| | Orshin
| Sam 11 Juil - 0:06 | | Irys : 120177 Profession : Passeur de balai
| Chronique RAPPEL : Soyez imaginatifs, ne restez pas accroché sur des acquis que le sujet semble vous délivrer, vous n’êtes pas obligé d’être amical avec votre contrepartie, la réciproque est vraie, on ne peut que vous conseiller de ne pas prendre les épreuves trop littéralement, mais de tout de même respecter les consignes pour ne pas faire un hors-sujet Description :Les chroniques, on en croise encore au quotidien. Les critiques que l’on lit, les avis que l’on entend, les histoires que l’on nous raconte … l’un de vous devra faire découvrir quelque chose de votre univers à votre partenaire, quelque chose ou quelqu’un. Votre partenaire lui, devra réagir face à cette découverte de la manière qui lui semblera la plus appropriée. Veillez à bien choisir ce que vous souhaitez montrer à votre ami inconnu, qui sait comment il pourrait le prendre, après tout, il y a des mœurs qui sont bien écartées des vôtres. |
| | | Fiora Laurent [VB]
| Dim 12 Juil - 15:37 | | | - Qui suis-je ?:
Cette humble demoiselle ne vous laissera pas de marbre, ne serait-ce part sa beauté froide, de sa vivacité d'esprit ou de son maniement de la langue aussi acérée que la lame de sa rapière, arme de prédilection de la Combattante.
Née dans un monde imprégné de magie, sans être touché par cette dernière, vivant au sein de la Grande Cité patriarcale de Demacia, elle est une fière et Honorable Noble d'une Grande Famille, les Laurent.
Fiora est une anomalie pour ses paires. Chef de sa Maison, de sa propres famille, fonction normalement réservé aux mâles dut à la société demacienne.
Mademoiselle Laurent, est non seulement, garante de son Nom, mais aussi La Duelliste la plus réputé, car étant invaincue depuis le jours funeste où sa lame transperça le cœur de son père afin de Laver Dans Le Sang l'opprobre qui c'était abattue sur leurs famille.
Ce qui eu pour effet d'attirer l'attention de l'Institut de la Guerre (l'équivalent booster aux stéroïdes de l'ONU.) sur elle, la menant à devenir l'une Championne, l'une des nombreuses représentantes des affaires de Demacia aux seins des Combats D'Arènes, dans un lieu nommé "Les Champs de Justices", endroit où se déroule les combats organisé, afin de régler les nombreux litiges et autres conflits d’intérêt entre les différentes nations qui composent Runeterra. 1072 MotsUn jeune homme, vêtit d'habit simple de voyage, traversait les allées et les rues de la grande Cité-Etat de Demacia. Allant de passant à passant, hurlant ou charmant à qui veut bien l'entendre. " Venez récupérer votre exemplaire de notre Chronique locale, Le Griffon Blanc ! Venez découvrir ce qui par le passé à aujourd'hui marqué le présent ! 3 Pièces d'or la Chronique, n'hésitez pas, pour 3 pièces d'or et elle vous dévoilera une partie de ce qui fût." Le crieur brandissait fièrement avec entrain et joyeuseté un parchemin, montrant ou lisant à tous ne sachant point déchiffrer, pour la moitié d'une pièce les écrits. 29 Février, 21 CLE
Demaciens, demaciennes, Vous voici en possession d'un exemplaire de la Chronique du Griffon Blanc. Nous vous remercions de ne point jeter sur la voie ceci-papier. En ce jour anniversaire, vous voici gracier d'une nouvelle qui ravivera les flammes de bon nombre de rumeur, servant de fouaille aux ragots des mégères et des mendiants, mais ne vous laissez point emporter par leurs langues et lisez. "Soyez ravis, car en se jour spéciale, où le sang d'un Laurent lava celui d'un autre ! Soyez attentif, car en se jour spéciale, où la Maison Laurent reçut comme tête une femme ! Soyez réactif, car en se jour spécial, où la Justice se fut à la pointe de la rapière !"Mais ! Rappelons tout d'abord, Sebastien Laurent, chef de son état de sa famille, dans son don d'alliance avec une branche Crownguard, mentionne le mariage de sa fille, Fiora, avec droits et consentement de la couronne. "C'est de part la grâce qu'apportent nos deux Maison, que nos fruits pourrons être récolté."Courant d'été, La rémission bien connue sur Fiora Laurent, fille du seigneur Laurent, envers Ezio Crownguard Lettre de grâce à l'adresse des juges, autrefois accordées par le roi en faveur d'une réparation d'affront, n'as pas su satisfaire les besoins immédiats à l'encontre des actions concernant la cadette Laurent. La scène se déroule près de "l'hostel de la Ronse."Le refus d'alliance favorable aux deux Maisons, avec l'humiliation publique devant assemblée, outrage aux règles fondamentale de la bien séance demacienne, sur la personne d'Ezio Crownguard. La fautive, Est alors mise en contraintes envers la Cité et de facto, les Crownguard, ne pouvant quitter les Terres demaciennes sans lettre de marque du Roi, Jarvan III. Découlant desquelles, Dans son