au gré des vents..et des rencontres [PV Adol Loror][RP (en partie) court]

J'arrive enfin dans le salon, Anaveranne était concentré sur une peinture assise devant son bureau. Je pus vite remarquer le mogoï en plein combat contre elle qui le battait avec facilité et ...moi qui danse à côté apparemment. Je souris et m'installas devant la table pour raconter ma version du combat. Comme une habitude qui c'était créé, chaque travailler en silence, avec seul le bruit des flammes et du vent pour nous accompagner dans nos récits. Même si cela ne fait que deux jours, cette habitude c'était instauré toute seule

Elle fut la première à finir ,après un étirement, elle se retourna et me demanda ce que je voulais faire de la soirée. Dans un effort considérable qui aurait fais passer l'intelligence de scientifique de Daënastre pour des vendeurs de tapis , je lui répondis

-Alors là, aucune idée.

Après un moment de flottement qui se résuma à des regards fixes, le bruit du vent et des flammes et Tiama qui passe dans une discrétion digne d'un train, je me mis à rire.

-Sérieusement je sais pas du tout , tu a une idée ?

Je compris sans difficulté que cela l’ennuie plus qu'autre chose . Elle me proposa tous d'abord un action ou vérité mais changea d'avis aussi tôt en me demandant de lui raconter d'où je vient.

-Par où commencer..Je vient de la ville de Lonfaure, au milieu du continent. A perte de vue, une plaine immense à l'ouest et des montagnes à l'est. La ville se trouve contre ces montagnes. Pour les plaines bah... elles ne sont aussi paisibles qu'ici, des créatures immenses le peuple et le seul moyen de nous protéger est rassemblé la population d'en d'immenses villes coffret d'immenses murs en acier.

Je pris deux secondes pour respirer, puis-je repris :

-Le moyen pour se déplacer dans les terres en toutes sécurités est le train, mais on peut aussi prendre le dirigeable pour les trajets plus longs. Mais quand on se déplace à pied, c'est là qu'on comprend la vrai beauté de ce pays. Tous ne veut pas ta mort, mais peu de gens le savent. Mais comme les gens préfères s'entourer d'acier et s'occuper de la politique au lieu de découvrir le monde. Pour les paysages de Daënastre , toute la partie ouest est couverte d'une ligne montage à l'est, le sud on trouve une épaisse forêt tropicale et le nord est entièrement couvert de neige. Le reste est couvert de plaine . On peut trouver un peu partout des restes de ville détruite et abandonner à cause des montres parcourant le continent. Je pense avoir réalisé une bonne introduction à la d'où je viens.

Après avoir regardé par la fenêtré je lui proposé :

-Il semble qu'il n'est pas encore trop tard, si tu veux on peut faire l'action ou vérité

Je n'aurais pas dû choisir action... Une fois mon défi donnais, je pris une immense inspiration et d'un sérieux digne d'un soldat, je me mis à le faire en tournant autour de la table tous t'en soufflant de la bouche pour faire la cheminée . J'essaye de garder mon sérieux ,mais quand je croise le regard de Anaveranne, j'explose de rire et m'écoula sur le sol.Ils nous fallut quelque instant pour se calmer.

Après avoir repris mes esprits, je dis la fatidique question

-Action ou vérité ?

-Je choisi ...action

-Comme tu ma obliger avec le train, alors tu fera le dauphin

Je pris un sourire sadique sadique en disant cela.

Ce fut la plus belle imitation de dauphin que j'ai jamais vu de toute ma vie et je pense que personne ne pourra surpasser cela. Après pleuré toutes les larmes qu'ont pouvaient relâcher, elle me regarda avec le même sourire sadique et me pausa la dîtes question et je choisi vérité. Je la fatidique question du «  ton pire repas de toute ta vie ? »

Je pris une voix dramatique :

-C’était une nuit sans lune et en plein orage. L'air était froid malgré les flammes dans la cheminé. J'étais seul, chez moi , avec ma sœur . Pendant que j'essaie de chauffer la maison, elle s'occuper du repas. Et je fus surpris de terreur sous la vision de cette chose. Elle pausa sur la table une créature ignoble tous droit sortie des mer éthériques.Un monstre sans nom, rien ne pouvais la qualifié.

