L'heure du voteLe concours est désormais clos, il n'est plus possible de participer. Place aux votes pour élire la créature de vos rêves ! Sachez qu'il est possible de voter pour plusieurs personnes afin que nous puissions établir un futur podium, n'hésitez donc pas à encourager vos trois créatures préférées. Nous rappelons également que le staff pourra trancher une égalité par un vote compte double !
Comment voter ? C'est très simple, un sondage sera proposé tout en haut de ce sujet jusqu'au
mercredi 8 novembre, date de la fin du concours. Ne vous trompez pas de créature ! Pour plus de fairplay, les noms des participants resteront anonymes jusqu'aux résultats finaux.
~ N'hésitez pas à réagir à la suite de ce sujet, merci à tous nos participants ! ~
CarlinLongévité12 à 15 ans mais le plus court sera le mieux.
Localisation géographique & mode de vieL’origine du Carlin est très lointaine ; il nous viendrait vraisemblablement d'Ekhlen et personne ne sait qui l'aurait aider ou comment à t'il réussi à transmigrer mais quoiqu'il en soit cette abomination est aujourd'hui présente sur tous les continents depuis trois siècles maintenant. Il fut un compagnon très à la mode des excentriques, des malades mentaux et des aveugles sourds et muets. Son mode de vie est très simple, vous faire vivre un enfer. Il vous suivra partout dans le seul but de vous rendre fou en faisant des bruits incessants, en salissant partout où il passe et en vous imposant son horrible physique dans la seule intention de vous culpabiliser. Il sera très affectueux pour mieux vous attendrir, voir même certains spécimens vont jusqu'à s'attaquer à votre famille en les amadouant avec pour projet de les éloigner de vous et de briser votre cocon familial.
ReproductionHeureusement pour l'humanité le Carlin n'est pas une bête de sexe, ces bêtes sont tellement désagréables qu'ils ont même du mal à se supporter entre eux. De ce fait la reproduction de ces ignominies est très laborieuse et doit souvent être aidée par la main de l'homme (loisirs préféré des gens qui prônent le chaos à l'échelle universelle). Aussi, l'appareil reproducteur du Carlin mâle est proportionnel à sa splendeur, en conséquence la petitesse de son pénis ne lui permet que rarement d'être un efficient reproducteur.
Caractéristiques physiquesLe Carlin est petit est compact, c'est un molossoïde de petit format. Il possède une face plate tout à fait abjecte et sa queue en forme de spire lui donne un air détestable à souhait. Ses poils sont courts, luisants et épais. Sa robe est noire, argentée ou fauve.
TailleIl ne dépasse pas les 40 cm pour le mâle et les 36 cm pour la femelle pour environ 8 kg.
Caractéristiques psychologiquesDépourvu de toute agressivité, il adore être le centre du monde. Les gens pense à tort qu'il n'a aucune personnalité car il ne fait que suivre celui qui croit être son maître mais c'est en réalité une bête égoïste qui ne pense qu'à accomplir son dessein d'aliéner la société.
CapacitésAvec son visage de martyr il peut facilement vous faire croire qu'il porte le poids du monde sur les épaules, ceci est son pouvoir mental principal. Il dispose ensuite d'un éventail de capacités physiques lui permettant de porter vos nerfs à bout. En effet, son museau plat lui permet d'avoir une respiration bruyante voir tintamarresque. Le deuxième pouvoir lié à son museau lui permet de ronfler quand il dort, qui, cumulé à sa respiration vous empêche d'être au calme de jour comme de nuit. Si cela ne suffisait pas son système digestif fragile lui donne la capacité spéciale de pouvoir faire des pets à volonté, cerise sur le gâteau de petites quantités de sulfure d’hydrogène et de mercaptans sont sécrétés en permanence dans son intestin ce qui fait que ses flatulences sont très odorantes. Si tout ceci ne suffit pas à vous faire abdiquer il peut développer deux autres capacités qui sont les rots ininterrompus et la bave persistante.
