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| Bolgokh
| Mer 15 Mar - 14:56 | | Irys : 929949 Profession : Créateur de monde à temps partiel
| Proposer un ajout à l'univers d'IrydaëBien le bonjour, Irydärs ! Nous avons voulu ce forum en évolution constante grâce à votre participation et ce que vous décidez de construire inRP. Cela passe également par l'agrandissement du contexte qui ne cesse de s'étoffer avec toutes les idées que vous nous avez proposées jusqu'à présent, et qui nous ont permises de continuellement nous améliorer. Hé bien, désormais, nous vous laissons la possibilité de nous soumettre vos propositions d'ajouts au background officiellement, par le biais de ce sujet ! Cela peut avoir trait à beaucoup de choses différentes : une idée subite d'ajouts contextuels à une région, l'apport d'un article complet dans le Folklore, mais également un lieu d'intérêt à placer sur la carte ou dans un descriptif de région ou de ville (commerces, auberges, lieu historique, lieu touristique, etc)... N'ayez pour seule limite que votre imagination ! C'est le meilleur moyen de faire exister officiellement ce que vous inventez au détour d'un RP, et surtout, d'en faire profiter les autres : qui sait si votre auberge n'apparaîtra pas soudainement dans un prochain RP, ré-utilisée par d'autres joueurs ? Comment faire ?Au vu de la diversité possible de vos idées, nous ne vous proposerons aucun formulaire pré-établi. Tâchez néanmoins tant que faire se peut de clarifier vos propos, de les organiser avec des titres, des listes, et tous les matériaux qui sont à votre disposition pour rendre votre texte hiérarchisé et organisé. C'est le meilleur moyen pour que vos idées donnent envie et qu'elles soient publiables ! L'unique chose que nous vous demanderons est la suivante : Merci de signaler au tout début de votre proposition s'il s'agit d'un ajout [Contextuel], [Mythologique] ou [Utilitaire] ! Cela nous aidera grandement à classer votre article pour lui trouver l'endroit le plus approprié. Mythologique ? Oui, très exactement ! Comme vous l'avez sûrement remarqué, le sujet concernant le folklore de My'trä est assez lacunaire, maigre, car contrairement à la Genèse de Daënastre, ce n'est pas un récit linéaire, ce sont des petits morceaux de culture qui ne sont mis ensemble que tout à fait artificiellement. Ils ont été écrits par des auteurs différents, à des époques différentes, et prennent des formes très diverses. Voilà pourquoi, nous vous laissons la possibilité de proposer vos propres récits, légendes et prières sur le folklore My'trän. Il n'est cependant pas possible à l'heure actuelle de faire des propositions pour la Genèse daënar : celle-ci étant trop fermée et unilatérale, il vous serait ardu d'y intégrer vos idées. Merci donc de soit poster vos propositions directement à la suite de ce sujet, soit d'envoyer un mp sur le compte Bolgokh -une fois n'est pas coutume-, afin que les trois Administrateurs puissent le lire ! |
| | | Alises Torouciave
| Mer 2 Aoû - 19:44 | | Irys : 670200 Profession : Scientifique : zoologue
| Mademoiselle Louise - Spoiler:
Ancienneté : 30 ans (créé en 902) Structure : Le bâtiment est dans le centre-ville, dans les quartiers chics. Ils s'étalent sur trois étages : un sous-sol, le rez-de chaussée et le premier étage. On accède au rez-de-chaussé par une entrée sur le côté en descendant quelques marches ce qui permet d'arriver à la boutique de thé. Le rez de chaussée est un lieu où l'on reçoit les clients de passage. L'intérieur est tout blanc, tout propret. Plusieurs tables et chaises de beaux sont installés en vrac. Le premier étage contient diverses petites pièces pour la plus riche clientèle. Chacune de ces pièces est décoré avec goût et elles portent différents noms en fonction des couleurs choisis : Bleu ciel, Rouge my'tran, Vereist, Alexandria, Blanc vapeur etc. Propriétaire: Louise Mondo Sexe : Féminin Age : 40 ans La légende raconte que sa mère lui proposa le dilemme suivant : soit elle se mariait soit son salon de thé devenait le lieu le plus luxueux de Cerka. Mademoiselle Louise demanda une dizaine d'année et son salon de thé connu le succès promis et elle put rester célibataire. Aujourd'hui, ce lieu est un lieu de rencontre incontournable pour n'importe quelle personne prétendant faire partie de la bonne société.