Après un moment de suspense, je révèle enfin la vérité.

-Un poulet avec un poisson qui lui sert de tête.Une vrai horreur.

Rien quand y repensant, je lâcha une légère larme.

Un silence s'installa suivi d'incompréhension et de rire

-Maintenant que choisit tu ?

-Je vais prendre ...vérité

-Quelle est ta plus grande peur ?

Faire le train ça passe, raconter son pire repas , c'est tranquille mais là. Je peut juste pas. Au moment où elle me dis mon défi, Tiama me fixa et je compris ce qu'il me disait « Fais pas l'imbécile maître , toi et moi, on est partenaire »

Après un grand soupire, je le prit et le pausa sur la table. Le temps était comme arrêter, je pouvais voir le sourire d'Avaveranne grossir au ralentis, une expression de joie et de plaisir sadique. Tiama, lui ne bougea pas. Juste un regard de désespoir et de tristesse (ou simplement son fameux regard vide habituelle). Je pouvais entendre une légère musique en fond et l’atmosphère changea.
Je lui en fit un légèrement sur le dessus du bec et après cela, tous partis de travers. Tiama s'enfuit en se cachant dans la cuisine dans un torrent de piaillement  et Anaveranne, s'écroule de sa chaise dans un bruit mélangeant rire, satisfaction et dos sur le sol.

Après que j'eus fini, je regarda Anaveranne avec des yeux noirs et lui demandant :

-Action ou vérité ?

-vérité

-Raconte moi le moment le plus honteux pour toi ?

Je pris deux seconde pour réfléchir et le lui dis :

-C'était à Vereist, il y  a quelque mois de cela. Il y avais un petit village à cause d'une créature qui attaquer les provisions le soirs. Étant de passage pour aller plus loin dans le nord, j'en profite pour les aider. Je reste donc quelques nuits dans le-dis village, à inspecter chaque recoin en quête de l'animal en question. Lors du troisième soir, l'un de mes pièges s'active et toute le village arrive sur le champ, alerter par une cloche que j'avais installé. Tous, on se retrouva devant un panier qui gesticulé dans tous les sens. Je soulève le panier et je vis avec stupeur Tiama, un jambon dans la gueule. Et là, j'ai jamais couru aussi vite  de toute ma vie tenant Tiama dans mes bras alors qui tien lui le jambon, qui est encore maintenant dans mon sac. Je peut te dire que quarante paysans armés de fourche et de pelle, tu apprend à te faire pousser des ailes.

Je pris une petite pause.

-Ils m'ont fais courir pendant deux heures, au moins je suis arriver plus vite à ma destination. Rien que dit penser, cela me fais rire. Et toi ? Action ou vérité ?

-Je vais prendre action

-Met de l'eau dans ta bouche et chante.

Alors là .

J'en est vu des choses mais là, cela dépasse tous. La simple vision d'Avaveranne chantant avec de l'eau dans la bouche fut gravé dans mon esprit. Je suis simplement choqué de cette vision et je pense que je vais avoir du mal à la retirer.Je passa réellement deux minute bloquer, le regard fixe sur un mur.Je me réveille de ma stupeur quelques instant s avant qu'elle essaye de me mettre une claque

Comme il se faisait tard et que le voyage est encore long, on décida de ce coucher. Après avoir nettoyé l'eau sur le sol, on installa deux matelas pour la nuit. Pendant qu' Anaveranne s'installa, je remis un bûche dans le feu pour lui redonner des forces. Je m'installa moi aussi sur mon matelas et même si elle c'était déjà endormie, je dis bonne nuit pour nous deux. La troisième journée de notre voyager aller pouvoir commencer.

J'eus l'impression de ne pas avoir dormis, à peine j'eus fermer les yeux que je me fit réveiller par Anaveranne. Il devait être 8h du matin quand je me lève. Comme à son habitude, elle avait préparé un petit déjeuner composé de fruit, un de mes repas préférés ainsi qu'un de ces célèbres thé. Je fut même surpris quand je vis une assiette se poser devant Tiama, qui après deux seconde d'hésitation, savoura son petit-déjeuner.Une fois fini, je partis pour me faire une toilette rapide, pour me préparer au voyage.