Le Rhastégoth- Avec annotations:
- Sans annotations:
Rastégoth
-Hauteur 3 à 4m
-Envergure 6 à 7m
-Dents acérées
-A première vue, elle ne possède ni yeux ni oreilles en revanche, elle a plusieurs cavités nasales sur le dessus du crane lui offrant un odorat très aiguisé
-Des restants d'ailes terminés par des os qui semblent avoir été taillés
-Membres supérieurs terminés non pas par des doigts mais par des griffes
-Hurlements stidents
-Tentacules articulées dont elle use pour saisir ses proies ou des objets divers
-Créature particulièrement hostile
-Il semblerait qu'elle se déplace par lévitation ayant une vitesse de pointe élevée
Le Croc’culotte Longévité : 1 an
Localisation : Partout en My’trä et en Daënastre
Reproduction : 1x par an durant le mois de novembre
Période d’hibernation : Toute l’année sauf les mois de novembre (période de reproduction) octobre (éducation des petits) voir début décembre (Retour à l’hibernation).
Caractéristique générale : Le Croc’culotte est un animal nocturne particulier, en effet ce petit tissuvore ne se nourrit qu’exclusivement de sous vêtement, qu’il soit masculin ou féminin. Sortant de son hibernation que 2 mois par an, il provoque durant cette période une véritable pénurie de sous-vêtements.
Caractéristique physique : D’une taille maximale de soixante centimètres de hauteur, sa largeur peut en revanche varier en fonction de ses trouvailles alimentaires. Il n’est d’ailleurs pas rare que suite à son obsession couplée à sa faim sans fin qu’il se transforme en véritable petite boule de poils tout en largesse. Le Croc’culotte possède deux yeux perchés sur deux longues antennes. Il est capable de voir dans l’obscurité, d’ailleurs l’adorable animal ne voit pas très bien pour ne pas dire pas du tout en plein jour. Recouvert d’un duvet particulièrement doux, la multitude de poils imperméables lui permet de résister à la fois aux fortes pluies, mais aussi aux températures les plus basses sans pour autant le faire suffoquer en cas de forte chaleur. Cette capacité d’adaptation lui permet de vivre sur tous les continents sans exception. L’unique zone qui n’est jamais recouverte de pelage est sa queue qui se termine en un pompon de la même couleur que sa fourrure. Son nez est plutôt plat, rose, avec de longues moustaches lui permettant de conserver un équilibre en toute circonstance. Les griffes de ses pattes ne lui servent qu’à escalader les bâtiments ou à creuser des terriers afin de se cacher et/ou de passer sa période d’hibernation.
Reproduction : Uniquement pendant le premier mois de sortie d’hibernation, le mois de novembre. Durant la période des amours, la fourrure devient verte pour les mâles ponctués par plein de petits points roses et rose pour les femelles avec des points verts. L’animal conserve le même partenaire durant toute sa vie, qu’il doit impérativement trouver pendant le mois de reproduction, sans quoi il se laissera mourir de désespoir. L’accouplement se passe en deux phases, la première est celle de séduction, les mâles partent à la recherche des plus beaux dessous afin de présenter les trouvailles aux femelles, cette phase s’arrête quand la femelle choisie accepte le présent et le met sur sa tête sans le manger. Si la femelle refuse de manger le vêtement et de le mettre sur la tête, généralement le mal la rapporte dans une maison. Il n’est pas rare que celui-ci se trompe, créant sans le vouloir de violente dispute de couple. La deuxième phase, consiste à la reproduction propre, les deux bêtes se recouvrent des tissus trouvés ensemble et s’accouplent, l’ébat dure généralement une heure ou deux. La femelle peut donner le mois suivant naissance jusqu’à 6 petits.
Capacités : Le Croc’culotte est capable de se fondre dans son environnement en prenant l’apparence de celui-ci, il en devient quasiment invisible aux yeux de tous.
Histoire : Le croc’culotte serait un animal ancien, sans que personne ne puisse le certifier. L’histoire raconte que la première fois qu’il a était vu, il était un petit animal de compagnie d’une My’tränne. Amoureux de sa maîtresse, l’animal n’avait de cesse de lui ramener des culottes pour la remercier de sa protection, prenant le soin de conserver sa préférée comme doudou. Un jour, la propriétaire amena un homme. Fou de jalousie l’animal mangea sans relâche les dessous du conjoint afin de dégoûter sa propriétaire. Trop possessif, il fut finalement abandonné. Il aurait alors retrouvé ses compères dans la nature et c’est depuis ce tragique évènement que chaque mois de novembre et octobre les Croc’culottes sortiraient de leur hibernation pour manger tous les sous-vêtements des humains sans exception afin de se venger et les générations suivantes n’eurent de cesse de faire perdurer l’acte.