Dernière édition par Alises Torouciave le Mer 9 Aoû - 22:05, édité 1 fois |
| | | Bolgokh
| Jeu 3 Aoû - 3:15 | | Irys : 929949 Profession : Créateur de monde à temps partiel
| Bonsoir Alises ! Non pas que le bâtiment que tu proposes ne nous intéresse pas, mais nous demandons tout de même une description bien plus fournie de l'enseigne pour pouvoir l'intégrer au contexte. Je te conseille de prendre pour plan la description de Croc-Rouage à la suite de la description de Skingrad. Toutes les infos qui y figurent doivent aussi apparaître dans la description de Mademoiselle Louise. Si le projet t'intéresse toujours, nous attendons ta description patiemment ! Bonne nuit à toi. |
| | | Alises Torouciave
| Jeu 3 Aoû - 12:03 | | Irys : 670200 Profession : Scientifique : zoologue
| C'est vrai que sans formulaire, je ne savais pas trop à quoi m'attendre, j'éditerais mon 1er message du dessus quand je l'aurais fini (et je t'enverrais un mp). Je me doute que vous voulez laisser le plus de liberté possible mais c'est vrai que je ne savais pas quoi dire ou non. Une formulaire aurait peut-être aidé |
| | | Dolores de Rosse
| Jeu 3 Aoû - 18:05 | | Irys : 319947 Profession : Sbire de Ludwig Strauss
| Ünellia - AlexandriaClub privé : La Ruche- Spoiler:
Ancienneté : 13 ans (créer en 919 par Howard Hahn) Structure : Bâtie dans un quartier qui, de prime abord, semble mal fréquenté, La Ruche est pourtant un lieu reputé pour sa sécurité et la qualité de ses services. Construit sur deux niveaux et demi -le rez-de-chaussée possédant une terrasse surélevée accessible par escalier et donnant sur la grande salle- le bâtiment possède aussi deux ambiances distinctes pour chaque étage. Le premier, celui dans lequel on entre par défaut, est composé d’une grande salle garnie de tables et de chaises, et fait office de restaurant et de cabaret. En effet, une scène de taille honorable occupe tout le fond de la pièce, et c’est là que se jouent divers animations, souvent de la musique, mais aussi des pièces de théâtres lors d’occasions spéciales. Au côté opposé de la scène, les clients disposent d’un bar servant des alcools raffinés, et une cuisine est à l’abri de leur regard, mais envoie tout de même un bataillon de serveurs en queue-de-pie servir ceux qui le souhaitent. Le plafond est très haut, et les murs sont garnis de plantes grimpantes et de fleurs colorés, offrant à l’endroit un charme très bucolique et raffiné. Si on descend les escaliers fermés par un cordon et protégés par un homme de main, on peut découvrir le carré VIP de ce club qui n’est déjà pas fréquenté par n’importe qui non plus. Ce niveau n’est accessible qui si l’on paye un abonnement à l’année, et onéreux avec ça. Réservé aux clients les plus réguliers et les plus fortunés, vous pourrez y trouver un salon à la lumière très tamisée, rempli de fauteuils et de sofas en velours rouges, et de tout un tas de moyens pour divertir les gens de bonnes familles (Table de cartes, billard, etc.) On y sert au client tout ce qu’il souhaite (dans la limite de ce que les humbles employés peuvent offrir) mais on lui donne également une intimité précieuse dans cette ville très peuplée. D’autres salles sont adjacentes au salon : Une fumerie d’opium et un couloir encadré par une demi douzaines de larges chambres dans lesquelles des prostituées de rang supérieur attendent les clients qui désirent disposer de leurs services. Propriétaire : Howard Hahn Sexe : Homme Age : 62 ans Lorsque, il y a plus de dix ans, Howard Hahn, marchand respecté et très fortuné, décide de prendre sa retraite et d’ouvrir la Ruche dans les bas-fonds d’Ünellia, personne dans son entourage ne comprit vraiment son acte. Ce bâtiment rocambolesque n’était qu’un gouffre à irys dans lequel allait passer toute la fortune familiale ! Pourtant, nous sommes aujourd’hui en 932 et le club est l’un des plus reconnus dans le milieu fermé de la haute-société daënars. Pourquoi ? Parce Howard était mandaté par ses anciens patrons, la Compagnie des Echanges Libres ! Cette organisation richissime pouvait bien investir dans un tel projet, qui serait, de toute façon, dirigé par un de ses hommes de confiance. Car, oui, il y a avait une idée derrière un endroit aussi atypique : Attirer au même endroit les personnes les plus influentes de tout le continent. Grâce au bouche-à-oreille, à l’appui de la Compagnie et à toutes les promesses d’opulence et de discrétion de la Ruche, finalement on ne pouvait que parier sur son décollage rapide. Tout le monde y trouvait son compte ! Les célébrités pouvaient aller dîner aux chandelles sans être gênées par la plèbe, les hommes d’affaire avaient un endroit confortable où conclure des marchés, les drogués fortunés se procuraient ici des produits de qualité et dans un décor accueillant, et surtout la CEL avait plusieurs paires d’oreilles dans la place pour engranger tout un tas d’informations utiles. Heureusement que personne, hormis le propriétaire, n’était au courant de ce fructueux partenariat. Niveau inférieur |
| | | Alises Torouciave
| Jeu 10 Aoû - 21:11 | | Irys : 670200 Profession : Scientifique : zoologue
| [Utilitaire] Code couleur vestimentaire à Daënastre
Comme tout peuple, les daënars ont un "code couleur". Ainsi éviter de porter une couleur de deuil à un mariage et vice et versa. Evidemment, comme chez nous irl, il n'est pas interdit de porter ces couleurs tous les jours. Disons plus que c'est une manière, surtout pour la bourgeoisie, de communiquer. Si vous porter votre robe de deuil à un rendez-vous galant, clairement, la personne en face comprendra que vous n'êtes pas dispo. Cela concerne majoritairement les femmes puisque les hommes ont des costumes plutôt sombre en permanence.
Donc c'est parti pour cette proposition :
- Rouge : couleur du mariage par essence et réservée uniquement à la mariée le jour du mariage. Elle est associé à l'amour, à la naissance.
- Noir : couleur qui est soit celle des hommes riches, soit le jour de l'enterrement
- Violet : couleur de la veuve par excellence, il est conseillé de la porter au moins 3 mois pour ne pas donner l'impression de ne pas pleurer assez son mariage
- Bleu : couleur de le jeune débutante à son premier bal. Il est aussi associé à la femme non marié.
- Vert : couleur quelque peu détester et très très peu portée en Daënastre
- Marron et Blanc : Si vous ne savait pas quoi porter pour un simple dîner sans grande tenue, ces deux couleurs vous sont conseillés.
- Orange : On l'appelle la couleur des futures car souvent une veuve quitte sa tenue violette pour signaler le fait qu'elle est de nouveau sur le marché du mariage.
- Jaune : Et le jaune est la couleur des divorcées.
Voili voilà voilou |
| | | Invité
| Ven 11 Aoû - 13:22 | | | Bonjour !