orgueil, déclare, Le Jour venu, alors que les invités commencent à arriver, "Qu'elle mourrait plutôt que de se disgracier en laissant quelqu'un prendre la main haute sur sa vie." De plus, dans sa continuité, "Savoir se battre en duel et même, défaire dans l'honneur, sieur Ezio." Heureusement, de nos règles elle ne s'est pas échappée et depuis laissée son père s'amandier de laver cet affront. Un Héraut, vétéran choisis avec soin, Parmi la Maison essuyant l'affront se doit d'user lame, comme le veut notre douce et noble coutume, envers le représentant de la Famille du partie adverse, en la personne de Sebastien lui-même. "Le Duel devait se tenir le lendemain des délibérés."Hélas ! La nuit précédant le dit duel, sieur Sebastien, a tenté de droguer son adversaire pour amoindrir ses réflexes, sa couardise prise sur le fait et mis aux arrêts de suite. "Comment un homme aussi charmant a-t-il put faire preuve d'une telle bassesse !"Notre loi est claire. Sebastien Laurent a enfreint le fondement même du code de l'honneur. Il sera humilié sur l'échafaud, pendu comme un criminel de droit commun. "Demacia n'offre pas de place aux lâches et aux traites. Ses actions son digne d'un agent Noxien !"La veille de sa mort, Dame Fiora a rendu visite à son père en cellule, mais ce qu'ils se dirent reste un secret pour tout autre qu'elle. Le jour suivant, La cadette des Laurent c'est approché des juges et leurs a parlé d'une ancienne loi presque oublié de tous, exigeant d'affronter son père dans un Duel à Mort et ainsi restaurer l'Honneur et la place de cette décadente famille. "Un Laurent lavera dans son sang l'affront d'un Laurent et ainsi obtenir réparation."Tous s'attendent à voir triompher le père sur sa fille, Mais que néni, cette dernière réussie à vaincre et même réclamer bien et tête de la Maison. "Moi, Fiora Laurent, gagnante du duel, j'ai le droit de réclamer selon l'ancienne règle de devenir la nouvelle chef de la Maison Laurent." Rien n'a pu préparer l’assemblée, Ni à un tel événement si singulier, ni à la brutalité douce qu'offre la Nouvelle Tête de la Noble et Repentie Maison. "Soyez en avertis, il n'est pas de bonne augure d’alimenter le feu justicier et ardent qui anime le cœur de Dame Laurent. Vous n'y trouverez que Mort et Disgrâce."En revanche ! De nos jours, Suite aux récentes acquisitions et ouverture de l'école d'escrime, quelques rumeurs, parfaitement infondées, circules sur les véritables motivations de notre Noble Dame, déjà sous le joug des délires aberrant des mendiants et autres personnes de peu d'Honneur. "Serait-ce par jalousie ou folie, que tous prétendant se retrouvent perdu et vaincu dans un jeu de court impossible ? Serait-ce dut a l'ultime discussion entre Dame Laurent et feu Sebastien ; Est-elle vraiment la fille de son idiot de père ? Serait-ce un tout autre motif, poussant cette dernières à protéger son honneur ; Nous sachons pas tous ici ce qu'une noble femme se doit de faire?"Tel sont les mots de Sieur Umberto, qui avec ses frères, se dirigent en se moment même dans la prestigieuse Salle des Lames de la Maison Laurent, afin d'affronter Dame Fiora. "De part un Duel, je souhaite réclamer réparation dans le sang afin de restituer l'Honneur qui a été bafoué par les calomnies honteuse et perfide de Sieur Umberto." Pourtant, Il reste encore des zones d'ombres, non concernant la légitimité de la naissance de la Tête Laurent, mais sur d'autre sujet déjà cité plus haut. Tant de mystère et si peux de place ! Mais sachez que votre fidèle chronique sera, en tout temps, toujours sur le qui vive afin de vous fournir information et éclaircissement sur des événements passés, influant sur notre présent. |
| | | Astriid Cëlwùn [Y&Y]
| Dim 12 Juil - 16:37 | | | - HRP:
Astriid Cëlwùn : Joyeuse et intrépide, Astriid est une jeune elfe qui n'a pas encore acquis la sagesse de son peuple. Idéaliste, elle rêve d'aventures et croit sincèrement en la bonté de chaque personne qu'elle rencontre. Née d'une famille sans histoires, émergeant tout juste de son pays surprotégé dans lequel elle a passé toute son enfance, son innocence peut porter à sourire. A l'image de sa race, elle est menue et elle a de longues oreilles. Race du personnage : Ygdraë, ce sont des elfes bénéfiques intimement liés à la nature. Univers : Fantastique & Magique où se mélangent plusieurs races, bénéfiques, maléfiques ou simplement neutres et la religion a une place importante dans les mœurs. D'ailleurs, il est fait mention dans ce rp des Ætheri ce qui correspond en gros aux divinités. Pour information, la Coupe des Nations est un concours aussi renommé que les Jeux Olympiques chez nous où les Ætheri choisissent un représentant de la race pour se mesurer dans une épreuve spécifique. Chaque race organise sa propre Coupe des Nations.