KhuuramchLongévitéDe quelques heures à quelques siècles.
Localisation géographique & mode de vieOn peut les trouver partout, partout où l’on meurt en tous cas. Il suffit qu’une âme dérive assez loin et assez longtemps pour pouvoir peut-être prendre forme et errer jusqu’à se consumer, ou être détruite.
Caractéristiques physiquesCertains esprits sont si fermement ancrés au monde que même la mort ne peut les en libérer. Peinant à réintégrer le grand cycle leurs âmes errent à la surface du monde, se chargeant des sentiments qui les entourent et toujours hantées par le souvenir de leur vie passée. De temps à autre un de ces esprits en vient à jalouser les vivants, à les haïr pour ce qu’il n’est plus et ne sera plus jamais. Cette haine peut grandir durant des années, parfois des décennie. Jusqu’à atteindre un paroxysme où les chaînes qui retiennent l’esprit au monde se matérialisent, sa colère devient une armure et sa haine une arme. Seule persiste cette étincelle de vie qui prend parfois la forme d’une lanterne à la lueur timide et vacillante.
On les reconnaît au bruit caractéristique qu’ils produisent en traînant leurs chaînes et à la brume blanchâtre qui évolue en volutes au sein de l’entrelac de maillons qu’ils sont. Certains flottent à deux pas du sol tandis que d’autres se traînent lamentablement, mais toujours affublés de cette torche à la lueur faible tremblante et d’une arme, tantôt une épée tantôt une faux émoussée.
TailleVariable. D’1m50 à 1m80, parfois plus de 2m mais très rarement.
Caractéristiques psychologiquesCe qui subsiste de leur esprit est troublé, malade. Mis face à quelqu’un qu’il aurait connu de son vivant le Khuuramch aura un moment d’hésitation, un bref moment, avant d’abattre sa faux dans un tonnerre de cliquetis de chaînons qui étouffe bien souvent le cri d’effroi de sa victime. De ses souvenirs il ne reste presque rien, que quelques images qu’il tentera de détruire s’il y est confronté. D’aucuns diront qu’il s’agit là d’un esprit vengeur, d’une anomalie en passe d’être exterminée, mais il n’y aucune vengeance à l’oeuvre derrière un Khuuramch. Rien d’autre qu’une haine pure et tenace.
CapacitésIls n’ont pas de capacité particulière, si ce n’est celle de faire un boucan de tous les diables en se déplaçant et de déclencher parfois des feux avec leurs lanternes, mais rien de volontaire. Ils ne savent que tuer, tuer et anéantir.
TairakhLittéralement « Amputé »
~ Conte de la rédemption des hommes-squelettes ou l’écureuil de minuit ~
LongévitéLe Tairakh vit entre 2 et 5 ans à l’état sauvage, mais cette espérance est presque triplée une fois domestiqué (15 ans dans les cas extrêmes).
Localisation géographique & mode de vieLes Tairakh sont des animaux nocturnes, qui vivent en meute aussi bien qu’en tant que loup solitaire ; leur sociabilité dépend essentiellement de leur localisation. La majorité des individus isolés voguent de bateau en bateau, adulant la proximité du bois qui les compose. Ils trouvent refuge dans les petits interstices en tout genre ainsi que les défauts de charpente ; ils raffolent tout particulièrement des passagers d’entrepont, qui occupent une place idéale à leurs desseins (salle sombre, souvent mal entretenue -donc pléthore de cachettes-, où se tapissent des dizaines de matelots). Malgré tout, la plupart sont restés attachés aux forêts auxquelles ils sont originellement rattachés. Ils y vivent en petits groupes d’une quinzaine d’individus tout au plus, ou simplement auprès de leur famille proche.
En tout point où un arbre sort du sol, un Tairakh réside peut-être ! Ils logent en effet au creux des troncs, et même s’ils y répugnent, ils savent se hisser jusqu’aux cimes les plus hautes lorsque le sol est inondé ou que des prédateurs trop imposants l’arpentent. Néanmoins, ce cas est rare, puisque le Tairakh demeure
l’un des prédateurs les plus dangereux qui soient et en dépit, et même grâce, à sa petite taille.