J'aimerai faire la proposition d'une fable pour un peuple vénérant Orshin, les Ju'äms, que j'ai utilisé pour ma présentation :
« La Promesse », Fable Ju'äm, clan d'adeptes d'Orshin
Un orphelin rencontre une louve. Animal, s'écrie-t-il, je ne te veux point de mal Es-tu seule ? T'es-tu éloignée de ta couve ? On m'a abandonnée, répond-elle, la mort m'emportera ce soir Je m'en vais mourir dans ce bois, bovin voué à l'abattoir. L'orphelin est confiant et s'approche de la bête La maline révèle alors sa vraie facette Et d'un coup de mâchoire aux crocs aiguisés Fait du naïf enfant son gibier malchanceux. La proie vante son cœur bon, tente le lâcher prise Mais l'animal malicieux la considère comme acquise. Pour toutes excuses elle avoue son besoin D'un peu de nourriture au terrier ramener. Mes petits louveteaux, confie-elle, n'ont désormais plus rien Sous la dent ces jours-ci à ronger. Tes enfants mangeront goulument, dit l'orphelin, Mais pourras-tu en dire autant au lendemain ? Que se passera-t-il lorsque la faim à nouveau se montrera ? La venue d'un autre comme moi est-ce que tu escompteras ? Je trouverai nourriture à partager, propose-t-il au prédateur, Relâche-moi maintenant et dans à peine quelques heures Ta famille et moi des repas à jamais partagerons Et de cette mésaventure plus rien nous ne retiendrons. L'animal s'exécute et lui rend sa liberté, L'enfant s'engage et la laisse le guider En direction de jeunes loups, elle n'avait pas menti. Là dessus, l'humain agrippe son couteau Et d'un coup vif abat la créature, Aucune promesse ne faisait mention Que la survie de celle-ci était une condition Et en mal cela lui fut doublement fatal Car en nourriture son corps il transforma Et de sa tendre chair ses enfants il régala.
Toutefois, sa promesse fut respectée et à jamais accomplie Car de la joyeuse troupe pour toujours il s'éprit, A travers les âges et ce durant toute sa vie. |
| | | Bolgokh
| Mar 15 Aoû - 18:07 | | Irys : 929949 Profession : Créateur de monde à temps partiel
| Alises TorouciaveJe valide le salon de thé de Mademoiselle Louise ! Ensuite, concernant ta proposition de couleurs pour les vêtements, tout nous convient si ce n'est celle en lien avec le mariage. Il serait préférable d'indiquer quelque chose comme "rouge ou blanc", afin de laisser l'opportunité aux personnages qui se marieront éventuellement sur Irydaë de pouvoir trouver des images et un imaginaire plus lambda que l'unique couleur rouge, plus spéciale et rare. J'ajoute également que nous attendrons d'avoir un article complet sur les vêtement daënars et my'träns avant de le publier officiellement dans le folklore, quitte à valider les étapes une par une si tu préfères fonctionner ainsi. =) Autrement cela forcera les joueurs à faire des allers retours sur un texte non terminé, lorsque nous pouvons leur fournir finalisé d'une seule traite. Mais ce début est prometteur ! Dolores RossettoSans surprise, la fiche descriptive de La Ruche est également validée. Faye ToenTrès bonne initiative que de proposer cette fable officiellement après son apparition dans ta fiche. Je valide « La Promesse » ! ~ Tous vos ajouts au background vont être ajoutés sous peu dans les zones appropriées, un très grand merci pour votre participation et vos propositions ! ~ |
| | | Alises Torouciave
| Mar 15 Aoû - 19:01 | | Irys : 670200 Profession : Scientifique : zoologue
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| | | Invité
| Ven 25 Aoû - 23:04 | | | Bonsoir !
J'aimerais proposer une prière en l'honneur de Süns, l'architecte flamboyante :
« Entends mes paroles, toi qui gouverne Zolios Süns, Ô divine, Griffon d'ébène, Tu m'écoutais jadis dans mes prières, Une fois encore, exauce mes vœux Et que ton feu rayonne, pourfende nos cœurs Ainsi pourrons-nous des cendres renaître. »
S'il est nécessaire de rajouter quelques lignes, je peux me mettre à l'essai d'un chant, mais les prières n'étant pas forcément très longues... |
| | | Invité
| Dim 3 Sep - 0:49 | | | Le dos de la fourchette Ancienneté : 40 ans (créé en 888 par Franz Ghilbert) Structure : L'auberge Le dos de la Fourchette est au départ une maison familiale située dans les beaux quartiers de Busad et transformée par son propriétaire de l'époque, Franz Ghilbert en auberge chic et familiale afin d'offrir à son fils Johan, 12 ans à l'époque et passionné de cuisine, un avenir tout tracé. L'auberge dispose de deux entrées. Celle donnant sur la rue est l'entrée officielle de l'auberge et donne directement sur le restaurant. La décoration est rustique et simple. Un lustre au plafond, 5 tables en bois pour 20 couverts maximum et un comptoir bar où sont servis les alcools les plus précieux. Les murs sont blancs et sans décoration et l'ensemble semble assez spacieux. A la droite du comptoir, un escalier qui mène vers le premier étage. Le personnel se limite à une barmaid, chargée également de s'occuper des réservations, et d'une serveuse. L'autre entrée est située sur la facade droite de l'auberge et est l'entrée de service du personnel et le lieu de livraison et donne sur une cuisine spacieuse où s'ébroue la brigade composée d'un plongeur, chargé des livraisons, de la vaisselle et de la propreté de la cuisine, de deux commis, chargés des découpes et des préparations et du chef en second, chargé de la préparation des plats. Le chef, aubergiste, supervisant le tout. Les équipes sont différentes pour le midi et pour le soir, à l'exception de l'aubergiste et de la barmaid, qui est son épouse, et qui eux assurent les deux services. Une porte battante permet à la cuisine de communiquer avec le restaurant et de l'autre côté se trouvent les escaliers. L'un mène vers la cave, zone la plus fraîche où sont stockées les denrées périssables ou non, l'autre menant vers le premier étage. Quatre chambres sont disponibles au premier. Comme pour le restaurant, les meubles y sont rustiques, à l'exception notable de la literie, d'une qualité exceptionnelle. Une cinquième pièce fait office de conciergerie et abrite la concierge, chargée