Perturbées par le soudain changement d'atmosphère, les longues oreilles d'Astriid s'agitèrent si vite qu'on aurait dit qu'un essaim bourdonnait sous l'épaisse crinière de la rousse. Son nez se fronça, s’accommodant aux nouvelles odeurs qui chatouillaient ses narines. Un regard sur la gauche puis sur la droite lui confirma que Raïm et le reste de son groupe n'étaient plus avec elle. Raïm allait être furieux. Intriguée, elle plissa les yeux et tournoya sur elle-même, ignorant les regards ennuyés des passants qui durent l'éviter. Elle se trouvait dans une sorte d'immense allée longiligne, droite et bordée de larges piliers parfaitement alignés. Partout où elle posait son regard, elle ne voyait que de grands édifices uniformes et impersonnels. Malgré les dizaines de livres de géographie sur lesquels elle avait fatigué ses yeux, elle ne parvenait pas à mettre le doigt sur le nom de ce lieu. Elle était cernée de toute part par la foule et par l'architecture oppressante de la Cité. Elle prit une grande inspiration pour calmer la panique qui montait en elle. L'artère ceinturée par les épaisses et lisses colonnes semblait refermer son piège sur elle, elle étouffait. C'était comme se retrouver dans une prison aux dimensions titanesques et un frisson lui parcourut l'échine quand la réalisation la frappa enfin. Malgré une imagination fertile, elle n'aurait pas été capable de rêver d'une telle chose et tout lui semblait trop réel pour que ce ne soit qu'une illusion de son esprit. Avec appréhension, elle comprit qu'elle avait probablement quitté son monde. La vraie question était de savoir pour quel dessein obscur les Ætheri voudraient l'envoyer ici ? Avait-elle une mission dont les détails lui échappaient ? Tout était trop propre, trop symétrique et ordonné. L'architecte de cette cité devait être un sérieux maniaque. Mais ce qui l'angoissait sans doute le plus était le manque de végétation. Habituée aux grandes forêts oxygénées de son pays natal, elle s'adaptait avec difficulté à ce nouvel environnement et elle soupçonnait que les rares espaces verts étaient en fait constitués d'herbe factice. La nature n'avait pas sa place ici. L'elfe frissonna à nouveau et cacha instinctivement ses oreilles sous ses boucles rousses. Elle se mordilla la lèvre nerveusement, Raïm lui manquait soudain cruellement. Avec détermination, elle frappa vivement ses joues, attirant le regard des locaux. Elle ne leur prêta aucune attention. Ce n'était pas dans sa nature de se laisser ainsi dépasser par les événements. Elle avait gagné la Coupe des Nations après tout ! Rien ne pouvait plus l'arrêter après ça. Carrant les épaules, elle s'encouragea mentalement. Elle n'avait aucune raison de s'inquiéter. Après tout, ce n'était pas la première fois qu'elle était téléportée contre sans gré et sans alerte préalable dans un endroit étrange. L'avantage c'est qu'ici, elle n'aurait pas à se battre. Ne cessant d'être bousculée, elle se laissa finalement emporter par la foule, ouvrant de grands yeux curieux sur la Cité, détaillant les visages inconnus. Ils n'avaient pas un profil menaçant ce qui était un soulagement. Au moins elle n'avait pas affaire à des monstres terrifiants. Encore traumatisée de sa dernière téléportation où elle avait été forcée de se battre, l'Ygdraë était même heureuse que l'épreuve qui lui était imposée par les Ætheri soit cette fois sur le thème de l'exploration, ses prières avaient du être entendues. Astriid déboucha enfin sur une grande place et sa bouche s'ouvrit toute seule devant le panorama qui s'offrait à elle. La tête renversée en arrière, elle admira les statues grandioses représentant des guerriers casqués. Cette grande cité écrasait trop par son immensité pour que ce soit au goût de l'Ygdraë mais elle devait reconnaître que c'était magnifique.