A dire vrai, vous avez devant vous les plus sanguinaires des carnivores. Leurs méthodes de chasse sont des plus singulières, et il me semble pertinent de les détailler étape par étape.
La première phase consiste à traquer une proie, jusque-là rien d’anormal. On notera tout de même que les Tairakh flairent le sang à plusieurs kilomètres à la ronde,
affectionnant particulièrement la chair humaine pour ses saveurs plus riches. Secundo, ils se dissimulent des regards indiscrets, et patientent jusqu’à ce que leur proie désignée plonge dans le sommeil paradoxal. Alors seulement, ils se faufilent auprès de l’être endormi, qu’il soit animal ou humain, et mord à pleins crocs dans le membre sur lequel leur appétit a jeté son dévolu. Les effets de son venin sont pratiquement instantanés, et s’il n’engourdit pas totalement le corps, il anesthésie au moins la chair et les nerfs aux alentours de la morsure - à plusieurs, ils sont à même de plonger un corps entier dans un coma artificiel. Alors s’ensuit fatalement la phase finale où
le membre, le corps inerte est dévoré entièrement jusqu’à l’os, lequel il ronge parfois pour s’aiguiser les dents.
Aussi, à l’aube, certains se réveillent dans l’épouvante d’avoir perdu un bras ; seuls les os ont résisté aux assauts de ses dents acérées, mais ne doutez pas qu’il l’aurait mangé aussi s’il l’avait pu ! Ces victimes sont largement répertoriées parmi les pirates qui arpentent les mers à l’année. Longtemps on a cru en une malédiction des architectes pour expier leurs péchés, renommant le phénomène « la rédemption des hommes squelettes », mais il n’en est rien. Le Tairakh ne connait ni vertu ni pitié ni justice. Il ne discrimine pas sa nourriture ! Lorsque la proie est suffisamment petite ou qu’il vit en meute, il peut la dévorer en une nuit, et
c’est un squelette que vous retrouverez au matin à la place de votre feu enfant ! Des bouts de chair subsisteront comme un rappel douloureux que ce corps vivait encore quelques heures auparavant. La vue du squelette est souvent préférable à des visions plus terrifiantes toutefois. Vous prierez pour celle-ci lorsque vos yeux détailleront une tête non entamée rattachée à un corps osseux seulement. De surcroît, sachez que leur museau fouineur se régale aussi des globes oculaires. Imaginez-vous, vous réveiller à une douleur lancinante
à l’intérieur des yeux, mais lorsque vous tentez de relever les paupières, vous ne ressentez que la morsure abjecte de l’air libre alors qu’aucune lueur ne vous éclaire plus.
Le pire dans tout cela, c’est que la plupart des victimes meurent des suites à leurs blessures plutôt que pendant le festin Tairakhien. De nombreux parasites se cachent dans les poils de ces bêtes, et profitent de ses repas pour infiltrer les chairs à vif.
D’aucuns meurent d’infections autant que de maladies graves des suites de leurs blessures !
Ils souffriront la douleur la plus affreuse, l’absence déchirante d’une partie de soi, puis la maladie virulente avant d’agoniser tout à fait. Tout ce qu’il y a de plus abominable en ce monde se résume en cet animal.
ReproductionLe Tairakh est un animal fort possessif. Le partenaire d’un soir est un partenaire toujours. Dans les meutes,
les individus adultérins sont dévorés vivants, tandis que les individus solitaires sont tués par leur partenaire d’origine, leur corps laissé en pâture aux oiseaux marins.