du ménage et de répondre aux demandes des clients. C'est le seul membre du personnel autorisé à dormir sur place, une semaine sur deux. Un escalier mène au dernier étage, où se trouvent la chambre de l'aubergiste et son épouse et la chambre de leur unique enfant, Jolène, 7 ans. L'ère de Franz (de 888 à 900) Sous l'égide de Franz Ghilbert, l'auberge a rapidement acquis une excellente renommée. La raison en est simple. Voulant offrir à son fils prodige la meilleure formation possible, Franz a débauché à prix fort les meilleurs éléments à chaque poste et à rechercher les meilleurs fournisseurs. La qualité était forcément au rendez-vous, la rentabilité moins. Faire partie des meilleurs sans être le meilleur ne permet pas ces prix prohibitifs qu'il aurait fallu sortir pour faire des bénéfices, mais pour Franz, il s'agissait d'un investissement sur l'avenir et il avait des fonds. Johan passera par tous les postes de la brigade, évoluant dès qu'un poste était parfaitement maîtrisé, ce qui prend du temps. Une nouvelle équipe sera recrutée tous les deux ans pour offrir au fiston la formation la plus éclectique possible. L'ère de Johan (de 900 à aujourd'hui) A l'âge de 22 ans, Johan, second de cuisine depuis deux ans, s'estime prêt à diriger, obtient de son père les clés de l'auberge et congédie le personnel en place pour choisir ses seconds. D'une exigence qui frise la paranoia, il épuise rapidement ses équipes à qui il ne pardonne rien, mais c'est à ce prix que la cuisine qu'il sert est considérée comme la meilleure de la capitale. Il ne se limite pas à reproduire les recettes apprises ou à les améliorer, il devient créateur de recettes, surprenant hôtes et convives. Sa table est rapidement la plus recherchée du continent et le simple fait d'être fournisseur de son auberge offre une excellente publicité, ce qui lui permet de négocier ses prix au plus juste. Désormais, la rentabilité est au rendez-vous. Mais le personnel tourne rapidement, car la pression qu'il exerce est aux dires de beaucoup intenable. La seule consolation du personnel de cuisine est que chacun sait qu'en tenant une année à l'auberge "Le dos de la Fourchette", il sera engagé les yeux fermés dans les autres auberges de Busad ou d'ailleurs et que Johan Ghilbert, aussi dur soit-il, fournira une lettre de recommandation en remerciement des services rendus. Malgré de nombreuses sollicitations, Johan Ghilbert a refusé de quitter Busad pour s'installer dans une autre capitale ou devenir un maître de conférence, mais il ne désespère pas de trouver un apprenti qui sera digne de le représenter avant que Jolène, sa fille, ne prenne sa succession. Le Dos de la Fourchette est aujourd'hui un temple de la gastronomie où l'on peut croiser de riches notables, des personnalités de haut rang et les hauts dignitaires invités dans la Capitale. |
| | | Bolgokh
| Dim 3 Sep - 14:01 | | Irys : 929949 Profession : Créateur de monde à temps partiel
| Faye ToenTa prière a été rajoutée au folklore des My'träns, merci à toi pour ta proposition ! Il serait intéressant à l'avenir de créer des formats similaires pour chacun des Architectes, si l'entreprise t'intéresse. Dorian WanderstLa fiche est parfaite en termes de quantité et d'éléments contextuels. En revanche, plusieurs points de vocabulaire me gênent un peu dans la manière dont tu décris ce restaurant. Lorsque décrire une enseigne daënar est relativement facile du fait de sa modernité, c'est plus délicat pour les My'träns ! A l'heure actuelle, des mots tels que "maitre de conférence", "lustre", "barmaid", et plusieurs autres légers détails conduisent à imaginer un environnement typé restaurant moderne, par exemple comme ceci. Nous sommes loin d'un environnement approprié pour les Kharaal Gazar, et plus largement un environnement my'trän. Il faudrait donc tant que faire se peut introduire davantage de nuances descriptives sur par exemple l'architecture propre à la ville de Busad, à l'omniprésence de la magie utilitaire dans la vie quotidienne (éclairage, meubles peut-être bâtis directement par la pierre...etc) ou le mode de vie propre aux My'träns. Je pense notamment aux hauts dignitaires que tu évoques, dont la mode consiste à se recouvrir de drapés extrêmement colorés et autres riches teintures brodées artisanales. Bref, orienter tes lecteurs vers une vision plus héroïc-fantasy de ton enseigne. Je conçois parfaitement que cela puisse être difficile puisque les My'träns sont un peuple imaginé, aussi n'hésite pas si tu as un souci ou des questions ! Il ne suffit pas forcément de grand chose pour donner un peu plus de couleurs my'träns au Dos de la fourchette. =) |
| | | Invité
| Dim 3 Sep - 16:03 | | | - Spoil:
Quitte à sembler pointilleux et en reconnaissant que je n'ai pas usé de tous les codes, ne les maîtrisant pas, je n'ai pas envie que cet établissement ressemble aux autres, l'idée étant de lui apporter un cachet particulier, un espace qui diffère de ce qu'on peut trouver dans les autres tavernes ou auberges, qu'il soit un lieu "à part". Je n'ai pas assez insisté sur certains aspects, je vais faire la correction ici et apporter des illustrations mais c'est par choix que j'ai opté pour un univers qui ne soit pas héroic fantasy mais plutôt medfan, pour le "cachet", justement, que le client sente un lieu "à part des autres". La brigade de cuisine n'est pas un terme moderne, il a été créé il y a un siècle et déjà avant, du temps de François Vatel, fonctionnait déjà comme une brigade. Je pense qu'apporter quelques illustrations pourra aider à une vision "commune", je ne suis pas un maître ès description. Les images choisies m'ont poussé à quelques modifications