Son attention fut alors accaparée par un jeune homme criant à la ronde, agitant des feuilles sous le nez des habitants et offrant des sourires séduisants quand une personne s'approchait. Astriid fouilla dans ses poches et grogna en voyant ses maigres possessions. Une pièce d'or et une brindille séchée. Elle repéra une femme avec un enfant qui tenait une chronique et elle s'approcha aussitôt. La femme était plongée dans une discussion animée avec une amie et le petit garçon s'était accroupi pour tracer des dessins invisibles sur le sol, le parchemin froissé dans son petit poing. L'elfe plia les genoux pour se mettre à son niveau et lui adresser un sourire chaleureux. «Bonjour, je m'appelle Astriid et toi ?» Il leva des yeux méfiants vers elle. «J'donne pas mon nom à des inconnus.» Astriid sourit avec bienveillance. «Tu as bien raison, excuse-moi, je me montre trop indiscrète. Est-ce que tu lis cette chronique ?»«Non... Maman l'a déjà lue et elle me l'a donnée.» Il la fusilla du regard sous sa frange brune et ajouta, juste au cas où. «C'est à moi.» Astriid retint un gloussement et elle lui tendit sa pièce d'or. La main du garçon se referma sur la pièce mais il resserra sa prise sur la chronique. «Non c'est à moi et en plus t'as pas donné assez.»«Oui mais ta maman l'a déjà lue et en plus elle est abîmée» rétorqua-t-elle en pointant du doigt la chronique. Ombrageux, le petit garçon fronça les sourcils et Astriid se radoucit. «Faisons un marché d'accord ? Si ce que je te montre te plaît, tu devras me donner ta chronique.» Il acquiesça, sa curiosité piquée. Elle lui montra sa paume ouverte sur laquelle reposait la brindille. Elle se concentra, c'était un exercice qu'elle avait peu pratiqué. Sa main s'illumina d'une douce aura nacrée, papillonnant légèrement et sous les yeux ébahis de l'enfant, la brindille se remodela, l'écorce sèche gonflant comme si elle était animée de vie tandis que de petits bourgeons se développaient timidement. La sueur perlait au front d'Astriid mais elle l'ignora, c'était presque terminé. De petites fleurs de cerisier s'ouvrirent et la paume de l'elfe retrouva son apparence normale. Elle n'était pas parvenue à faire éclore tous les bourgeons mais elle avait réussi son but car le petit garçon s'empara de la branche avec une exclamation de joie. Il délaissa la chronique sur le sol et Astriid s'en saisit vivement avant d'ébouriffer les mèches brunes de l'enfant. Elle s'éloigna pour pouvoir lire en paix le parchemin.
Les rides s'accentuèrent sur le front de l'elfe au fur et à mesure qu'elle se plongeait dans sa lecture. Elle ne comprenait rien. Au moins elle tenait le nom de la Cité, Demacia. Joli nom mais elle ne connaissait pas. La famille Laurent devait être illustre pour que leur histoire soit ainsi dévoilée à la populace. Sûrement des nobles. L'auteur de la chronique semblait s'offusquer que ce soit une femme qui soit à l'origine de tous ces problèmes. Astriid ne comprenait pas cette insistance à montrer du doigt cette Fiora. Au contraire, de son point de vue, elle n'avait fait que subir les événements et se défendre. Il était inconcevable pour les Ygdraë de s'unir s'ils n'avaient pas trouvé leur âme-soeur et Fiora avait raison de refuser cette alliance si elle n'aimait pas cet Ezio. Au fur et à mesure de sa lecture, elle soutenait de plus en plus la jeune femme au tempérament bien trempé. Toutefois, la suite de la chronique la laissa sans voix. Elle n'osait imaginer la force d'esprit ou la folie qui avait possédé Fiora pour tuer son propre père. Prise dans le jeu de la médisance et des racontars, Astriid se surprit à s'interroger avec le reste de la population sur les motivations de Fiora. Elle mourrait d'envie de connaître la teneur de la discussion entre le père et la fille. Elle ne pouvait s'empêcher de se placer du côté de la jeune femme. C'était une guerrière et Astriid était plutôt admirative. Elle-même avait songé parfois à emprunter ce chemin mais ce n'était définitivement pas fait pour elle.
Beaucoup plus tard, un enfant parvint enfin à obtenir l'attention de sa mère pour lui montrer la jolie fleur qu'une inconnue lui avait offerte. La mère chercha du regard celle qui avait parlé avec son fils mais Astriid avait déjà disparu.
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