Dédicace à Adramus !Par ailleurs, il est presque inutile de préciser qu’il s’agit là d’un mammifère. La saison de rut est celle de l’hiver, période pendant laquelle les meutes entrent dans une semi-hibernation. Par conséquent, ils chassent moins, et copulent davantage, motivés probablement par l’ennui et la raréfaction des proies disponibles. Une fois que la femelle fécondée, son partenaire reprend les traques avec une frénésie excessive, multipliant les offrandes à la douce à laquelle il se dévoue pleinement. Elle le lui rendra bien une fois les petits venus au monde aux premières chaleurs estivales, puisque c’est elle qui prendra en charge les chasses pour la famille entière. Cette spécificité du Tairakh a pour but de laisser le géniteur se familiariser avec sa descendance. Les nouvelles familles auront alors le choix de s’incorporer à leur clan originel, ou d’en former un tout nouveau avec les autres couples féconds. En surnombre, la chair humaine pourrait venir à manquer selon les régions, ils favorisent donc les séparations. Cette divisibilité des meutes explique en grande partie leur répartition stratégique à travers tout Irydaë.
Caractéristiques physiquesNe vous fiez guère à ce regard angélique, que l’iris (vert émeraude ou brune de façon générale) emplit presque totalement. Si ses yeux semblent dénués de toute agressivité, cette petite terreur n’en demeure pas moins la créature la plus redoutée d’Irydaë, après les Yamaany bien entendu ! Cousin du renard et de l’écureuil, le Tairakh arbore un pelage tigré et un poil soyeux. Inévitablement, il se pare de couleurs automnales, choisies aléatoirement entre le noir le plus absolu et l’orange le plus vif. Une crète invariablement blanche s’enroule autour de son cou, non sans rappeler celles des lions dans leur forme. Les poils qui s’élèvent bien au-delà de ce que la raison l’ordonne se dressent sur le bout de ses oreilles, similaires à ceux du lynx, pour parfaire son ouïe.
Son apparence est la définition même du fallacieux. Quoi de plus adorable que cette petite tête friponne, ce museau adorable, cette longue queue duveteuse, cette grâce aérienne lorsqu’il s’élance vers sa proie pour lui
manger les poumons alors qu’elle dort paisiblement ? L’on rappelle souvent de ne pas tendre sa main vers un chien étranger pour le cajoler, car il serait susceptible de mordre. Mais l’on néglige de vérifier les gouttières, d’isoler les chambres, de fixer les parquets. Dans l’ombre, les Tairakh se tapissent, prêts à en vous démunir d’une partie votre corps, parfois une vitale.
Ils possèdent par ailleurs deux canines supérieures qui dépassent de sa gueule ; elles sont destinées à la fois à répandre le venin qui stagne dans ses joues autant qu’à déchiqueter la chair qu’il dévore. A de nombreuses reprises, on a mis leurs marques sur un cou pâle sur le compte de l’existence chimérique des vampires. Il s’agit simplement d’une victime moins savoureuse qui a, pour son plus grand bonheur, été boudée par un Tairakh.
TailleLes spécimens adultes mesurent dans les 40 cm en longueur, pour 30 cm de hauteur.
Cependant on observe un phénomène récurrent de nanisme, lequel divise par deux ces mesures dans la majeure partie des cas. Les individus de petite taille sont naturellement favorisés par la sélection naturelle, puisqu’ils se faufilent plus aisément dans les passages étroits.
Caractéristiques psychologiquesComme mentionné précédemment, le Tairakh est probablement l’animal le plus possessif qu’il soit. Il s’approprie son partenaire de vie, et refuse de s’en séparer. Dans le cas où son alter ego serait blessé, capturé, blessé par quelque autre être vivant, il serait prêt à semer le carnage pour le recouvrer ou le venger. Une fois sa vendetta menée à bien, il se donnera la mort, et dans le cas où son partenaire serait un adultérin, il sombrera dans la déprime la plus poignante, la plupart du temps se laissant mourir de faim, le reste du temps menant une vie solitaire chez les pirates.
Cette loyauté se retrouve lorsque le Tairakh s’entiche d’un humain. Il transfère visiblement son amour pour un membre de son espèce à son partenaire humain. Pourquoi une si étrange affection ? Celle-ci est simplement liée à sa feignantise avérée ; paresseux de nature, une fois que le Tairakh comprend que son humain lui offre de la viande fraîche en abondance et sans effort, il passe le plus clair de son temps à se reposer sur son épaule.
C’est une jeune guérisseuse des cercles de l’Aube, Dolly Pra’hn, qui découvrit en premier cet aspect incongru de leur personnalité. Elle recherchait alors un moyen d’exploiter leur venin à des fins médicales, et elle finit par comprendre que le Tairakh capturé lui vouait une adoration inoffensive. Sa découverte poussa de nombreux médecins à adopter un Tairakh, notamment parmi ceux de son rang, et lui valut une promotion au rang de second cercle.