Le dos de la fourchette Ancienneté : 40 ans (créé en 888 par Franz Ghilbert) Le lieu : L'auberge Le dos de la Fourchette est au départ une maison familiale située dans les beaux quartiers de Busad et transformée par son propriétaire de l'époque, Franz Ghilbert en auberge chic et familiale afin d'offrir à son fils Johan, 12 ans à l'époque et passionné de cuisine, un avenir tout tracé. Creusée à même la roche, l'auberge a deux entrées visibles, l'une face à la route, qui est l'entrée pour les clients, l'autre, côté droit, qui est l'entrée des fournisseurs.L'auberge dispose de deux entrées. Restaurant vu de l'entrée : Celle donnant sur la rue est l'entrée officielle de l'auberge et donne directement sur le restaurant. Celle sur la gauche est l'entrée du personnel et le lieu où les denrées sont livrées. Personnel et livraison : Franz Ghilbert, artisan ébéniste réputé, a souhaité que son art soit présent dans son auberge et en faire un lieu différent de ceux qu'on croise habituellement à Busad. Le bois est omniprésent et en harmonie avec la pierre blanchie qu'il a laissé transparaître sur certains murs, offrant au lieu un cachet autant personnel qu'intemporel. L'éclairage est à la bougie et léger, offrant un cadre intimiste et chaleureux et les décorations rappellent l'art de l'agriculture, de la chasse, de la pêche mais proposent aussi des créations fantaisistes d'artisans ferronniers particulièrement doués. Le reste, pour ne pas dénoter trop non plus avec Busad et ses mages de terre, est fait de terre cuite, parmi lesquels les plats et assiettes, permettant à l'auberge de conserver son cachet busadien. A noter, le bar qui fait également office de lieu de réservation et où sont exposées les récentes créations d'artisans, disponibles à la vente. Restons au rez-de-chaussée : La cuisine, séparée du restaurant par un mur et une porte battante en bois, est aussi grande et spacieuse que le restaurant. Diverses tables font office de plan de travail pour les employés de la cuisine. Le coin cuisson est composé d'un four à bois et d'un âtre sur lequel poser les chaudrons. Ici, pas d'éléments décoratifs, tout y est fonctionnel et étudier pour que les gens qui y travaillent évitent de se marcher dessus. Seul le four a une statuette en décoration, placée là à titre de porte-bonheur. Vue d'ensemble de la cuisine : Le four : Une cave, disposant d'un air rafraîchi, sert au stockage des denrées qui ne seront pas exploitées le jour-même en cuisine. Mais comme indiqué, le lieu n'est pas une taverne, mais une auberge, cela signifie qu'elle dispose de chambres. Celles-ci sont au premier, accessible via un escalier présent dans le restaurant: A l'étage, 4 chambres sont présentes pour les clients. L'envie d'offrir une décoration originale et rustique que pour le restaurant a poussé Franz a fournir un travail de qualité. Mais s'il a misé sur l'originalité, le confort n'est pas oublié, la literie étant d'une qualité exceptionnelle. Une cinquième pièce fait office de conciergerie et abrite la concierge, chargée du ménage et de répondre aux demandes des clients. C'est le seul membre du personnel autorisé à dormir sur place, une semaine sur deux. Un escalier mène au dernier étage, où se trouvent la chambre de l'aubergiste et son épouse et la chambre de leur unique enfant, Jolène, 7 ans. L'ère de Franz (de 888 à 900) Sous l'égide de Franz Ghilbert, l'auberge a rapidement acquis une excellente renommée. La raison en est simple. Voulant offrir à son fils prodige la meilleure formation possible, Franz a débauché à prix fort les meilleurs éléments à chaque poste et a recherché les meilleurs fournisseurs. La qualité était forcément au rendez-vous, la rentabilité moins. Faire partie des meilleurs sans être le meilleur ne permet pas ces prix prohibitifs qu'il aurait fallu sortir pour faire des bénéfices, mais pour Franz, il s'agissait d'un investissement sur l'avenir et il avait des fonds. Johan passera par tous les postes de l'auberge, évoluant dès qu'un poste était parfaitement maîtrisé, ce qui prend du temps. Une nouvelle équipe sera recrutée tous les deux ans pour offrir au fiston la formation la plus éclectique possible. L'ère de Johan (de 900 à aujourd'hui) A l'âge de 22 ans, Johan, second de cuisine depuis deux ans, s'estime prêt à diriger, obtient de son père les clés de l'auberge et congédie le personnel en place pour choisir ses seconds. D'une exigence qui frise la paranoia, il épuise rapidement ses équipes à qui il ne pardonne rien, mais c'est à ce prix que la cuisine qu'il sert est considérée comme la meilleure de la capitale. Il ne se limite pas à reproduire les recettes apprises ou à les améliorer, il devient créateur de recettes, surprenant hôtes et convives. Sa table est rapidement la plus recherchée du continent et le simple fait d'être fournisseur de son auberge offre une excellente publicité, ce qui lui permet de négocier ses prix au plus juste. Désormais, la rentabilité est au rendez-vous. Mais le personnel tourne rapidement, car la pression qu'il exerce est aux dires de beaucoup intenable. La seule consolation du personnel de cuisine est que chacun sait qu'en tenant une année à l'auberge "Le dos de la Fourchette", il sera engagé les yeux fermés dans les autres auberges de Busad ou d'ailleurs et que Johan Ghilbert, aussi dur soit-il, fournira une lettre de recommandation en remerciement des services rendus. Malgré de nombreuses sollicitations, Johan Ghilbert a refusé de quitter Busad pour s'installer dans une autre capitale ou devenir mentor pour d'autres cuisiniers-aubergistes, mais il ne désespère pas de trouver un apprenti qui sera digne de le représenter avant que Jolène, sa fille, ne prenne sa succession. Le Dos de la Fourchette est aujourd'hui un temple de la gastronomie où l'on peut croiser de riches notables, des personnalités de haut rang et les hauts dignitaires invités dans la Capitale. |
| | | Bolgokh
| Ven 8 Sep - 23:18 | | Irys : 929949 Profession : Créateur de monde à temps partiel
| Je valide ta proposition Dorian ! Tout me parait désormais conforme à l'ambiance de My'trä, et j'y passerai bien la nuit IRL dans ton auberge.
Tous nos remerciements pour ta contribution à l'étoffement du contexte de ce forum ! Ton nom sera bien évidemment inscrit dans la fiche du Dos de la Fourchette, afin que tout le monde puisse voir que c'est bien là ta création.