Un fois fini, je me prépara en me changeant ainsi quand rangeant mes affaires.Vu le temps, je préfère m'habiller chaudement, avec ma veste en fourrure de Vereist que j'avais rouler dans mon sac. Rien quand la mettant je me senti déjà mieux  Au bout de vingt minutes, les sacs furent prêt et installé sur Ydrochoos qui sembler plutôt en forme

-Bon, c'est partis pour rejoindre Darga. Apparemment, on y sera avant le coucher du soleil, on pourra faire quelques achat de matériel et de nourriture, dis-je en regardant Anaveranne avec un sourire.

Nous laissons enfin cette maison, avec une légère pointe de d'émotion et nous partons vers notre prochaine destination.

Je passa ainsi le début de notre voyage à écrire dans mon journal ce que je pouvais voire, la faune et la flore de My'tra. Je le fis cela durant plus d'une heure jusqu'au moment où Anaveranne me posa une question :

-Tu pense faire l'acquisition de quel genre d'objets, toi , quand on sera à Darga ?

Je ferme mon journal et le range dans mon sac

-Je ne sais pas encore, peut-être du matériel d'exploration ou même si possible, une nouvelle arme comme deuxièmes épées ou un bouclier, je ne sais pas encore. Et puis sûrement des matière première pour mon équipent ou peut-être un nouveau journal.

Le paysage repris des allures de plaine, se qui me fit plaisir, j'ai pas besoin de faire attention à la route mais évidement, il commence à tomber des gouttes  et nous avons une couverture sur le canasson pour protéger nos affaires.  Puis Anaveranne, en rigolant, remémoras  la soirée d'hier, surtout le moment du dauphin et de Tiama. Elle continua en  disant qu'il faudrait en refaire.

-je ne vais dire qu'un chose, si en refait, prépare toi. Je n'est pas oublié le coup avec Tiama, dis-je avec un regard noir puis éclatant de rire à mon tour.

On continue d'avancer tout le reste de la journée et on pus enfin voir les portes de la cité.

J'en crus pas mes yeux. La capital est d'une beauté sans pareil. Je resta bien 5 minutes devant l'une des entrées de la ville, avant qu' Anaveranne me pousse à l'intérieur. La ville était vivante, on pouvait y voire de toute part des marchands ainsi que des personnes faisant de la musique. Une bonne ambiance y régner. Je suivi Anaveranne durant toutes ces emplettes où elle était d'une concentration quasi religieuse sur le choix des produits.

On avança jusqu'à une des rues commerçantes , Anaveranne se retourne ,me propose d'exploré la ville et de faire mes emplettes pendants qu'elle s'occupe de l'auberge. J'accepte avec plaisir et je partis visiter un peu cette nouvelle ville.

Je me dirigea avec aise dans Darga, trouvant rapidement une boutique d’armurerie. J'entre et salue le propriétaire, un vieil homme à la forte musculature. Je me dirige d'abord vers les boucliers. Je me disais que cela serai plus utile pour le combat mais soit  ils semblent trop fragile, soit trop lourd pour moi. Je me dirige ensuite vers les lames pour y trouver mon bonheur mais la encore, rien, soit des dagues soit des épées à deux main. Avant que je parte, l'homme m'appela :

-Petit, j'ai peut être un truc qui va t’intéresser.

Il me tendit une sorte d'avant-bras, certes simple, d'un gris acier  avec reflet de rouges. Il me le tendis pour que je le mette et il m'alla parfaitement.

-Ça petit, c'est un bracelet unique de ma création, capable d’arrêter n'importe quelle armes, et  pour le monter ,il abattit une immense hache dessus , non sans que je fasse  un mouvement de recul, le bracelet encaisse le coup sans aucune douleur de ma part, Alors , intéressé ?

-Totalement que  je le suis ,sans chercher à comprendre  , mais avais vous des carreaux d’arbalètes à main.

-Bien sure ,et je les offres si tu m’achète le protège bras  car la tête que tu à fais a émerveillé ma journée.

Je le remercie au moins une dizaine de fois avant de le payer de la somme de 15 000 irys et je partis en direction d'un libraire pour un journal.Je trouva facilement la boutique et je pris un simple journal couvert d'un cuir vert foncé   d'une somme de 200 irys.

Je décida enfin de rejoindre la rue commerçante où se trouver notre auberge.