- En exclusivité, le portrait de Dolly Pra’hn:
En dehors de cette fidélité, gardez bien à l’esprit que le Tairakh est un chasseur aguerri et impitoyable, qui ravage des villages, des tribus presque quotidiennement. Le seul moyen d’épancher leur faim lancinante, c’est de les adopter, ou de les piéger. Ils ont beau être malins et débrouillards, il n’en demeure pas moins que l’appel du sang les enivre jusqu’à altérer leur bon sens. Il n’est pas rare que les chasseurs avertis répandent des cadavres d’animaux dont ils raffolent (essentiellement des herbivores) à la surface des rivières. Les Tairakhs s’y précipitent, constatant trop tard qu’ils ont sauté à l’eau et ignorent parfaitement comment nager. Autrement, le meilleur moyen pour échapper à leur faim pour le citoyen est bien de s’isoler complètement le temps que la nuit trépasse.
CapacitésLa première caractéristique frappante est que le Tairakh est nyctalope. Cela se constate aisément en journée, puisqu’il évite autant que faire se peut la lueur de l’astre. La nuit, ses pupilles se dilatent complètement,
teintant ses yeux de ténèbres ; il voit alors comme un humain en plein jour, en mille nuances de gris toutefois.
Par ailleurs, le Tairakh court à des vitesses de pointe bien supérieures à celles d’un homme moyen. Si vous avez bien lu ce qui est présenté plus en avant, vous comprendrez que cette vélocité lui permet surtout de fuir les humains éveillés que de les pourchasser.
- Allure d’un Tairakh:
Son venin est anesthésiant. Khugatsaa lui a attribué des fonctions lénifiantes, lesquelles engourdissent les sens dans la fraction de seconde qui suit la morsure, doublées à des capacités soporifiques moindres. Celui-ci est donc très apprécié par les rares médecins qui acceptent la compagnie d’un Tairakh à ses côtés, ainsi que par les éleveurs qui le vendent sans modération.
Enfin, le griffon d’ivoire leur a également donné la capacité de pressentir lorsque leur proie bascule dans le sommeil paradoxal, soit le plus profond de tous. C’est là qu’elle est le plus vulnérable ; il est peu probable qu’un homme soit alors éveillé par ses pas furtifs, à moins d’avoir un sommeil fort léger.
| Premier témoignage ~ Lucy Olé Bondébarras : “Vous n’imaginez pas la sensation, celle d’être victime de cet animal. Un jour beau, je me suis éveillé, fiévreux, ankylosé. J’ai cru à une grippe mauvaise ; dans ces cas-là, on prône le sommeil, alors je me suis recroquevillé sous mes couvertures, et j’ai serré mes bras contre moi. Vous n’imaginez pas l’effroi, l’horreur, lorsque j’ai senti ma main entière se refermer autour de mon humérus (c’est un os du bras). Instinctivement, j’ai lâché cette partie de moi qui me semblait pourtant si étrangère, et je n’ai pas osé ouvrir les yeux. Moi qui n’était guère pieux, j’ai prié les sept architectes de me réveiller pour de bon de ce cauchemar, mais ils n’ont su me venir en aide car rien ne s’est produit – comme toujours. J’étais toujours emprisonné par ce triste malheur qui m’assaillait.