Sur ce, bonne soirée à toi ! |
| | | July Lahry'Dryka
| Sam 30 Sep - 23:26 | | Irys : 230562 Profession : Joaillière
| Utilitaire Ünellia - AlexandriaBoutique : Les Joyaux d'orAncienneté : 64 ans (création en 868) Structure : "Au détour d'une ruelle, si vous vous perdez bien dans Alexandria, vous pourrez trouver la petite boutique de joaillerie : Les Joyaux d'or. L'enseigne ne paye pas de mines, tout comme la façade qui ne s'illustre pas par sa peinture, loin d'être fraiche ou par des couleurs resplendissantes. Elle n'attire pas l'oeil, elle est juste simple et comme tant d'autre. Quand vous franchissez la porte, vous entendez une sonnette retentir et le silence vous répondra jusqu'à ce qu'un homme d'âge mûr vienne vous rencontrez, le sourire aux lèvres. Peut-être aurez-vous moins de chance et c'est une jeune fille blonde qui viendra s'occuper de vous. Dans tous les cas, vous serez entouré d'artefacts, de bijoux et de créations de toute sortes qui ne manqueront d'attirer votre oeil. Les plus belles pièces – et chers accessoirement – sont exposées individuellement sur des socles au milieu de la pièce tandis que les autres sont sur les côtés droit et gauche de la pièce. Celle-ci était d'ailleurs assez spacieuse pour pouvoir correctement circuler mais restait tout de même agréable. Un lustre éclaire la pièce mais il est presque inutile compte tenu des grandes fenêtres donnant sur l'allée. Le comptoir de vente, fait dans un beau bois de chêne massif, se trouve à votre gauche lorsque vous rentrez et au loin, si vous laissez trainer votre regard, vous remarquerez un escalier en colimaçon qui monte là où vous ne pourrez jamais aller. C'est en vérité l'accès au logis des marchands. Au fond de la droite, se trouve une ouverture vers l'atelier des joailliers où sont entreposés leurs outils, leurs travaux et autres. Encore une fois, vous ne pourrez qu'entrapercevoir cette pièce, bien trop en bazar et occupée par de nombreux éléments divers et par la poussière ambiante. Du côté de l'atelier, se trouve encore une petite porte qui mène vers une salle faisant office de placard. - Spoiler:
Intérieur (bien entendu, il faut remplacer mentalement les vitrines de plantes par certaines contenant des bijoux et divers artefacts) : Ruelle Extérieure : Propriétaire : John Lahry'Dryka Sexe : Homme Age : 49 ans Histoire : Le magasin Joyaux d'Or a été transmis dans la famille depuis deux générations déjà et c'est à Octave Lahry'Dryka qu'on doit sa fondation. L'homme avait trente ans lorsqu'il décida de fonder sa propre entreprise, après avoir fini son apprentissage et s'être fait un petit réseau de clients influents. Il travaillait vite et bien, tout en restant professionnel, ce qui lui avait toujours valu d'être demandé par les clients. Tant et si bien qu'il décida de quitter la boutique de son ancien patron et de voler de ses propres ailes. Du moins, c'est ce qu'il aurait voulu faire mais Octave n'avait pas assez d'argent et c'est grâce à la générosité, ou bien à l'intuition opportuniste et maligne de son maître artisan, qu'il put ouvrir Les Joyaux d'Or. En effet, au tout départ, le petit atelier était en fait la deuxième boutique du Maitre Artisan de Octave. Il lui prêta de l'argent et l'apprenti put partir. Très reconnaissant, celui-ci resta de nombreuses années en collaboration mais au bout d'un certain temps, les conditions du contrat n'étaient plus assez avantageuses et après quelques crises de colères et claquements de portes, Octave put garder sa propre boutique et en finit définitivement avec son ancien Maître. Depuis, la boutique se transmet dans la famille et c'est maintenant John Lahry'Dryka, le fils d'Octave qui avait récupéré la boutique et était en train de former sa nièce July, pour prendre la relève. La clientèle des joailliers étant essentiellement constitué de riches bourgeois, la boutique, loin d'être connue ne se faisait sa réputation que grâce au bouche-à-oreilles et c'est donc un petit cercle privé et restreint qui connaissait la qualité des Joyaux d'Or. |
| | | Bolgokh
| Mer 11 Oct - 14:25 | | Irys : 929949 Profession : Créateur de monde à temps partiel
| July Lahry'Dryka La boutique des Joyaux d'Or est validée ! Je l'ajoute d'ici peu à l'endroit approprié, et nos remerciements pour ta participation à l'amélioration du background. ~ |
| | | Ginger Holmes
| Lun 16 Oct - 23:24 | | Irys : 334939 Profession : Enquêtrice
| Ajout d'ordre Utilitaire Nom : La capitale nomade : Vulp Pest Description : La capitale des nomades est Vulp Pest, une citée mobile parcourant Mytra. Chaque bâtiment en bois est placé sur roue et tiré par des Mammouths géants. Le tout forme un convois gigantesque et impressionnant et représente clairement la puissance des nomades. But : Vulp Pest est avant tout un centre commercial mobile, le plus grand atout de cette citée c'est de proposer de tout avec des prix raisonnables. La capitale est aussi un centre diplomatique, il permet aux autres clans de savoir si une zone est safe ou non, si un seigneur sera amical ou belliqueux. Cette centralisation permet aussi d'unir les clans en hordes en cas de problème grave. Vulp Pest est autant un instrument de paix que de guerre. La capitale est également un atout juridique, il permet de juger grâce à un tribunal des paires, les différents entre deux clans. Le tribunal est également en pouvoir de juger qui doit hériter d'un clan ou non. Enfin, Vulp Pest est le coeur religieux de Asmigal et d'Orshin, chaque nomade peut donc vivre et prier une de ses deux religions en toute quiétude. Hiérarchie : Le roi de Vulp Pest est élu par les dix clans nomades les puissants. Actuellement, il s'agit de Vipide V de Vulp Pest. Il doit régner jusqu'à la mort ou la folie. Des maître religieux des deux divinités précédemment nommé se trouve également dans la capitale, ils ont une place importante dans la vie de la citée. Un maître du commerce gère l'économie de Vulp Pest, c'est un poste très convoité. Un maître de la diplomatie gère les accords avec les autres nations de Mytra. Actualité : Vipide V est entrain de fabriquer une monnaie unique à sa ville. 