa respiration, ses gestes et sa voix. CapacitésLes Mànan sont capables d’une capacité des plus impressionnante pour quelqu’un qui n’y est pas préparée, cependant n’y voyez là rien de psychologique ou de magique. En effet le corps du Mànan comme il l’a été dit a tendance à pouvoir stocker énormément d’eau sans pour autant l’utiliser. Ainsi, dans une situation de stress, de peur, en bref dans une situation ou un Mànan doit ruser pour s’en sortir et où il mourra s'il échoue, le Mànan a la capacité de vider son corps de l’eau en trop qu’il stocke, cette eau prendre alors la forme de vapeur d’eau qui de fait rendra les alentours brumeux et plus favorables à la cachette et à la fuite. C’est une capacité des plus efficace et encore jamais vu chez un animal. Il est à noter que c’est un procédé qu’il est impossible d’apprivoiser, un Mànan est donc incapable de déclencher ce fonctionnement sur l’ordre de son maître et ne le fera que pour sauver sa propre vie, ou si il a vraiment une grande complicité avec son maître, celle de son maître. Outre cette capacité des plus surprenante, les Mànan n’ont aucune capacité qui sortirait du commun ou qui serait spécialement remarquable, si ce n’est celle de pouvoir atteindre des pointes de vitesse très hautes pour fuir ou couvrir rapidement une grande distance et celle de pouvoir supporter des poids assez conséquents sans broncher, même si au delà d’un certains poids ses mouvements en seront fortement ralentis. |
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