J’ai alors rassemblé le courage de regarder, pour constater que mon bras ne répondait plus présent - physiquement. L’ensemble complexe qui aurait dû couvrir mon os s’était évaporé, et une large tâche de sang imprégnait mes draps là où mon bras reposait autrefois. Je ne ressentais nulle douleur, autre que mentale, mais je crois que j’aurais préféré souffrir. J’ai mis plusieurs minutes à me convaincre que ce que je voyais ne correspondait pas à ce que je ressentais, et le traumatisme ne fut que plus grand. La réalité me frappa ; je n’avais plus de bras, et plus de chocolat. Mais maintenant, je me suis acheté un bras mécanique tout neuf, et je peux vanter mes exploits à ceux qui veulent bien l’entendre ! ”
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Deuxième Témoignage ~ Theyson Grisejoie : “Par mille sabords, avouez, ma grosse jambe d’bois, l’est pas belle ? C’est que j’l’ai gagnée à la dure moi ! Ah l’ptit bâtard, il tout bouffé ! J’t’ais dé-li-ssieux j’crois bien ! C’dire, après ça j’avais la gangrène. Fallait couper encore plus haut j’te dis ! Hey, parce qu’au début, l’en restait un peu qui pendouillait. Horrib’ qu’elles disaient les dames et les putes ! Mais hé, maint’nant on m’respecte ! Chuis un expié qu’on m’dit. Ça sonne bien, j’dirais. Et pis ch’peux pas dire qu’on m’avait pas prév’nu dis ! Ça fait dix ans qu’on m’dit « Thseyon, arrête de coucher avec ta sœur ! c’pas pô bon pour l’karma ça ! ». Et paf, keski m’arrive j’vous l’demande ? Je sers de r’pas à un téyraakh. Ils disent quwah les gars du chnord ? Tabarknakh téyraakh ?
Hé mais, j’avoue c’pas pareil maint’nant, mais hey, j’fais fureur ! Chuis célèbre ! Connaissez pas la légende de Gourdin-en-chêne ? Y ravit les filles.”
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Vous avez lu tout ce qui précède, et souhaitez malgré tout acheter à Tairakh ? Vous ne tenez pas aux doigts de vos enfants ni à la bouche de votre femme ? La Folle Animalerie vous propose de réaliser votre rêve ! Rendez-vous sur adopteuntairakh.com. [Frais de port non inclus, voir conditions pour modalités d’envoi].
- Petit Bonus:
En m'excusant pour la faible qualité :
Cliquez si vous l'osez !
Nom inconnu
Créature nocturne, aveugle ( se repère grâce à la langue ) amphibienne qui piège ses proies avec l'appât lumineux.
Spectre
"A la tombée de la nuit, le soir dans le noir,
Il y a des monstres qui viennent nous voir,
Les dents en bataille, la crinière de feu,
Cachés dans les champs, tels des gueux,
Quand vint minuit,
Ils viennent nous voir, ils nous nuit,
Avec leurs narines fumantes, démarches somnambules,
Déposant sans regret dans les champs de patates, le fruit de leurs esprits crédules,
Quand le feu se propage,
Ils court, ils hurlent de rage,
Leurs griffes rappant le palier de nos maisons,
Désireux de déposer leurs pieds crasseux sur notre paillasson.
Si jamais vous veniez à leurs ouvrir,
Leurs yeux reluisant viendraient à s'ouvrir,
Avec leurs petites tailles, sans raison,
Vous ne les verriez pas infiltrer votre maison,
Une fois recouchés dans votre lit,
Le plancher craquant de peur,
Quand leurs dents aiguisées collées contre vos vies,
Vous regardent cauchemarder à la belle l'heure,
Mais ne vous méprennez pas,
Ces créatures là ne vous tuerons pas,
Seul votre malheur les nourrit,
Quand le jour d'halloween nous sourit,
Spectres affamés ou esprits torturés,
Beaucoup pensaient aux âmes dérangées,
Quand les enfants jouaient dans le cimetière,
Rien ne nous garantit qu'ils n'aient déplacé une pierre."
Caractéristiques :
-Ils évoluent exclusivement en Daenastre
-Ils apparaissent le plus souvent les soirs d'Halloween
-Ils se nourrissent de la peur des gens
-Ils sont très mesquins et farceurs
-Leurs tailles sont conformes à celles des défunts
-Les orifices qui leurs servent d’œil sont d'un brillant blanchâtre
-Leurs griffes peuvent atteindre 8 à 15cm selon les individus
-Leurs cheveux peuvent atteindre des longueurs records, variant de 20 à 45cm
-Leurs hurlements sont très aiguës, le verre n'y résiste généralement pas
-Ils ne marchent pas, mais lévitent, tout cela grâce à leurs compositions maigre en métaux lourds, et riches en gaz.
-Ils peuvent aller à une vitesse de 15km/h
-Ils ne peuvent pas disparaître, mais prendre possession d'un objet durant une période illimitée en l'enveloppant
-Leurs corps sont déformables