1 Irys = 0.70 Vipidéen. Par le biais de cette monnaie, il veux forcer les étranger à utiliser cette monnaie parallèle considérant la hausse des prix comme une taxe de fonctionnement. Concrètement : Vulp Pest est une citée unique, les rues se forme grâce à l'espacement entre deux chariots. Les chevaux passent sans problème dans ses rues et peuvent accéder à des passerelles afin que le cavalier accède à l'un ou l'autre des bâtiments. Ses passerelles sont aussi accessible à pied si tenté qu'on soit un minimum habile. Toute les maisons sont faite en bois, les plus riches ont des bas de mur en pierre. Les bâtiments sont confortable et remplie, c'est agréable à vivre si on oublis les quelques secousses. La demeure de Sir Vipide est au coeur du dispositif de Vulp Pest. Deux mammouths géant tirent une habitation deux fois plus grandes que les autres. Il est d'ailleurs difficile de louper la demeure du roi quand on s'approche de la citée. Outre le décors atypique de cette capitale, il y a plusieurs lieues qui demande à être vue. Les nombreuses tavernes offre aux visiteurs et aux locaux de quoi passer d'agréable soirée. Dans les meilleurs d'entres elle, il y'a des danseuses exotiques voir des érotiques. Pour apprécier le spectacle, il faut commander un bon repas et profiter de met culinaire unique. Il ne faut pas s'inquiéter de voir des restaurateur ne proposer que des plats pour végétarien afin de respecter la volonté de son dieu. Extrait du guide de Michel l'explorateur - ouvrage mai 932 |
| | | Tashinär Vélacen Malphà
| Sam 4 Nov - 21:41 | | Irys : 169971 Profession : Courtisane
| Les nuits d'une demoiselles Ancienneté : 3 ans (créée en 930) Structure : Dans un des quartiers les plus chics d'Alexandria, un immense bâtiment ne se différenciant pas de la masse. Le client entre dans un immeuble classique traverse un appartement vide sur sa gauche qui lui permet de rejoindre le hall d’entrée de la maison close. Une fois à l’intérieur, il ôte son manteau et donne son nom et sa fonction à un secrétaire. Il peut alors poursuivre dans plusieurs salons. Le premier il peut observer des danseuses levant la jambe très haut, dans une musique folle pour observer leurs magnifiques dessous. Le deuxième propose des filles se déshabillant jusqu'à n'être plus qu'en sous-vêtement. Dans ces deux salons, il est interdit de toucher à la marchandise. Le troisième est identique au premier mais cette fois, on peut toucher aux filles et même les embrasser si le cœur vous en dit. Le quatrième offre les "demoiselles plaisir" qui font votre affaire en public sans la moindre pudeur pour 40 à 200 irys. Si vous êtes un client régulier ou plus fortunés, au premier étage plusieurs filles, "les dames plaisirs" sont prêtes à faire la même chose qu'en bas pour 100 à 300 irys mais pour une fois vous bénéficierez d'une chambre individuelle. Plus vous payez cher, plus la fille sera capable de faire la conversation en plus d'autre talents. Le deuxième étage a le même utilité que le premier mais pour des tarifs encore plus élevés allant de 300 à 900 irys. C'est juste pour une clientèle désirant avoir une prostituée attitrée mais qui n'est pas encore montrable en bonne société. Le troisième étage permet d'accéder aux cinquante. Ce sont de vrais demoiselles de petites vertus sortables en société et à qui il est de bon de ton d'offrir régulièrement des présents pour montrer sa richesse. A cet étage, vous trouvez les appartements où les filles peuvent être louée pour un week-end ou une année. Tout est pris en compte dans les contrats. Dans une villa en dehors d'Alexandria vous pourrez aller voir la propriétaire qui n'accepte que les grands clients ou les plus fortunés. Attention tout un rituel est mis en place pour s'autoriser une nuit à ses côtés. Nombre d'employés200 demoiselles plaisir/danseuses pour le premier étage qui tournent dans les salons 100 dames plaisir pour les étages Les Cinquante : les plus belles filles de l'établissement 70 femmes de ménage en journée 2 gynécologues 1 secrétaire pour l'accueil 10 juristes pour les contrats 30 personnes de cuisines 10 gardes pour la sécurité de l'établissement 20 couturières qui entretiennent les différentes gardes robes Propriétaire : Tashinär Vélacen Malphà |
| | | Lizzie Seavey
| Dim 5 Nov - 17:08 | | Irys : 344314 Profession : Chasseuse de primes - Pirate
| Utilitaire Onaël - RathramL'atelier de Siméon SuuïszAncienneté : 23 ans (création en 909) Structure : Dans une ruelle de l'extrémité du quartier des boutiques d'Onaël, près des docks, se trouve cette petite boutique. La peinture mériterait d'être rafraîchie et la pancarte indiquant "S. Suuïsz, prothèses et outils", reclouée, car elle menace de tomber sur la prochaine personne qui ouvrira la porte. La vitrine est tellement poussiéreuse qu'on n'aperçoit de l'intérieur que des formes floues et sombres. Si toutefois l'on s'aventure à y entrer, on arrive dans une petite pièce jonchée d'outils, de morceaux de prothèses, de vis et de clous et autre méli-mélo de plans et tiges de métal. Contre les murs, des bibliothèques remplies de livres techniques aux pages écornées et d'archives mitées. Des tâches de sang que l'on a pas réussi à faire partir résident à jamais sur le parquet grinçant. Au fond de la pièce, devant une porte entrouverte, se trouve le comptoir massif sur lequel est posée une vitrine impeccable, sans aucune trace de poussière, certainement car on l'utilise trop souvent pour qu'elle ait le temps de se déposer. A l'intérieur de celle-ci se trouvent d'étranges ustensiles en métal, posés sur un carré de vieux velours déformé par leur poids. D'un côté de ces petits rectangles se trouve une lame de canif rétractable, de l'autre, divers outils que l'on peut ranger à l'intérieur. Les mécanismes et rouages sont apparents, dans un rendu assez brut mais apparemment fiable. - Le couteau Suuïsz:
Rendu graphique + lame de canif Position et sortie des outils Le couteau Suuïsz contient une lame, plusieurs types de tournevis différents, une lime, une petite scie, plusieurs pointes et un crochet.
Sur le comptoir, nul sonnette mais un petit marteau en bois qui permet de frapper sur un morceau de métal déformé fixé sur le meuble afin de faire remarquer sa présence. On est alors accueillis par Siméon Suuïsz en personne, ou parfois par son assistante, Naya, une jeune femme pleine d'énergie. Les prothèses de Siméon ne sont pas les plus belles, mais il sacrifie l'esthétique par le côté pratique et confortable. Inventeur du couteau Suuïsz, que l'on a pu admirer dans la vitrine, Siméon a la réputation d'accepter les clients de tout horizons, même les plus grands malfrats, et sa boutique est à cause de cela peu fréquentée à part par les marins venus acheter le fameux couteau, ustensile de voyage très pratique. Si l'on passe la porte derrière le comptoir, on arrive dans l'atelier de Siméon. Sur toute la longueur du mur s'étend son banc de travail, avec ses matières premières au bout, et des outils accrochés et posés un peu de partout. Une petite fenêtre au milieu du mur lui offre un peu de lumière quand il travaille. En face de ce banc, derrière un vieux rideau en lin bruni par le temps, se trouve la salle d'opérations de Siméon. Une petite desserte avec encore quelques outils est posées à côté d'une couchette à position modulable. On accède depuis l'atelier à une petite cour intérieur où poussent les mauvaises herbes, et de là, par un escalier sur le point de s'effondrer, aux appartements de Siméon au-dessus de la boutique. Propriétaire : Siméon Suuïsz Sexe : Homme Age : 44 ans Histoire : Siméon Suuïsz, apprenti prothésiste auprès du maître Wilbur Rockbell à Cerka, revient chez lui à Onaël en 908 à l'âge de vingt ans pour prendre soin de sa mère gravement malade alors qu'il était sur le point d'obtenir son diplôme d'ingénieur. Obligé de vivre de petit travail en petit travail, il continue les soirs à bricoler dans sa chambre. A la mort de sa mère, il devient le tuteur de ses deux jeunes soeurs et ne peut se résoudre à reprendre son apprentissage. Il ouvre alors la boutique grâce à un prêt d'argent d'une source inconnue, et passera les années suivantes à travailler pour nourrir sa famille et rendre l'argent qu'il doit. Pas particulièrement impliqué dans la politique de son pays, Suuïsz acceptera pour cela de prendre tous les clients se présentant à sa porte, lui attirant la mauvaise réputation d'abriter et de soigner des malfrats. La seule chose comptant pour cet homme étant de réparer les gens, il ne fera fi de ces rumeurs et continuera à travailler toutes ces années. Il prend épouse quelques années plus tard, mais celle-ci meurt en couches, et leur petite fille à la santé fragile ne survivra pas très longtemps. Ses soeurs mariées et partie loin d'Onaël, Siméon s'enferme dans sa solitude, n'acceptant de prendre que des apprenties, dans l'espoir de trouver un jour la fille qu'il a perdu. |
| | | Bolgokh
| Dim 5 Nov - 19:33 | | Irys : 929949 Profession : Créateur de monde à temps partiel
| Ginger HolmesLe concept d'une telle ville mobile est vraiment très intéressant, néanmoins en l'état je ne puis l'accepter dans le background d'Irydaë. Si j'ai bien saisi, ceux que tu nommes les nomades sont les clans d'Orshin et d'Amisgal ? Ainsi que par extension, tous les My'träns ayant choisi un rythme de vie non sédentaire ? Car tout le peuple my'trän dépend exclusivement du Conseil de la Convergence, chargé s'il le faut de les réunifier ou non et de traiter les affaires majeures ainsi que tout l'administratif dont tu parles. Il ne peut donc exister un "Roi" (à savoir que le système de noblesse n'existe pas réellement sur Irydaë, le terme de "seigneur" correspondant davantage à celui de Gharyn ou Khorog) ou une capitale mobile qui ferait doublon avec la capitale de Suhury, Darga, remplissant déjà ce rôle. Il est très difficile de créer des villes à l'heure actuelle sans l'aide du staff, car nous désirons qu'elles soient parfaitement intégrées à l'univers et au modèle de fiche établi. Vulp pest ne pourrait donc être une ville que très récente, encore minuscule, sans puissance politique particulière afin de concorder à ce qui existe déjà en termes de contexte. Du type centre commercial mobile uniquement par exemple ! Il faudrait qui plus est, comme dit plus haut, que la description soit aussi complète que celle de Dyen ou d'une autre ville principale (Eoril, Busad... etc). =) Je ne peux du coup donner suite à ta proposition pour le moment ! Tashinär Vélacen MalphàC'est une grande entreprise que ton personnage tient ! J'ai hésité sur les chiffres, notamment les 200 demoiselles du premier palier qui me paraissaient vraiment nombreuses pour une maison close. Néanmoins nous sommes à Alexandria, la capitale, composée d'immenses immeubles : si Tashinär a conservé ses économies de son ancienne vie, cela me paraît faisable. Je valide donc cet ajout au background, je l'ajouterai dès que possible à la suite de la fiche descriptive de la capitale. Lizzie SeaveyRien à redire, je valide ! J'ajouterai ta fiche en même temps que les Nuits d'une demoiselle. Merci pour vos propositions ! ~ |
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